Le SG de l'UGCAA a affirmé, dans un entretien médiatique, que le virus de la pandémie virale n'a pas touché les commerçants. Le responsable de cette organisation, qui s'est félicité du respect des règles sanitaires par l'ensemble des commerçants, déplore néanmoins la négligence des citoyens qui a conduit à une hausse des contaminations ces derniers jours. Le SG de l'UGCAA a affirmé, dans un entretien médiatique, que le virus de la pandémie virale n'a pas touché les commerçants. Le responsable de cette organisation, qui s'est félicité du respect des règles sanitaires par l'ensemble des commerçants, déplore néanmoins la négligence des citoyens qui a conduit à une hausse des contaminations ces derniers jours. ] Djamel Taklicht a déclaré à une chaîne de TV privée, que "les commerçants sont soucieux d'appliquer les règles de protection contre le coronavirus dans le but de sen protéger mais également de prendre conscience aux citoyens consommateurs du danger de la pandémie". Il a indiqué à ce propos, "qu'aucun cas de virus n'a été déclaré parmi les commerçants, selon le bilan qu'on a établi". Avec la situation sanitaire qui prévaut actuellement, le même responsable a noté, que "si les cas de contagion sont enregistrés, cela concerne les marchands de l'informel qui ne disposent pas de registre de commerce". Il regrette en effet, que "certains comportements des citoyens ont précipité les choses en ignorant ou faisant fi des règles de respect sanitaire édictées par les autorités". "Nous avons constaté, selon le témoignage de certains commerçants affiliés à notre organisation, que des rassemblements se font sans distanciation ni port de masque dans certaines régions". Et de poursuivre: "les commerçants sont obligés de faire porter le masque aux consommateurs, dans le but de ne pas laisser une source de contamination". Il retient ainsi, que "des rassemblements de citoyens dans les marchés de vente de bétail n'ont pas respecté les consignes des autorités", et cala peut engendrer des conséquences fâcheuses. Pour ce qui est cas de faillite des commerçants résultant de la crise de la pandémie, Djamel Taklicht a considéré, que "les dossiers ont été transmis aux services du Premier ministre et que dans la plupart des cas, il y a eu accord sur les compensations de ceux qui ont subid'énormes pertes". Ces derniers peuvent obtenir ces dommages sous forme d'indemnité mensuelle de 10.000 DA pour la personne. Cela dit, les commerçants qui sont encore frappés d'interdiction tels que les cafés et estaminets ne peuvent obtenir ces dommages que si les autorités évaluent les pertes subies. "Nous avons transmis cette doléance au ministre du Commerce qui sera soumise à une évaluation". Pour l'heure, aucune décision n'a vu le jour sur la réouverture totale de ces commerces. Dans la majorité des cas, ces propriétaires d'établissements ont obtenu des autorisations, où ils peuvent offrent leurs services à distance et sans ouverture de leurs terrasses ou salles en évitant les rassemblements de consommateurs à l'intérieur de leurs enceintes. ] Djamel Taklicht a déclaré à une chaîne de TV privée, que "les commerçants sont soucieux d'appliquer les règles de protection contre le coronavirus dans le but de sen protéger mais également de prendre conscience aux citoyens consommateurs du danger de la pandémie". Il a indiqué à ce propos, "qu'aucun cas de virus n'a été déclaré parmi les commerçants, selon le bilan qu'on a établi". Avec la situation sanitaire qui prévaut actuellement, le même responsable a noté, que "si les cas de contagion sont enregistrés, cela concerne les marchands de l'informel qui ne disposent pas de registre de commerce". Il regrette en effet, que "certains comportements des citoyens ont précipité les choses en ignorant ou faisant fi des règles de respect sanitaire édictées par les autorités". "Nous avons constaté, selon le témoignage de certains commerçants affiliés à notre organisation, que des rassemblements se font sans distanciation ni port de masque dans certaines régions". Et de poursuivre: "les commerçants sont obligés de faire porter le masque aux consommateurs, dans le but de ne pas laisser une source de contamination". Il retient ainsi, que "des rassemblements de citoyens dans les marchés de vente de bétail n'ont pas respecté les consignes des autorités", et cala peut engendrer des conséquences fâcheuses. Pour ce qui est cas de faillite des commerçants résultant de la crise de la pandémie, Djamel Taklicht a considéré, que "les dossiers ont été transmis aux services du Premier ministre et que dans la plupart des cas, il y a eu accord sur les compensations de ceux qui ont subid'énormes pertes". Ces derniers peuvent obtenir ces dommages sous forme d'indemnité mensuelle de 10.000 DA pour la personne. Cela dit, les commerçants qui sont encore frappés d'interdiction tels que les cafés et estaminets ne peuvent obtenir ces dommages que si les autorités évaluent les pertes subies. "Nous avons transmis cette doléance au ministre du Commerce qui sera soumise à une évaluation". Pour l'heure, aucune décision n'a vu le jour sur la réouverture totale de ces commerces. Dans la majorité des cas, ces propriétaires d'établissements ont obtenu des autorisations, où ils peuvent offrent leurs services à distance et sans ouverture de leurs terrasses ou salles en évitant les rassemblements de consommateurs à l'intérieur de leurs enceintes.