L'Algérie est engagée dans une lutte "sans relâche" contre les différentes menaces à ses frontières et "privilégie" les voies de la coopération et du dialogue avec l'ensemble de ses voisins pour contrecarrer toute forme de trafic et de terrorisme transnational, a indiqué Arslan Chikhaoui, expert membre du Forum économique mondial. L'Algérie est engagée dans une lutte "sans relâche" contre les différentes menaces à ses frontières et "privilégie" les voies de la coopération et du dialogue avec l'ensemble de ses voisins pour contrecarrer toute forme de trafic et de terrorisme transnational, a indiqué Arslan Chikhaoui, expert membre du Forum économique mondial. "L'Algérie est engagée dans une lutte sans relâche contre les différentes menaces à ses frontières et privilégie, en ce sens, les voies de la coopération et du dialogue avec l'ensemble de ses voisins pour contrecarrer la logique des 2T (Trafics et Terrorisme transnational)", a souligné M. Chikhaoui dans une contribution publiée,lundi, dans le quotidien national l'"Expression", précisant que pour l'Algérie, les politiques de lutte contre ces différents fléaux ainsi que la politique de gestion de ses frontières, restent "en accord et guidées" par cinq principes. Il s'agit, a-t-il expliqué, du principe d'intangibilité des frontières qui reconnaît à chaque pays les frontières héritées au moment des indépendances, du principe de la souveraineté dans ses espaces terrestre et aérien qui tire ses références du droit algérien et du droit international. Il s'agit aussi du principe de bon voisinage, du principe de bornage des frontières et le développement des régions frontalières, et celui de non-ingérence qui puise ses référents dans la doctrine de politiqueétrangère et de défense de l'Algérie. M.Chikhaoui note que la lutte contre l'immigration clandestine, le narcotrafic, la criminalité transfrontalière et le terrorisme ainsi que le soutien au développement économique durable des zones frontalières demeurent les grandes priorités des autorités algériennes, estimant que "l'Algérie, avec son expérience éprouvée en matière de lutte contre le terrorisme ainsi que ses moyens, est en mesure de jouer un rôle moteur dans ce contexte", souligne-t-il. Dans ce cadre, l'expert rappelle toutes les initiatives auxquelles l'Algérie prend part, à l'échelle régionale et internationale, ne ménageant aucun "effort pour lutter contre le terrorisme, le trafic de tout genre et le crime organisé". Ainsi, elle fait partie de la Convention arabe sur la suppression du terrorisme adoptée en 1998 et le protocole à la convention de l'Union africaine (UA) sur laprévention et la lutte contre le terrorisme de 2004. Elle a été également à l'origine de l'élaboration d'une stratégie unifiée pour faire face aux fléaux répandus au Sahel (terrorisme, trafic de stupéfiants et crime organisé transfrontalier) qui s'est traduite, en 2009, par la conclusion d'un mémorandum de coopération et de coordination des actions avec le Mali, le Niger et la Mauritanie. Sur la base de ce mémorandum, a été créé, en 2010, un Comité d'état major opérationnel conjoint "Cemoc" installé à Tamanrasset (Sud de l'Algérie) et une Unité de fusion et de liaison "UFL" a également été installée pour coordonner les efforts opérationnels des quatre pays. L'Algérie participe, aussi, au niveau méditerranéen, à toutes les réunions des 5+5, notamment celles des ministres de l'Intérieur et des ministres de la Défense. Elle introduit régulièrement au niveau de l'Assemblée générale des Nations unies une résolution pour le renforcement de la sécurité et la coopération en Méditerranée à l'exemple de la résolution 66/63 de Décembre 2011 adoptée par consensus. Elle fait également partie des trois conventions de l'ONU de lutte contre le traficillicite de stupéfiants, de corruption et de criminalité transnationale organisée. L'Algérie est activement engagée dans plusieurs actions multi-facettes de coopération et d'aide des pays du Sahel contribuant, notamment, au développement de cette région-a-t-il ajouté. "L'Algérie est engagée dans une lutte sans relâche contre les différentes menaces à ses frontières et privilégie, en ce sens, les voies de la coopération et du dialogue avec l'ensemble de ses voisins pour contrecarrer la logique des 2T (Trafics et Terrorisme transnational)", a souligné M. Chikhaoui dans une contribution publiée,lundi, dans le quotidien national l'"Expression", précisant que pour l'Algérie, les politiques de lutte contre ces différents fléaux ainsi que la politique de gestion de ses frontières, restent "en accord et guidées" par cinq principes. Il s'agit, a-t-il expliqué, du principe d'intangibilité des frontières qui reconnaît à chaque pays les frontières héritées au moment des indépendances, du principe de la souveraineté dans ses espaces terrestre et aérien qui tire ses références du droit algérien et du droit international. Il s'agit aussi du principe de bon voisinage, du principe de bornage des frontières et le développement des régions frontalières, et celui de non-ingérence qui puise ses référents dans la doctrine de politiqueétrangère et de défense de l'Algérie. M.Chikhaoui note que la lutte contre l'immigration clandestine, le narcotrafic, la criminalité transfrontalière et le terrorisme ainsi que le soutien au développement économique durable des zones frontalières demeurent les grandes priorités des autorités algériennes, estimant que "l'Algérie, avec son expérience éprouvée en matière de lutte contre le terrorisme ainsi que ses moyens, est en mesure de jouer un rôle moteur dans ce contexte", souligne-t-il. Dans ce cadre, l'expert rappelle toutes les initiatives auxquelles l'Algérie prend part, à l'échelle régionale et internationale, ne ménageant aucun "effort pour lutter contre le terrorisme, le trafic de tout genre et le crime organisé". Ainsi, elle fait partie de la Convention arabe sur la suppression du terrorisme adoptée en 1998 et le protocole à la convention de l'Union africaine (UA) sur laprévention et la lutte contre le terrorisme de 2004. Elle a été également à l'origine de l'élaboration d'une stratégie unifiée pour faire face aux fléaux répandus au Sahel (terrorisme, trafic de stupéfiants et crime organisé transfrontalier) qui s'est traduite, en 2009, par la conclusion d'un mémorandum de coopération et de coordination des actions avec le Mali, le Niger et la Mauritanie. Sur la base de ce mémorandum, a été créé, en 2010, un Comité d'état major opérationnel conjoint "Cemoc" installé à Tamanrasset (Sud de l'Algérie) et une Unité de fusion et de liaison "UFL" a également été installée pour coordonner les efforts opérationnels des quatre pays. L'Algérie participe, aussi, au niveau méditerranéen, à toutes les réunions des 5+5, notamment celles des ministres de l'Intérieur et des ministres de la Défense. Elle introduit régulièrement au niveau de l'Assemblée générale des Nations unies une résolution pour le renforcement de la sécurité et la coopération en Méditerranée à l'exemple de la résolution 66/63 de Décembre 2011 adoptée par consensus. Elle fait également partie des trois conventions de l'ONU de lutte contre le traficillicite de stupéfiants, de corruption et de criminalité transnationale organisée. L'Algérie est activement engagée dans plusieurs actions multi-facettes de coopération et d'aide des pays du Sahel contribuant, notamment, au développement de cette région-a-t-il ajouté.