président de la République, à Bamako, le ministre des Affaires étrangères (MAE), Sabri Boukadoum, a eu un agenda chargé, s'entretenant notamment, avec des membres du Comité national pour le salut du peuple (CNSP), président de la République, à Bamako, le ministre des Affaires étrangères (MAE), Sabri Boukadoum, a eu un agenda chargé, s'entretenant notamment, avec des membres du Comité national pour le salut du peuple (CNSP), l'entité politico-militaire qui gère le pays depuis le coup d'Etat et ledépart du Président Ibrahim Boubacar Keita, du 19 août écoulé. Passant en revue la situation cruciale quiprévaut au Mali, ainsi que les voies devant amener à une sortie de crise, Boukadoum a eu à "réitérer la disponibilité de l'Algérie àaccompagner le Mali en ces circonstances particulières, comme elle l'a toujours fait", souligne un communiqué du MAE. Mettant en exergue la conviction de l'Algérie que "seule la voie pacifique du dialogue entre les enfants du pays est à même d'amorcer un réel processus permettant de surmonter les difficultés de l'heure", poursuit la même source, le chef de la diplomatie algérienne a réaffirmé "l'engagement indéfectible de l'Algérie au Mali et à son peuple, ce qui a, depuis toujours, caractérisé les relations entre lesdeux pays", y compris dans le cadre de la mise en oeuvre de l'Accord pour la paix et la péconciliation au Mali, issu du Processus d'Alger voyant dans cette rencontre l'occasion de réitérer l'attachement à la mise en oeuvre effective de cet Accord pour une sortie durable de la crise au Mali. Pour leur part, les membres du CNSP qui se sont félicités d'une visite dont ils notent qu'elle était "la première du genre et de ce niveau" constituait "un grand geste d'amitié et de solidarité en direction du Mali", n'ont pas manqué de réitérer leur attachement aux relations bilatérales avec l'Algérie, exprimant leur souhait d'être accompagnés dans leurs efforts visant à aller vers une sortie de crise consensuelle dans les délais les plus courts possibles. A noter que Sabri Boukadoum, s'est, également entretenu le même jour avec Saleh Annadif, représentant spécial du secrétaire général des Nations unies et chef de la Mission intégrée multidimensionnelle des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma) et Pierre Buyoya, chef de la Mission de l'Union africaine pour le Sahel. Les deux rencontres ont eu pour objet la situation prévalant au Mali ainsi que les voies et moyens à même de l'accompagner pour surmonter les défis de l'heure. l'entité politico-militaire qui gère le pays depuis le coup d'Etat et ledépart du Président Ibrahim Boubacar Keita, du 19 août écoulé. Passant en revue la situation cruciale quiprévaut au Mali, ainsi que les voies devant amener à une sortie de crise, Boukadoum a eu à "réitérer la disponibilité de l'Algérie àaccompagner le Mali en ces circonstances particulières, comme elle l'a toujours fait", souligne un communiqué du MAE. Mettant en exergue la conviction de l'Algérie que "seule la voie pacifique du dialogue entre les enfants du pays est à même d'amorcer un réel processus permettant de surmonter les difficultés de l'heure", poursuit la même source, le chef de la diplomatie algérienne a réaffirmé "l'engagement indéfectible de l'Algérie au Mali et à son peuple, ce qui a, depuis toujours, caractérisé les relations entre lesdeux pays", y compris dans le cadre de la mise en oeuvre de l'Accord pour la paix et la péconciliation au Mali, issu du Processus d'Alger voyant dans cette rencontre l'occasion de réitérer l'attachement à la mise en oeuvre effective de cet Accord pour une sortie durable de la crise au Mali. Pour leur part, les membres du CNSP qui se sont félicités d'une visite dont ils notent qu'elle était "la première du genre et de ce niveau" constituait "un grand geste d'amitié et de solidarité en direction du Mali", n'ont pas manqué de réitérer leur attachement aux relations bilatérales avec l'Algérie, exprimant leur souhait d'être accompagnés dans leurs efforts visant à aller vers une sortie de crise consensuelle dans les délais les plus courts possibles. A noter que Sabri Boukadoum, s'est, également entretenu le même jour avec Saleh Annadif, représentant spécial du secrétaire général des Nations unies et chef de la Mission intégrée multidimensionnelle des Nations unies pour la stabilisation au Mali (Minusma) et Pierre Buyoya, chef de la Mission de l'Union africaine pour le Sahel. Les deux rencontres ont eu pour objet la situation prévalant au Mali ainsi que les voies et moyens à même de l'accompagner pour surmonter les défis de l'heure.