La Cour de justice d'Alger a condamné, hier mardi, le journaliste Khaled Drareni à deux (2) ans de prison ferme pour "atteinte à l'unité nationale" La Cour de justice d'Alger a condamné, hier mardi, le journaliste Khaled Drareni à deux (2) ans de prison ferme pour "atteinte à l'unité nationale" et "incitation à un rassemblement non armé". La Cour a condamné à quatre (4) mois de prison ferme, Samir Belarbi et Mouh Slimane Hamitouche pour "incitation à un rassemblement non armée" en abandonnant l'accusation d'"atteinte à l'unité nationale". Le Procureur général près la Cour d'Alger avait requis, lors du procès en appel, une peine de quatre (4) ans de prison ferme et une amende de 50.000 Da à l'encontre de Khaled Drareni. La même peine a été requise à l'encontre de Samir Belarbi et Slimane Hamitouche, poursuivis dans la même affaire et condamnés, en août dernier, à deux (2) ans de prison, dont quatre (4) mois de prison ferme. Le 10 août passé, le journaliste Khaled Drareni a été condamné par le Tribunal de Sidi M'hamed d'Alger, à trois (3) ans de prison ferme tandis que les activistes Samir Belarbi et Slimane Hamitouche ont écopé de 2 ans d'emprisonnement dont 4 mois fermes pour "atteinte à l'unité nationale" et "incitation à un rassemblement non armé". et "incitation à un rassemblement non armé". La Cour a condamné à quatre (4) mois de prison ferme, Samir Belarbi et Mouh Slimane Hamitouche pour "incitation à un rassemblement non armée" en abandonnant l'accusation d'"atteinte à l'unité nationale". Le Procureur général près la Cour d'Alger avait requis, lors du procès en appel, une peine de quatre (4) ans de prison ferme et une amende de 50.000 Da à l'encontre de Khaled Drareni. La même peine a été requise à l'encontre de Samir Belarbi et Slimane Hamitouche, poursuivis dans la même affaire et condamnés, en août dernier, à deux (2) ans de prison, dont quatre (4) mois de prison ferme. Le 10 août passé, le journaliste Khaled Drareni a été condamné par le Tribunal de Sidi M'hamed d'Alger, à trois (3) ans de prison ferme tandis que les activistes Samir Belarbi et Slimane Hamitouche ont écopé de 2 ans d'emprisonnement dont 4 mois fermes pour "atteinte à l'unité nationale" et "incitation à un rassemblement non armé".