Des médecins spécialistes des maladies respiratoires et épidémiologiques mettent en garde contre une troisième vague de contamination au Covid-19 imminente. Des médecins spécialistes des maladies respiratoires et épidémiologiques mettent en garde contre une troisième vague de contamination au Covid-19 imminente. Avec le nombre d'infections dépassant les 350 cas par jour, les membres du Comité scientifiques tirent la sonnette d'alarme en ce qui concerne les mesures préventives nécessaires pour endiguer cette pandémie. En effet, le professeur d'épidémiologie à l'hôpital El-Hadi-Flici, le docteur Mohamed Zeroual, estime que "l'Algérie s'apprête à vivre la troisième vague de l'épidémie émergente du Covid". Sachant que ce stade d'infection a été dépassé en Europe et en Amérique, ajoutant que "l'Organisation mondiale de la Santé a confirmé que l'Afrique vit actuellement la troisième vague du virus". Le docteur Mohamed Zeroual, a également avant-hier à Radio Sétif que les "chiffres actuels ne reflètent pas la réalité des hôpitaux qui manquent cruellement d'oxygène". Dans ce contexte, le membre du Comité scientifique, le docteur Bekkat Berkani, a son tour, souligné que "la situation épidémiologique récente en Algérie est préoccupante, en raison du nombre croissant d'infections et du nombre élevé de décès". Surtout avec le laxisme latent des citoyens quant à l'application de mesures préventives. Le phénomène est préoccupant et alarmant, compte tenu du début de la saison estivale et de la de là préparations de tous types de festivités dont les rassemblements dus aux fêtes familiales. Selon les informations rapportées par le quotidien Echourouk, le docteur a déclaré que la situation épidémiologique que nous avons est "critique et nous n'avons pas encore acquis l'immunité collective, et les chiffres sont inquiétants", notamment, vu le ralentissement du processus de vaccination, car seulement 2 millions sur 24 millions d'Algériens, ont été vaccinés, ce qui est un très petit nombre, alors qu'actuellement, beaucoup de nations ont vacciné la moitié de leurs citoyens. Pour sa part, le docteur AbdelhamidAbad, président de l'Association nationale des oto-rhino-laryngologistes, a déploré dans une déclaration à Echorouk que les "Algériens ne sont pas intéressés par la vaccination contre le Covid, voire s'en moquent, ce qui permet la survie de ce virus chez nous, notamment en été, les gens se déplacent de ville en ville", notamment vers les villes côtières. Il a expliqué que la vaccination est disponible dans les centres de santé et que tou les Algériens doivent s'y rendre pour le recevoir et éviter l'infection par le virus recrudescent. AbdelhamidAbad, quant à lui, a exclu que l'Algérie soit au coeur d'une troisième vague, car, comparé aux pays européens qui ont enregistré des milliers de contamination quotidiennes, l'Algérie, elle, n'a pas dépassé les 400 cas.Cependant, ce dernier a ajouté qu'on "doit rester vigilant notamment avec l'émergence d'un variant algérien, qui peut devenir dangereux avec la saison estivale et l'ouverture des frontières". Avec le nombre d'infections dépassant les 350 cas par jour, les membres du Comité scientifiques tirent la sonnette d'alarme en ce qui concerne les mesures préventives nécessaires pour endiguer cette pandémie. En effet, le professeur d'épidémiologie à l'hôpital El-Hadi-Flici, le docteur Mohamed Zeroual, estime que "l'Algérie s'apprête à vivre la troisième vague de l'épidémie émergente du Covid". Sachant que ce stade d'infection a été dépassé en Europe et en Amérique, ajoutant que "l'Organisation mondiale de la Santé a confirmé que l'Afrique vit actuellement la troisième vague du virus". Le docteur Mohamed Zeroual, a également avant-hier à Radio Sétif que les "chiffres actuels ne reflètent pas la réalité des hôpitaux qui manquent cruellement d'oxygène". Dans ce contexte, le membre du Comité scientifique, le docteur Bekkat Berkani, a son tour, souligné que "la situation épidémiologique récente en Algérie est préoccupante, en raison du nombre croissant d'infections et du nombre élevé de décès". Surtout avec le laxisme latent des citoyens quant à l'application de mesures préventives. Le phénomène est préoccupant et alarmant, compte tenu du début de la saison estivale et de la de là préparations de tous types de festivités dont les rassemblements dus aux fêtes familiales. Selon les informations rapportées par le quotidien Echourouk, le docteur a déclaré que la situation épidémiologique que nous avons est "critique et nous n'avons pas encore acquis l'immunité collective, et les chiffres sont inquiétants", notamment, vu le ralentissement du processus de vaccination, car seulement 2 millions sur 24 millions d'Algériens, ont été vaccinés, ce qui est un très petit nombre, alors qu'actuellement, beaucoup de nations ont vacciné la moitié de leurs citoyens. Pour sa part, le docteur AbdelhamidAbad, président de l'Association nationale des oto-rhino-laryngologistes, a déploré dans une déclaration à Echorouk que les "Algériens ne sont pas intéressés par la vaccination contre le Covid, voire s'en moquent, ce qui permet la survie de ce virus chez nous, notamment en été, les gens se déplacent de ville en ville", notamment vers les villes côtières. Il a expliqué que la vaccination est disponible dans les centres de santé et que tou les Algériens doivent s'y rendre pour le recevoir et éviter l'infection par le virus recrudescent. AbdelhamidAbad, quant à lui, a exclu que l'Algérie soit au coeur d'une troisième vague, car, comparé aux pays européens qui ont enregistré des milliers de contamination quotidiennes, l'Algérie, elle, n'a pas dépassé les 400 cas.Cependant, ce dernier a ajouté qu'on "doit rester vigilant notamment avec l'émergence d'un variant algérien, qui peut devenir dangereux avec la saison estivale et l'ouverture des frontières".