Les consultations pour la formation du nouveau gouvernement ont été engagées. Hier samedi en effet le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a entamé ce cycle de consultations avec les partis politiques et les indépendants qui ont raflé les sièges à L'Assemblée populaire nationale (APN), lors des élections législatives anticipées du 12 juin dernier. Les consultations pour la formation du nouveau gouvernement ont été engagées. Hier samedi en effet le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a entamé ce cycle de consultations avec les partis politiques et les indépendants qui ont raflé les sièges à L'Assemblée populaire nationale (APN), lors des élections législatives anticipées du 12 juin dernier. Al'évidence, et au vu de son résultat réalisé lors de ces élections, c'est le parti du FLN qui a ouvert le bal suivi des représentants des indépendants. Le FLN est, pour rappel, arrivé en tête des élections avec 98 sièges, suivi des indépendants qui ont, quant à eux, raflé 84 sièges. "Dans le cadre des concertations politiques élargies en vue de la formation du gouvernement, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune a reçu le secrétaire général du parti du FLN, Abou El Fadhl Baadji, accompagné de membres du bureau politique", lit-on dans le communiqué de la présidence de la République rendu public hier. Le Président Tebboune a également "reçu une délégation de représentants des indépendants conduite par Abdelwahab Aït Menguelet composée de Ali Mounsi, Saker Berri, Abdelhamid Belakhel, Benaouda Bettahar El Hadj, Abdelkader Gouri et Fatma Bidaa" a indiqué le même communiqué. Ainsi donc le Président Tebboune n'a pas attendu longtemps pour passer à la vitesse supérieure afin de former le prochain exécutif. En effet, dès l'annonce des résul ats définitifs du scrutin législatif mercredi soir par le Conseil constitutionnel les événements sont allés s'accélérant. Ainsi, au lendemain de cette proclamation des résultats , soit jeudi, le Premier ministre, Abdelaziz Djerrad, a présenté la démission de son gouvernement au président de la République. Cette démission, qui s'inscrit dans la logique politique, a été accepté par le chef de l'Etat. "J'accepte la démission, mais continuez à gérer les affaires courantes jusqu'à la désignation d'un nouveau gouvernement", a en effet indiqué le Président Tebboune ajoutant : "Je vous remercie des efforts que vous avez consentis dans une conjoncture difficile. Je sais que le gouvernement a fait face à des situations difficiles, la première étant la pandémie du coronavirus". Dans le cadre de ces consultations le Président recevra en audience les partis qui ont réalisé les meilleurs scores lors des législatives. Ainsi, en plus du FLN et des indépendants, il y a le MSP (65 sièges), le Front El Moustakbal (48 sièges ) et le Mouvement El Bina (39 sièges). Maintenant l'attention des analystes est focalisée sur la nature du prochain gouvernement. A ce propos les conjectures vont bon train et chacun y va de son avis. Si certains penchent pour un gouvernement politique d'autres s'attendent à un gouvernement de technocrates. A ce titre, tous sont d'accord pour dire que toutes les cartes sont entre les mains du Président Tebboune. Ce dernier dispose en effet d'une très large majorité à l'APN. Mais malgré cela le chef de l'Etat ne peut ne pas prendre en considération l'opinion des partis qui soutiennent son programme ou ceux qui ont fait montre de leur disponibilité à faire partie de l'exécutif tout en posant un nombre de conditions comme c'est le cas du MSP. Au sortir de l'audience que lui a accordé le Président Tebboune, le secrétaire général du parti du FLN, Abou El Fadl Baadji, a indiqué que "naturellement le gouvernement sera politique", ajoutant que "partout dans le monde le gouvernement est dirigé par les partis politiques qui gagnent les élections". Cela constitue un indice sérieux sur la tendance générale qui prévaut, d'autant que les autres partis vainqueurs abondent dans le m me sens. Al'évidence, et au vu de son résultat réalisé lors de ces élections, c'est le parti du FLN qui a ouvert le bal suivi des représentants des indépendants. Le FLN est, pour rappel, arrivé en tête des élections avec 98 sièges, suivi des indépendants qui ont, quant à eux, raflé 84 sièges. "Dans le cadre des concertations politiques élargies en vue de la formation du gouvernement, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune a reçu le secrétaire général du parti du FLN, Abou El Fadhl Baadji, accompagné de membres du bureau politique", lit-on dans le communiqué de la présidence de la République rendu public hier. Le Président Tebboune a également "reçu une délégation de représentants des indépendants conduite par Abdelwahab Aït Menguelet composée de Ali Mounsi, Saker Berri, Abdelhamid Belakhel, Benaouda Bettahar El Hadj, Abdelkader Gouri et Fatma Bidaa" a indiqué le même communiqué. Ainsi donc le Président Tebboune n'a pas attendu longtemps pour passer à la vitesse supérieure afin de former le prochain exécutif. En effet, dès l'annonce des résul ats définitifs du scrutin législatif mercredi soir par le Conseil constitutionnel les événements sont allés s'accélérant. Ainsi, au lendemain de cette proclamation des résultats , soit jeudi, le Premier ministre, Abdelaziz Djerrad, a présenté la démission de son gouvernement au président de la République. Cette démission, qui s'inscrit dans la logique politique, a été accepté par le chef de l'Etat. "J'accepte la démission, mais continuez à gérer les affaires courantes jusqu'à la désignation d'un nouveau gouvernement", a en effet indiqué le Président Tebboune ajoutant : "Je vous remercie des efforts que vous avez consentis dans une conjoncture difficile. Je sais que le gouvernement a fait face à des situations difficiles, la première étant la pandémie du coronavirus". Dans le cadre de ces consultations le Président recevra en audience les partis qui ont réalisé les meilleurs scores lors des législatives. Ainsi, en plus du FLN et des indépendants, il y a le MSP (65 sièges), le Front El Moustakbal (48 sièges ) et le Mouvement El Bina (39 sièges). Maintenant l'attention des analystes est focalisée sur la nature du prochain gouvernement. A ce propos les conjectures vont bon train et chacun y va de son avis. Si certains penchent pour un gouvernement politique d'autres s'attendent à un gouvernement de technocrates. A ce titre, tous sont d'accord pour dire que toutes les cartes sont entre les mains du Président Tebboune. Ce dernier dispose en effet d'une très large majorité à l'APN. Mais malgré cela le chef de l'Etat ne peut ne pas prendre en considération l'opinion des partis qui soutiennent son programme ou ceux qui ont fait montre de leur disponibilité à faire partie de l'exécutif tout en posant un nombre de conditions comme c'est le cas du MSP. Au sortir de l'audience que lui a accordé le Président Tebboune, le secrétaire général du parti du FLN, Abou El Fadl Baadji, a indiqué que "naturellement le gouvernement sera politique", ajoutant que "partout dans le monde le gouvernement est dirigé par les partis politiques qui gagnent les élections". Cela constitue un indice sérieux sur la tendance générale qui prévaut, d'autant que les autres partis vainqueurs abondent dans le m me sens.