L'Assemblée générale du Conseil économique, social et environnemental a été installée hier avec ces 200 membres. Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a inauguré l'événement en plaidant pour que le Cnese devienne un outil important d'avis et de conseil en matière de stratégie de développement. L'Assemblée générale du Conseil économique, social et environnemental a été installée hier avec ces 200 membres. Le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a inauguré l'événement en plaidant pour que le Cnese devienne un outil important d'avis et de conseil en matière de stratégie de développement. Prenant la parole, le président du Cnese, Réda Tir, a souligné de prime abord que le Cnese «c'est un outil d'analyse et de Conseil dans sa nouvelle dynamique de la démocratie participative avec un contexte particulier appelant à plus d'investissement, problématique de gouvernance ainsi que les aspects sociaux et environnementaux». L'une des missions reste d'évaluer toute la stratégie de développement. Aussi est-il important de souligner « l'importance des TIC, de la formation de haut niveau de ces membres ». Il a dans ce sens indiqué que « la nouvelle administration numérique et l'intelligence artificielle ont été intégrées à notre Conseil dans le but de rentabiliser et s'adapter aux nouvelles donnes ». « Nous ne cesserons de nous appuyer sur les compétences nationales et celles à l'étranger » a-t-il plaidé devant l'assistance. Le président de la République a souligné au cours de son allocution lors de l'installation des membres l'Assemblée générale du Conseil que « cette institution a un rôle à jouer et d'une importance capitale dans les missions d'évaluation et de prospectives des politiques de développement. Un outil qui rentre dans le cadre de ces compétences ». « Notre objectif est issu du programme de participation des compétences nationales avec une vision nationale locale et non importée qui permet de ne pas être conditionnée à ce qui se fait ailleurs ». Le Chef de l'Etat a fortement souligné sur le rôle crucial de ce qu'il a appelé le « génie algérien». Il a dans ce sens estimé que «les recommandations sur l'environnement qu'il faut intégrer au développement durable et propositions sur les acquis sociaux font partie désormais de nos attentes». Et de poursuivre : « Nous avons insisté sur la diversité des membres issu de plusieurs domaines et en fonction des critères scientifiques des compétences locales et celles résidant à l'étranger ». Le Président a estimé que « ce Conseil est important dans le cadre d'un débat fécond entre membres. Il est issu des réformes institutionnelles diverses. Nous allons continuer à oeuvrer à la poursuite d'autres chantiers de réformes des autres institutions ». Le Chef de l'Etat a ensuite à improvisé dans son discours des points relatifs à l'économie nationale. Il a rappelé dans ce sens « qu'il faut indiquer que le secteur hydrocarbures génère une économie rentière par excellence et sous-développée ». « Depuis 40 ans, on parle de la diversité de l'économie. Mais aujourd'hui, nous avons pour la première fois dépassé le cap de 3,1 milliards d'exportation et nous allons atteindre avant la fin de l'année le cap des 4 à 5 milliards e dollars ». Il s'est attaché à l'importance « du chapitre qui met en relief une réforme structurelle dans le cadre d'une baisse de l'importation qui a été de 30 milliards de dollars cette année. Nous n'avons pas de déficit et nous n'allons plus piocher dans les réserves de change». Abdelmadjid Tebboune a également fait savoir «le constat du secteur privé qui fait que ce dernier représente 85% du PIB du pays, mais malheureusement le financement se fait toujours par des banques publiques ». Il a également déploré que « l'économie informelle représente 10.000 milliards de dinars soit presque 90 milliards de dollars. Cet argent peut financer les projets économiques. L'Etat est disponible pour conseiller et réguler l'investissement alors que l'investisseur est seul à promouvoir l'économie nationale ». Prenant la parole, le président du Cnese, Réda Tir, a souligné de prime abord que le Cnese «c'est un outil d'analyse et de Conseil dans sa nouvelle dynamique de la démocratie participative avec un contexte particulier appelant à plus d'investissement, problématique de gouvernance ainsi que les aspects sociaux et environnementaux». L'une des missions reste d'évaluer toute la stratégie de développement. Aussi est-il important de souligner « l'importance des TIC, de la formation de haut niveau de ces membres ». Il a dans ce sens indiqué que « la nouvelle administration numérique et l'intelligence artificielle ont été intégrées à notre Conseil dans le but de rentabiliser et s'adapter aux nouvelles donnes ». « Nous ne cesserons de nous appuyer sur les compétences nationales et celles à l'étranger » a-t-il plaidé devant l'assistance. Le président de la République a souligné au cours de son allocution lors de l'installation des membres l'Assemblée générale du Conseil que « cette institution a un rôle à jouer et d'une importance capitale dans les missions d'évaluation et de prospectives des politiques de développement. Un outil qui rentre dans le cadre de ces compétences ». « Notre objectif est issu du programme de participation des compétences nationales avec une vision nationale locale et non importée qui permet de ne pas être conditionnée à ce qui se fait ailleurs ». Le Chef de l'Etat a fortement souligné sur le rôle crucial de ce qu'il a appelé le « génie algérien». Il a dans ce sens estimé que «les recommandations sur l'environnement qu'il faut intégrer au développement durable et propositions sur les acquis sociaux font partie désormais de nos attentes». Et de poursuivre : « Nous avons insisté sur la diversité des membres issu de plusieurs domaines et en fonction des critères scientifiques des compétences locales et celles résidant à l'étranger ». Le Président a estimé que « ce Conseil est important dans le cadre d'un débat fécond entre membres. Il est issu des réformes institutionnelles diverses. Nous allons continuer à oeuvrer à la poursuite d'autres chantiers de réformes des autres institutions ». Le Chef de l'Etat a ensuite à improvisé dans son discours des points relatifs à l'économie nationale. Il a rappelé dans ce sens « qu'il faut indiquer que le secteur hydrocarbures génère une économie rentière par excellence et sous-développée ». « Depuis 40 ans, on parle de la diversité de l'économie. Mais aujourd'hui, nous avons pour la première fois dépassé le cap de 3,1 milliards d'exportation et nous allons atteindre avant la fin de l'année le cap des 4 à 5 milliards e dollars ». Il s'est attaché à l'importance « du chapitre qui met en relief une réforme structurelle dans le cadre d'une baisse de l'importation qui a été de 30 milliards de dollars cette année. Nous n'avons pas de déficit et nous n'allons plus piocher dans les réserves de change». Abdelmadjid Tebboune a également fait savoir «le constat du secteur privé qui fait que ce dernier représente 85% du PIB du pays, mais malheureusement le financement se fait toujours par des banques publiques ». Il a également déploré que « l'économie informelle représente 10.000 milliards de dinars soit presque 90 milliards de dollars. Cet argent peut financer les projets économiques. L'Etat est disponible pour conseiller et réguler l'investissement alors que l'investisseur est seul à promouvoir l'économie nationale ».