Alors que le secteur automobile en Algérie reste figé, les opérateurs internationaux expriment de plus en plus leur souhait d'y investir. Alors que le secteur automobile en Algérie reste figé, les opérateurs internationaux expriment de plus en plus leur souhait d'y investir. C'est le cas par exemple des opérateurs japonais, selon l'ambassadeur de ce pays en Algérie. Intervenant en marge d'une cérémonie tenue à l'auditorium de l'université des sciences et de la technologie d'Oran, l'ambassadeur du Japon en Algérie, Kono Akira, a exprimé le "vif intérêt" d'opérateurs japonais pour des partenariats avec leurs homologues algériens. Dans une déclaration rapportée par l'agence officielle, l'ambassadeur a indiqué que ces "opérateurs souhaitent investir dans plusieurs domaines, dont les télécommunications, l'industrie pharmaceutique, la santé et l'industrie automobile". Concernant ce dernier point, l'intervenant affirme que le "secteur de l'industrie automobile demeure un des principaux domaines qui suscite l'intérêt des opérateurs nippons. Notre intérêt pour l'industrie automobile est bien connu et on attend la révision de code de l'investissement en Algérie", a-t-il déclaré. À ce propos, il estime que "les efforts en Algérie pour l'amélioration du climat des affaires sont importants pour les opérateurs économiques japonais". Selon lui, des hommes d'affaires japonais devront effectuer prochainement une visite à l'Algérie. Cette visite devra intervenir après la stabilisation de la situation sanitaire dans le monde, et ce, dans le cadre de la volonté des deux pays de promouvoir la coopération bilatérale. Dans ce sillage, l'ambassadeur a qualifié les relations bilatérales entre le Japon et l'Algérie "d'excellentes", tout en mettant en relief les récents efforts pour redynamiser l'activité diplomatique. Dans ce sens, il rappelle la "longue histoire des relations amicales qui lient les deux pays et le Japon est l'un des premiers pays à reconnaitre l'indépendance de l'Algérie en 1962". Par ailleurs, il a exprimé son souhait de saisir le soixantième anniversaire célébrant les relations entre l'Algérie et le Japon en 2022 pour renforcer la collaboration entre les deux pays. C'est le cas par exemple des opérateurs japonais, selon l'ambassadeur de ce pays en Algérie. Intervenant en marge d'une cérémonie tenue à l'auditorium de l'université des sciences et de la technologie d'Oran, l'ambassadeur du Japon en Algérie, Kono Akira, a exprimé le "vif intérêt" d'opérateurs japonais pour des partenariats avec leurs homologues algériens. Dans une déclaration rapportée par l'agence officielle, l'ambassadeur a indiqué que ces "opérateurs souhaitent investir dans plusieurs domaines, dont les télécommunications, l'industrie pharmaceutique, la santé et l'industrie automobile". Concernant ce dernier point, l'intervenant affirme que le "secteur de l'industrie automobile demeure un des principaux domaines qui suscite l'intérêt des opérateurs nippons. Notre intérêt pour l'industrie automobile est bien connu et on attend la révision de code de l'investissement en Algérie", a-t-il déclaré. À ce propos, il estime que "les efforts en Algérie pour l'amélioration du climat des affaires sont importants pour les opérateurs économiques japonais". Selon lui, des hommes d'affaires japonais devront effectuer prochainement une visite à l'Algérie. Cette visite devra intervenir après la stabilisation de la situation sanitaire dans le monde, et ce, dans le cadre de la volonté des deux pays de promouvoir la coopération bilatérale. Dans ce sillage, l'ambassadeur a qualifié les relations bilatérales entre le Japon et l'Algérie "d'excellentes", tout en mettant en relief les récents efforts pour redynamiser l'activité diplomatique. Dans ce sens, il rappelle la "longue histoire des relations amicales qui lient les deux pays et le Japon est l'un des premiers pays à reconnaitre l'indépendance de l'Algérie en 1962". Par ailleurs, il a exprimé son souhait de saisir le soixantième anniversaire célébrant les relations entre l'Algérie et le Japon en 2022 pour renforcer la collaboration entre les deux pays.