Ce qui se passe dans le monde est sans doute inquiétant. Les cas de contamination au Covid-19 doublent chaque jour dans certains pays, notamment en Europe. En Algérie la flambée continue ne cesse d'inquiéter. Ce qui se passe dans le monde est sans doute inquiétant. Les cas de contamination au Covid-19 doublent chaque jour dans certains pays, notamment en Europe. En Algérie la flambée continue ne cesse d'inquiéter. Lle professeur Senhadji, président de l'Agence nationale de la sécurité sanitaire, n'a pas caché ses craintes par rapport à la situation sanitaire que l'Algérie connaît ces derniers jours. Selon ce spécialiste, toutefois, il ne faut pas s'inquiéter outre mesure du variant Omicron, mais du Delta. Omicron est, selon les résultats des dernières études, plus contagieux, mais moins dangereux que les autres variants, rassure le professeur Senhadji, qui ne manque pas cependant de noter que "ce qui est le plus important c'est que l'on fait face actuellement à un début de quatrième vague qui est la plus dangereuse". Selon le spécialiste, la vaccination reste le meilleur moyen d'éviter un retour au confinement. Il assure que la tendance haussière des cas de contamination au covid-19 en Algérie va sans doute forcer les autorités à revenir à cette mesure. Le professeur Senhadji a lancé, encore une fois, un appel aux Algériens afin qu'ils se fassent vacciner "dans les plus brefs délais contre le coronavirus afin que l'on atteigne l'immunité collective" et afin de garantir la sécurité des plus fragiles d'entre nous. La vaccination contre le covid-19 permettra aussi, toujours selon les déclarations du professeur Senhadji, "un retour à la vie normale et nous évitera un retour au confinement". Le vaccin seul est la solution contre un retour au "confinement" assure le spécialiste qui précise que "si la situation sanitaire continue à empirer et si le taux de vaccination reste faible, cela nous mènera au confinement". "Omicron risque de mettre fin à la pandémie" L'évolution de la pandémie du coronavirus force les spécialistes à réagir un peu partout à travers le monde, afin de trouver des sorties de crise. En Algérie, les cas de contamination augmentent chaque jour , ce qui pousse déjà à recourir à des mesures plus extrêmes, comme la vaccination des enfants et des femmes enceintes. concernant le variant Omicron, le professeur Djenouhat dresse un bilan assez positif. Bien qu'il affirme que ce nouveau variant se propage 70 fois plus vite que les anciennes souches, le spécialiste souligne que "les dernières études, qui nous viennent ces trois derniers jours de Hong Kong, démontrent que ce variant n'entre pas dans les poumons, mais reste dans les branches, c'est pour cela que sa propagation est rapide tandis que se symptômes sont légers". Un autre point positif souligné par le professeur Djenouhat, c'est que le variant Omicron est en voie d'éradiquer les autres variants. Le professeur a déclaré aujourd'hui, lors de son passage dans une émission d'Echourouk TV, que "le variant Omicron ne peut pas cohabiter avec les autres souches du Covid-19, on peut dire qu'il s'agit éventuellement d'un point positif, car avec le temps, il se peut que la souche Delta disparaisse, ainsi que les autres souches, en faveur du variant Omicron". Le spécialiste indique cependant que "l'efficacité des vaccins a baissé contre le variant Omicron. Bien que « les deux doses peuvent protéger contre le nouveau variant", le professeur Djenouhat rappelle que le vrai danger demeure pour le moment le variant Delta. Il est impossible, assure le spécialiste, "d'empêcher omicron de dominer dans n'importe quel pays". concernant l'Algérie, le professeur Kamel Djenouhat indique que ce nouveau variant pourrait dominer "d'ici deux ou trois mois. Notre objectif est de ne pas avoir beaucoup de patient dans un temps très court", explique le même intervenant. Le coronavirus "s'est transformé de la forme pandémique à la forme endémique", affirme le professeur Djenouhat, qui explique "qu'il est possible avec la souche Omicron que le Covid-19 devienne comme les virus causant le rhume ou la grippe". Lle professeur Senhadji, président de l'Agence nationale de la sécurité sanitaire, n'a pas caché ses craintes par rapport à la situation sanitaire que l'Algérie connaît ces derniers jours. Selon ce spécialiste, toutefois, il ne faut pas s'inquiéter outre mesure du variant Omicron, mais du Delta. Omicron est, selon les résultats des dernières études, plus contagieux, mais moins dangereux que les autres variants, rassure le professeur Senhadji, qui ne manque pas cependant de noter que "ce qui est le plus important c'est que l'on fait face actuellement à un début de quatrième vague qui est la plus dangereuse". Selon le spécialiste, la vaccination reste le meilleur moyen d'éviter un retour au confinement. Il assure que la tendance haussière des cas de contamination au covid-19 en Algérie va sans doute forcer les autorités à revenir à cette mesure. Le professeur Senhadji a lancé, encore une fois, un appel aux Algériens afin qu'ils se fassent vacciner "dans les plus brefs délais contre le coronavirus afin que l'on atteigne l'immunité collective" et afin de garantir la sécurité des plus fragiles d'entre nous. La vaccination contre le covid-19 permettra aussi, toujours selon les déclarations du professeur Senhadji, "un retour à la vie normale et nous évitera un retour au confinement". Le vaccin seul est la solution contre un retour au "confinement" assure le spécialiste qui précise que "si la situation sanitaire continue à empirer et si le taux de vaccination reste faible, cela nous mènera au confinement". "Omicron risque de mettre fin à la pandémie" L'évolution de la pandémie du coronavirus force les spécialistes à réagir un peu partout à travers le monde, afin de trouver des sorties de crise. En Algérie, les cas de contamination augmentent chaque jour , ce qui pousse déjà à recourir à des mesures plus extrêmes, comme la vaccination des enfants et des femmes enceintes. concernant le variant Omicron, le professeur Djenouhat dresse un bilan assez positif. Bien qu'il affirme que ce nouveau variant se propage 70 fois plus vite que les anciennes souches, le spécialiste souligne que "les dernières études, qui nous viennent ces trois derniers jours de Hong Kong, démontrent que ce variant n'entre pas dans les poumons, mais reste dans les branches, c'est pour cela que sa propagation est rapide tandis que se symptômes sont légers". Un autre point positif souligné par le professeur Djenouhat, c'est que le variant Omicron est en voie d'éradiquer les autres variants. Le professeur a déclaré aujourd'hui, lors de son passage dans une émission d'Echourouk TV, que "le variant Omicron ne peut pas cohabiter avec les autres souches du Covid-19, on peut dire qu'il s'agit éventuellement d'un point positif, car avec le temps, il se peut que la souche Delta disparaisse, ainsi que les autres souches, en faveur du variant Omicron". Le spécialiste indique cependant que "l'efficacité des vaccins a baissé contre le variant Omicron. Bien que « les deux doses peuvent protéger contre le nouveau variant", le professeur Djenouhat rappelle que le vrai danger demeure pour le moment le variant Delta. Il est impossible, assure le spécialiste, "d'empêcher omicron de dominer dans n'importe quel pays". concernant l'Algérie, le professeur Kamel Djenouhat indique que ce nouveau variant pourrait dominer "d'ici deux ou trois mois. Notre objectif est de ne pas avoir beaucoup de patient dans un temps très court", explique le même intervenant. Le coronavirus "s'est transformé de la forme pandémique à la forme endémique", affirme le professeur Djenouhat, qui explique "qu'il est possible avec la souche Omicron que le Covid-19 devienne comme les virus causant le rhume ou la grippe".