Getafe tentera de remporter son premier trophée en disputant aujourd'hui la finale de la Coupe d'Espagne face au FC Séville, déjà vainqueur cette saison de la Supercoupe d'Europe et de la Coupe de l'UEFA. Getafe tentera de remporter son premier trophée en disputant aujourd'hui la finale de la Coupe d'Espagne face au FC Séville, déjà vainqueur cette saison de la Supercoupe d'Europe et de la Coupe de l'UEFA. Séville est le grand favori de cette finale, qui se joue aujourd'hui à 19h au stade Santiago-Bernabeu de Madrid, et son entraîneur, Juande Ramos, s'en inquiète. «Je ne vois personne concentré sur la finale», s'est alarmé le technicien du club sévillan, vainqueur de la Supercoupe d'Europe face au FC Barcelone (3-0) et de la C3, dont il était le tenant du titre, contre l'Espanyol Barcelone. «Je ressens la même chose que quand nous allions jouer la Supercoupe d'Europe à Monaco et que le FC Barcelone se demandait s'il allait nous mettre trois ou quatre buts, sauf que cette fois la situation est inversée», a poursuivi Juande Ramos. Le polyvalent latéral gauche du FC Séville, Antonio Puerta, tient toutefois un discours enclin à rassurer son «coach» : la Coupe du Roi est «le titre le plus important parce que c'est la Coupe d'Espagne. Cela fait très longtemps que nous n'avons pas gagné un tournoi en Espagne et nous allons à Madrid avec beaucoup d'espoirs». Le FC Séville, champion d'Espagne pour la seule fois de son histoire en 1946, a remporté trois Coupes d'Espagne, dont la dernière en 1948. Pour Getafe, club de la banlieue madrilène fondé en 1983, assuré de la Coupe de l'UEFA (Séville jouera la C1), une victoire en finale serait l'aboutissement du travail mené par le président Angel Torres depuis cinq saisons. Monté en 2e division en 2002, Getafe a rejoint l'élite du foot espagnol en 2004. Il a terminé cette saison à la 9e place, comme la saison dernière, après une 13e place en 2004-2005. L'entraîneur allemand Bernd Schuster, au club depuis 2005, pourrait disputer son dernier match à la tête de l'équipe, alors que presque toute la presse espagnole l'annonce au Real Madrid, la saison prochaine. Séville est le grand favori de cette finale, qui se joue aujourd'hui à 19h au stade Santiago-Bernabeu de Madrid, et son entraîneur, Juande Ramos, s'en inquiète. «Je ne vois personne concentré sur la finale», s'est alarmé le technicien du club sévillan, vainqueur de la Supercoupe d'Europe face au FC Barcelone (3-0) et de la C3, dont il était le tenant du titre, contre l'Espanyol Barcelone. «Je ressens la même chose que quand nous allions jouer la Supercoupe d'Europe à Monaco et que le FC Barcelone se demandait s'il allait nous mettre trois ou quatre buts, sauf que cette fois la situation est inversée», a poursuivi Juande Ramos. Le polyvalent latéral gauche du FC Séville, Antonio Puerta, tient toutefois un discours enclin à rassurer son «coach» : la Coupe du Roi est «le titre le plus important parce que c'est la Coupe d'Espagne. Cela fait très longtemps que nous n'avons pas gagné un tournoi en Espagne et nous allons à Madrid avec beaucoup d'espoirs». Le FC Séville, champion d'Espagne pour la seule fois de son histoire en 1946, a remporté trois Coupes d'Espagne, dont la dernière en 1948. Pour Getafe, club de la banlieue madrilène fondé en 1983, assuré de la Coupe de l'UEFA (Séville jouera la C1), une victoire en finale serait l'aboutissement du travail mené par le président Angel Torres depuis cinq saisons. Monté en 2e division en 2002, Getafe a rejoint l'élite du foot espagnol en 2004. Il a terminé cette saison à la 9e place, comme la saison dernière, après une 13e place en 2004-2005. L'entraîneur allemand Bernd Schuster, au club depuis 2005, pourrait disputer son dernier match à la tête de l'équipe, alors que presque toute la presse espagnole l'annonce au Real Madrid, la saison prochaine.