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La pomme de terre à 30 DA le kilo pour le mois de Ramadhan
Selon l'union générale des commerçants et artisans algériens
Publié dans Le Midi Libre le 08 - 07 - 2007

Depuis plusieurs mois, le prix de la pomme de terre ne cesse, pour le malheur de la bourse des ménages, de grimper pour atteindre les 60 et 80 DA le kilo, voire plus.
Depuis plusieurs mois, le prix de la pomme de terre ne cesse, pour le malheur de la bourse des ménages, de grimper pour atteindre les 60 et 80 DA le kilo, voire plus.
Le prix de la pomme de terre devrait baisser sensiblement durant le mois de septembre, a indiqué, hier, M.Medjbar, mandataire dans les marchés de fruits et légumes. «Actuellement, la pomme de terre consommée est celle issue de l'importation ou des stockés. Mais à partir du mois de septembre, la nouvelle production sera mise sur le marché, ce qui entraînera une baisse des prix, pour ainsi atteindre les 30 DA le kg», a-t-il expliqué
En effet, depuis plusieurs mois, le prix de la pomme de terre ne cesse, pour le malheur de la leourse de la ménagère, de grimper pour atteindre les 60 et 80 DA le kilo, voire plus. Ce tubercule, devenu un produit stratégique, a atteint durant ce mois de juillet les 40 DA chez les producteurs. Selon M. Medjber, cette tendance à la hausse durera probablement bien plus longtemps. En effet, le responsable a affirmé que le prix de ce produit, qui est compris entre 42 et 50 DA le kg, poursuivra sa hausse jusqu'au mois de septembre prochain, date à laquelle la récolte de la pomme de terre, cultivée dans la wilaya Sétif et ses environs, sera enfin prête. Ajoutées à cette récolte, les quantités de pommes de terre qui seront importées d'Europe, et qui feront baisser les prix pour atteindre les 30 da le kg. Par ailleurs, la raison de la hausse des prix de la pomme de terre serait liée, selon M. Medjber, non seulement à la spéculation, mais aussi à la cherté de la semence de la pomme de terre. Le prix de cette dernière a atteint cette année les 120 DA le kg ce qui a dissuadé les agriculteurs.
En outre, dans son intervention, M. Rachid Bouziane, président du conseil national des marchés de gros de fruits et légumes, est revenu sur l'état dans lequel se trouve actuellement les marchés de gros en Algérie. Importants espaces économiques, les marchés de gros, en Algérie, souffrent aujourd'hui de très graves problèmes liés dans la majeure partie des cas à la désorganisation et l'anarchie qui règnent en maîtres depuis plusieurs années. Cette image, actuellement représentative de tous les marchés de gros ouverts sur le territoire national, persiste encore malgré les multiples interventions des autorités afin de mettre un terme à cette situation. Cette politique jugée non fiable par les membres de l'Union générale des commerçant et artisans algériens, perd toute son efficacité face à la non-implication des ministères et organismes concernés de près ou de loin par la question d'organisation du marché algérien. Face à cette situation, l'Ugcaa appelle une fois de plus les ministères, notamment ceux des Collectivités locales, des Finances, du Commerce, de la Santé, du Transport et de l'Environnement à une réelle implication.
Par ailleurs, il existe, actuellement en Algérie, 38 marchés de gros des fruits et légumes, 73 de bétails, 56de voitures et une centaine de détail au niveau des communes. Ces espaces, construits dans les années 80, ne répondent plus aux besoins des commerçants et producteurs. En effet, actuellement, ces espaces n'arrivent pas à absorber toute l'offre des producteurs par manque d'infrastructures, ce qui rend nécessaire la construction d'autres espaces plus modernes et qui répondent aux réels besoins des producteurs et commerçants.
Le prix de la pomme de terre devrait baisser sensiblement durant le mois de septembre, a indiqué, hier, M.Medjbar, mandataire dans les marchés de fruits et légumes. «Actuellement, la pomme de terre consommée est celle issue de l'importation ou des stockés. Mais à partir du mois de septembre, la nouvelle production sera mise sur le marché, ce qui entraînera une baisse des prix, pour ainsi atteindre les 30 DA le kg», a-t-il expliqué
En effet, depuis plusieurs mois, le prix de la pomme de terre ne cesse, pour le malheur de la leourse de la ménagère, de grimper pour atteindre les 60 et 80 DA le kilo, voire plus. Ce tubercule, devenu un produit stratégique, a atteint durant ce mois de juillet les 40 DA chez les producteurs. Selon M. Medjber, cette tendance à la hausse durera probablement bien plus longtemps. En effet, le responsable a affirmé que le prix de ce produit, qui est compris entre 42 et 50 DA le kg, poursuivra sa hausse jusqu'au mois de septembre prochain, date à laquelle la récolte de la pomme de terre, cultivée dans la wilaya Sétif et ses environs, sera enfin prête. Ajoutées à cette récolte, les quantités de pommes de terre qui seront importées d'Europe, et qui feront baisser les prix pour atteindre les 30 da le kg. Par ailleurs, la raison de la hausse des prix de la pomme de terre serait liée, selon M. Medjber, non seulement à la spéculation, mais aussi à la cherté de la semence de la pomme de terre. Le prix de cette dernière a atteint cette année les 120 DA le kg ce qui a dissuadé les agriculteurs.
En outre, dans son intervention, M. Rachid Bouziane, président du conseil national des marchés de gros de fruits et légumes, est revenu sur l'état dans lequel se trouve actuellement les marchés de gros en Algérie. Importants espaces économiques, les marchés de gros, en Algérie, souffrent aujourd'hui de très graves problèmes liés dans la majeure partie des cas à la désorganisation et l'anarchie qui règnent en maîtres depuis plusieurs années. Cette image, actuellement représentative de tous les marchés de gros ouverts sur le territoire national, persiste encore malgré les multiples interventions des autorités afin de mettre un terme à cette situation. Cette politique jugée non fiable par les membres de l'Union générale des commerçant et artisans algériens, perd toute son efficacité face à la non-implication des ministères et organismes concernés de près ou de loin par la question d'organisation du marché algérien. Face à cette situation, l'Ugcaa appelle une fois de plus les ministères, notamment ceux des Collectivités locales, des Finances, du Commerce, de la Santé, du Transport et de l'Environnement à une réelle implication.
Par ailleurs, il existe, actuellement en Algérie, 38 marchés de gros des fruits et légumes, 73 de bétails, 56de voitures et une centaine de détail au niveau des communes. Ces espaces, construits dans les années 80, ne répondent plus aux besoins des commerçants et producteurs. En effet, actuellement, ces espaces n'arrivent pas à absorber toute l'offre des producteurs par manque d'infrastructures, ce qui rend nécessaire la construction d'autres espaces plus modernes et qui répondent aux réels besoins des producteurs et commerçants.


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