560 médailles (164 en or, 176 en argent et 220 en bronze), ont été remportées par les athlètes algériens lors de leur participation à huit rendez-vous africains et dont la 9è édition s'ouvrira mercredi prochain au stade 5-Juillet (Alger). 560 médailles (164 en or, 176 en argent et 220 en bronze), ont été remportées par les athlètes algériens lors de leur participation à huit rendez-vous africains et dont la 9è édition s'ouvrira mercredi prochain au stade 5-Juillet (Alger). Ce palmarès place l'Algérie à la 4ème position dans le classement de ce rendez-vous continental après l'Egypte, le Nigeria et l'Afrique du Sud. Les athlètes algériens ont pu s'imposer dès la première édition qui a eu lieu à Brazzaville en 1965. L'Algérie qui venait d'arracher son indépendance, a pris part aux compétitions avec de jeunes athlètes qui, en dépit de moyens limités, ont pu réaliser des résultats positifs et remporter 2 médailles d'or, 3 d'argent et 7 de bronze se plaçant ainsi à la 7eme position sur 30 pays participants. Huit ans après, l'Algérie qui a réussi à former une élite avec l'objectif d'optimiser les résultats de l'édition précédente, remporte 22 médailles (4 en or, 5 en argent et 13 en bronze) mais reste, cependant, à la 7e place. Lors de la 3ème édition en 1978, l'Algérie qui abritait les compétitions de cette manifestation sportive africaine, réussit à améliorer son classement et multiplier par trois le nombre de médailles récoltées, grimpant ainsi, avec 66 médailles (21 en or, 19 en argent et 26 en bronze), à la troisième place après la Tunisie et le Nigeria devançant plusieurs pays de renom sur le plan continental à l'image de l'Egypte, le Kenya et le Maroc. Mais au moment où tout le monde espérait que le sport algérien sur le plan africain continue sur le même élan et récolter les fruits de la réforme sportive engagée vers la fin des années 70 et le début des années 80, l'élite algérienne a vu ses résultats régresser lors la 4eme édition de ce rendez-vous africain à Nairobi (Kenya) en 1987. Avec 61 médailles (moins 2 médailles par rapport à la précédente édition), l'Algérie a reculé à la 5ème position. Lors de la 5ème édition (Egypte, 1991), le Mouvement sportif national a tiré des leçons de la précédente édition. Les Algériens, déterminés, ont pu rééditer, grâce à une armada d'athlètes chevronnés, les résultats réalisés lors de l'édition de Nairobi, tant pour les sports d'équipe qu'individuels. L'Algérie qui s'est classée à la troisième place après le pays organisateur et le Nigeria a, ainsi, remporté 89 médailles — un record — dont 29 en or, 36 en argent et 34 en bronze. Régression des Algériens Quatre ans après (édition de Harare, 1995). Les résultats de l'Algérie ont nettement régressé en raison de la situation sécuritaire instable qu'a connue le pays engendrant un impact négatif sur le sport national. Ainsi, les Algériens n'ont pu récolter que 57 médailles (-32 médailles lors de la précédente édition) dont 15 en or, 16 en argent et 26 en bronze. Avec l'entrée de l'Afrique du Sud (qui a remporté le titre) aux Jeux africains, les Algériens ont reculé à la quatrième place au classement général. Les résultats des athlètes algériens ont connu une légère amélioration lors de l'édition de Johannesburg (Afrique du Sud) en 1999, avec six médailles en plus à savoir 20 en or, 20 en argent et 23 en bronze, ce qui leur a permis de se maintenir à la quatrième place après l'Afrique du Sud, l'Egypte et la Tunisie. Le rendement des athlètes algériens s'est nettement amélioré, lors de la 8ème édition d'Abuja (Nigeria) avec 87 médailles, en battant le record des médailles d'or (32), en plus de 24 en argent et 31 en bronze. Par ces performances, l'Algérie a pu conserver la quatrième place après le pays organisateur (Nigeria), l'Egypte et l'Afrique du Sud. Les athlètes algériens ambitionnent de réaliser un saut sans précédent lors de la 9ème édition, vu que l'Algérie est le pays hôte des jeux et aussi eu égard aux moyens colossaux dégagés pour les préparatifs. La tâche ne sera cependant guère aisée devant les équipes traditionnelles connues par leur forte présence lors de ce rendez-vous continental et d'autres pays qui ont des athlètes de haut niveau dans différentes disciplines. Ce palmarès place l'Algérie à la 4ème position dans le classement de ce rendez-vous continental après l'Egypte, le Nigeria et l'Afrique du Sud. Les athlètes algériens ont pu s'imposer dès la première édition qui a eu lieu à Brazzaville en 1965. L'Algérie qui venait d'arracher son indépendance, a pris part aux compétitions avec de jeunes athlètes qui, en dépit de moyens limités, ont pu réaliser des résultats positifs et remporter 2 médailles d'or, 3 d'argent et 7 de bronze se plaçant ainsi à la 7eme position sur 30 pays participants. Huit ans après, l'Algérie qui a réussi à former une élite avec l'objectif d'optimiser les résultats de l'édition précédente, remporte 22 médailles (4 en or, 5 en argent et 13 en bronze) mais reste, cependant, à la 7e place. Lors de la 3ème édition en 1978, l'Algérie qui abritait les compétitions de cette manifestation sportive africaine, réussit à améliorer son classement et multiplier par trois le nombre de médailles récoltées, grimpant ainsi, avec 66 médailles (21 en or, 19 en argent et 26 en bronze), à la troisième place après la Tunisie et le Nigeria devançant plusieurs pays de renom sur le plan continental à l'image de l'Egypte, le Kenya et le Maroc. Mais au moment où tout le monde espérait que le sport algérien sur le plan africain continue sur le même élan et récolter les fruits de la réforme sportive engagée vers la fin des années 70 et le début des années 80, l'élite algérienne a vu ses résultats régresser lors la 4eme édition de ce rendez-vous africain à Nairobi (Kenya) en 1987. Avec 61 médailles (moins 2 médailles par rapport à la précédente édition), l'Algérie a reculé à la 5ème position. Lors de la 5ème édition (Egypte, 1991), le Mouvement sportif national a tiré des leçons de la précédente édition. Les Algériens, déterminés, ont pu rééditer, grâce à une armada d'athlètes chevronnés, les résultats réalisés lors de l'édition de Nairobi, tant pour les sports d'équipe qu'individuels. L'Algérie qui s'est classée à la troisième place après le pays organisateur et le Nigeria a, ainsi, remporté 89 médailles — un record — dont 29 en or, 36 en argent et 34 en bronze. Régression des Algériens Quatre ans après (édition de Harare, 1995). Les résultats de l'Algérie ont nettement régressé en raison de la situation sécuritaire instable qu'a connue le pays engendrant un impact négatif sur le sport national. Ainsi, les Algériens n'ont pu récolter que 57 médailles (-32 médailles lors de la précédente édition) dont 15 en or, 16 en argent et 26 en bronze. Avec l'entrée de l'Afrique du Sud (qui a remporté le titre) aux Jeux africains, les Algériens ont reculé à la quatrième place au classement général. Les résultats des athlètes algériens ont connu une légère amélioration lors de l'édition de Johannesburg (Afrique du Sud) en 1999, avec six médailles en plus à savoir 20 en or, 20 en argent et 23 en bronze, ce qui leur a permis de se maintenir à la quatrième place après l'Afrique du Sud, l'Egypte et la Tunisie. Le rendement des athlètes algériens s'est nettement amélioré, lors de la 8ème édition d'Abuja (Nigeria) avec 87 médailles, en battant le record des médailles d'or (32), en plus de 24 en argent et 31 en bronze. Par ces performances, l'Algérie a pu conserver la quatrième place après le pays organisateur (Nigeria), l'Egypte et l'Afrique du Sud. Les athlètes algériens ambitionnent de réaliser un saut sans précédent lors de la 9ème édition, vu que l'Algérie est le pays hôte des jeux et aussi eu égard aux moyens colossaux dégagés pour les préparatifs. La tâche ne sera cependant guère aisée devant les équipes traditionnelles connues par leur forte présence lors de ce rendez-vous continental et d'autres pays qui ont des athlètes de haut niveau dans différentes disciplines.