Un total de 590 contrôles antidopage seront effectués sur les athlètes lors des Jeux africains qu'abrite Alger du 11 au 23 juillet 2007, "Au cours des Jeux africains, nous allons procéder à 590 contrôles antidopage dont 570 échantillons seront envoyés au laboratoire de Tunis et 26 autres seront transmis au laboratoire de Paris", a indiqué M. Bensoltane, lors d'une conférence de presse, animée conjointement avec le vice-président de l'Agence mondiale antidopage (AMA), Jean-François Lamour et d'autres membres de l'AMA. M. Bensoltane a expliqué que "le laboratoire de Paris a pris un nombre réduit d'échantillons en raison du déroulement, en ce moment du Tour de France cycliste". M. Bensoltane a fait savoir que "les médaillés d'or lors de ces jeux seront systématiquement contrôlés, alors que les autres vainqueurs (argent et bronze) seront tirés au sort", faisant remarquer qu'il y aura "plus de 380 médailles en vermeil en jeu". Il a précisé qu'il y a "trois à quatre disciplines sportives ciblées", soulignant que "des contrôles inopinés seront effectués lors des séances d'entraînement, ainsi qu'au niveau des résidences des athlètes". Affirmant que le Comité d'organisation des Jeux africains (COJA) a signé un protocole d'accord avec l'AMA, M. Bensoltane a relevé que "13 équipes de contrôle antidopage sont mises en place à l'occasion de ces Jeux", indiquant que cette commission a "capitalisé une expérience lors des Jeux sportifs arabes organisés en Algérie en 2005 au cours desquels 483 contrôles antidopage avaient été effectués". De son côté, le vice-président de l'AMA, M. Lamour a indiqué que "l'Agence accompagnera le COJA dans la mise en place du dispositif de contrôle antidopage pendant et en dehors de la compétition", estimant que "ces jeux seront aussi une opportunité de faire de la formation, de la sensibilisation auprès des jeunes athlètes africains qui seront réunis à Alger à l'occasion de ces jeux". "Nous leur ferons connaître le rôle de l'AMA et les dangers qu'ils encourent par la prise des produits dopants", a-t-il encore dit. Par ailleurs, il a estimé que "la lutte antidopage en Afrique a fait d'énormes progrès du fait du travail de sensibilisation mené à travers les pays du continent". M. Lamour a noté que "le bureau régional de l'AMA basé au Cap (Afrique du sud) est en train de faire un excellent travail en matière d'information", qualifiant d'"extraordinaires" les avancées enregistrées par rapport à la situation prévalant en Afrique il y a dix ans. Le directeur de l'Office régional africain de l'AMA, le Sud-Africain Rodney Swilgelaar, a indiqué pour sa part qu'il y a "une prise de conscience dans la lutte antidopage en Afrique", soulignant qu' "aujourd'hui, 37 pays sur la totalité des pays que compte le continent sont engagés dans la lutte antidopage". "Les progrès sont considérables", a-t-il estimé, ajoutant que le nombre de contrôles antidopage qui sera effectué en Algérie est "nettement supérieur" à celui de la précédente édition des Jeux africains d'Abuja. Enfin, dans son intervention, l'Algérien Mustapha Larfaoui, membre de l'AMA et président en exercice de la Fédération internationale de natation, a affirmé que la lutte contre le dopage est "une guerre que nous ne gagnerons jamais, tant qu'il y aura des tricheurs". "Ce n'est pas pour autant que nous allons baisser les bras", a-t-il dit, recommandant de "sensibiliser les jeunes athlètes et surtout les éduquer", car, a-t-il estimé "il s'agit d'une lutte permanente qui demande la conjugaison des efforts de l'ensemble des entités concernées, qu'elles soient sportives ou gouvernementales". L'AMA, créée en 1999, est basée à Montréal (Canada) . Un total de 590 contrôles antidopage seront effectués sur les athlètes lors des Jeux africains qu'abrite Alger du 11 au 23 juillet 2007, "Au cours des Jeux africains, nous allons procéder à 590 contrôles antidopage dont 570 échantillons seront envoyés au laboratoire de Tunis et 26 autres seront transmis au laboratoire de Paris", a indiqué M. Bensoltane, lors d'une conférence de presse, animée conjointement avec le vice-président de l'Agence mondiale antidopage (AMA), Jean-François Lamour et d'autres membres de l'AMA. M. Bensoltane a expliqué que "le laboratoire de Paris a pris un nombre réduit d'échantillons en raison du déroulement, en ce moment du Tour de France cycliste". M. Bensoltane a fait savoir que "les médaillés d'or lors de ces jeux seront systématiquement contrôlés, alors que les autres vainqueurs (argent et bronze) seront tirés au sort", faisant remarquer qu'il y aura "plus de 380 médailles en vermeil en jeu". Il a précisé qu'il y a "trois à quatre disciplines sportives ciblées", soulignant que "des contrôles inopinés seront effectués lors des séances d'entraînement, ainsi qu'au niveau des résidences des athlètes". Affirmant que le Comité d'organisation des Jeux africains (COJA) a signé un protocole d'accord avec l'AMA, M. Bensoltane a relevé que "13 équipes de contrôle antidopage sont mises en place à l'occasion de ces Jeux", indiquant que cette commission a "capitalisé une expérience lors des Jeux sportifs arabes organisés en Algérie en 2005 au cours desquels 483 contrôles antidopage avaient été effectués". De son côté, le vice-président de l'AMA, M. Lamour a indiqué que "l'Agence accompagnera le COJA dans la mise en place du dispositif de contrôle antidopage pendant et en dehors de la compétition", estimant que "ces jeux seront aussi une opportunité de faire de la formation, de la sensibilisation auprès des jeunes athlètes africains qui seront réunis à Alger à l'occasion de ces jeux". "Nous leur ferons connaître le rôle de l'AMA et les dangers qu'ils encourent par la prise des produits dopants", a-t-il encore dit. Par ailleurs, il a estimé que "la lutte antidopage en Afrique a fait d'énormes progrès du fait du travail de sensibilisation mené à travers les pays du continent". M. Lamour a noté que "le bureau régional de l'AMA basé au Cap (Afrique du sud) est en train de faire un excellent travail en matière d'information", qualifiant d'"extraordinaires" les avancées enregistrées par rapport à la situation prévalant en Afrique il y a dix ans. Le directeur de l'Office régional africain de l'AMA, le Sud-Africain Rodney Swilgelaar, a indiqué pour sa part qu'il y a "une prise de conscience dans la lutte antidopage en Afrique", soulignant qu' "aujourd'hui, 37 pays sur la totalité des pays que compte le continent sont engagés dans la lutte antidopage". "Les progrès sont considérables", a-t-il estimé, ajoutant que le nombre de contrôles antidopage qui sera effectué en Algérie est "nettement supérieur" à celui de la précédente édition des Jeux africains d'Abuja. Enfin, dans son intervention, l'Algérien Mustapha Larfaoui, membre de l'AMA et président en exercice de la Fédération internationale de natation, a affirmé que la lutte contre le dopage est "une guerre que nous ne gagnerons jamais, tant qu'il y aura des tricheurs". "Ce n'est pas pour autant que nous allons baisser les bras", a-t-il dit, recommandant de "sensibiliser les jeunes athlètes et surtout les éduquer", car, a-t-il estimé "il s'agit d'une lutte permanente qui demande la conjugaison des efforts de l'ensemble des entités concernées, qu'elles soient sportives ou gouvernementales". L'AMA, créée en 1999, est basée à Montréal (Canada) .