La ville d'Oran se pare de ses plus beaux atours pour accueillir, ce samedi et jusqu'au 3 août, la crème du cinéma arabe, un florilège de stars internationales. La ville d'Oran se pare de ses plus beaux atours pour accueillir, ce samedi et jusqu'au 3 août, la crème du cinéma arabe, un florilège de stars internationales. Cette manifestation, inscrite dans le cadre du programme «Alger capitale de la culture arabe 2007», tend à porter une vision sur les nouvelles prédispositions du cinéma arabe concernant les treize pays participants. Le festival sera présidé par le directeur de l‘ENTV, Hamraoui Habib Chawki. Une commission est attendue à Oran pour apporter les dernières modifications en matière d‘organisation. A quelques jours du festival, on peut aisément deviner que l‘organisation se fait dans la précipitation, chose que Hamraoui Habib Chawki n‘a nullement cachée. Les regards restent braqués sur le déficit en matière de salles de cinéma, car il n‘y a que deux salles, en l‘occurrence «Le Colisée» (ex-Essaâda) et la Cinémathèque d‘Oran, qui devront accueillir la projection des films en compétition. La primauté sera donnée aux plus récentes réalisations de la cinématographie arabe incluant aussi bien les longs-métrages que les courts-métrages, souligne un communiqué de la présidence du festival. Des comédiens de renom ainsi que des réalisateurs et des producteurs de tous les pays arabes devront marquer, par leur participation, cette première édition du Festival international arabe, qui verra également la présence d‘invités de marque venus de différents pays étrangers : «Pour le moment, une vingtaine de participants se sont désistés, mais nous nous attendons à accueillir quelque 200 invités et 50 représentants de la presse», déclare Hamraoui Habib Chawki. Les meilleurs films en compétition seront primés par un jury présidé par le comédien égyptien Hoceïn Fahmi. Selon les organisateurs, cette première édition du festival rendra un hommage particulier au cinéma ibérique qui devra également être représenté à travers une rétrospective programmée dans les salles de cinéma prévues. Le regretté acteur égyptien, Ahmed Zaki, ainsi que le réalisateur algérien Mohamed Hamina, l‘unique réalisateur arabe à avoir reçu la «Palme d‘Or» du Festival de Cannes, seront également honorés pour l‘ensemble de leur carrière. A noter que le cinéma algérien connaît, ces dernières années, une grande effervescence grâce au soutien des autorités qui ont financé la production de 24 longs-métrages, 11 téléfilms et 15 courts-métrages, c‘est déjà prometteur pour ce premier semestre 2007. Toutefois, on peut constater que nous avons beaucoup de moyens pour réaliser de grandes choses, et d‘envergure internationale, il n‘y a plus lieu d‘attendre une révolution culturelle pour faire changer les choses. Nous avons des réalisateurs, des comédiens, des techniciens, et surtout le savoir-faire des anciens, avec un peu plus d‘encadrement et de supports financiers, comme les sponsors qui ignorent totalement ce type de projets, on peut espérer vivre l‘âge d‘or du cinéma algérien. Confirmons que le Festival international du film arabe a bel et bien été institutionnalisé, c‘est une bonne nouvelle pour une des plus importantes ville du bassin méditerranéen : El Bahia. Cette manifestation, inscrite dans le cadre du programme «Alger capitale de la culture arabe 2007», tend à porter une vision sur les nouvelles prédispositions du cinéma arabe concernant les treize pays participants. Le festival sera présidé par le directeur de l‘ENTV, Hamraoui Habib Chawki. Une commission est attendue à Oran pour apporter les dernières modifications en matière d‘organisation. A quelques jours du festival, on peut aisément deviner que l‘organisation se fait dans la précipitation, chose que Hamraoui Habib Chawki n‘a nullement cachée. Les regards restent braqués sur le déficit en matière de salles de cinéma, car il n‘y a que deux salles, en l‘occurrence «Le Colisée» (ex-Essaâda) et la Cinémathèque d‘Oran, qui devront accueillir la projection des films en compétition. La primauté sera donnée aux plus récentes réalisations de la cinématographie arabe incluant aussi bien les longs-métrages que les courts-métrages, souligne un communiqué de la présidence du festival. Des comédiens de renom ainsi que des réalisateurs et des producteurs de tous les pays arabes devront marquer, par leur participation, cette première édition du Festival international arabe, qui verra également la présence d‘invités de marque venus de différents pays étrangers : «Pour le moment, une vingtaine de participants se sont désistés, mais nous nous attendons à accueillir quelque 200 invités et 50 représentants de la presse», déclare Hamraoui Habib Chawki. Les meilleurs films en compétition seront primés par un jury présidé par le comédien égyptien Hoceïn Fahmi. Selon les organisateurs, cette première édition du festival rendra un hommage particulier au cinéma ibérique qui devra également être représenté à travers une rétrospective programmée dans les salles de cinéma prévues. Le regretté acteur égyptien, Ahmed Zaki, ainsi que le réalisateur algérien Mohamed Hamina, l‘unique réalisateur arabe à avoir reçu la «Palme d‘Or» du Festival de Cannes, seront également honorés pour l‘ensemble de leur carrière. A noter que le cinéma algérien connaît, ces dernières années, une grande effervescence grâce au soutien des autorités qui ont financé la production de 24 longs-métrages, 11 téléfilms et 15 courts-métrages, c‘est déjà prometteur pour ce premier semestre 2007. Toutefois, on peut constater que nous avons beaucoup de moyens pour réaliser de grandes choses, et d‘envergure internationale, il n‘y a plus lieu d‘attendre une révolution culturelle pour faire changer les choses. Nous avons des réalisateurs, des comédiens, des techniciens, et surtout le savoir-faire des anciens, avec un peu plus d‘encadrement et de supports financiers, comme les sponsors qui ignorent totalement ce type de projets, on peut espérer vivre l‘âge d‘or du cinéma algérien. Confirmons que le Festival international du film arabe a bel et bien été institutionnalisé, c‘est une bonne nouvelle pour une des plus importantes ville du bassin méditerranéen : El Bahia.