La Fédération kazakhe de cyclisme s'est dit sous le choc hier après le contrôle antidopage positif du coureur Alexandre Vinokourov lors du Tour de France, et a estimé que l'exclusion de l'équipe Astana dans sa totalité est injustifiée. La Fédération kazakhe de cyclisme s'est dit sous le choc hier après le contrôle antidopage positif du coureur Alexandre Vinokourov lors du Tour de France, et a estimé que l'exclusion de l'équipe Astana dans sa totalité est injustifiée. «Nous considérons que (l'exclusion d'Astana) est un parti-pris contre notre équipe sachant que, partout dans les règles, un coureur est responsable pour lui-même et non pas toute son équipe», a déclaré le vice-président de la Fédération, Nikolaï Praskourine, joint sur le Tour par téléphone depuis Almaty (Kazakhstan). M. Praskourine a précisé qu'un avocat américain spécialiste du sport avait été engagé par l'organisation, avant d'accuser de partialité, sans les nommer, les organisateurs du Tour de France. «On ne nous donne aucune confirmation officielle, on ne nous parle que par téléphone. On ne se comporte pas ainsi avec les équipes européennes. Avant le tour on nous avait dit nous ne voulons pas que l'équipe Astana ou Vinokourov gagne», a-t-il affirmé. La Fédération kazakhe de cyclisme a indiqué dans un communiqué être «extrêmement inquiète» et noté que «le résultat de l'échantillon de Vinokourov (l')avait choquée», tout en rappelant son engagement «pour une lutte sportive propre et sans compromis contre le dopage». «Mais la Fédération considère qu'il ne faut pas tirer de conclusions hâtives ni proférer des accusations définitives contre le coureur et l'équipe», poursuit le document, qui dit attendre les résultats de l'échantillon B du champion kazakh. L'échantillon positif de Vinokourov, 33 ans, avait été prélevé samedi soir à Albi, à l'issue de sa victoire dans le contre-la-montre. «Nous considérons que (l'exclusion d'Astana) est un parti-pris contre notre équipe sachant que, partout dans les règles, un coureur est responsable pour lui-même et non pas toute son équipe», a déclaré le vice-président de la Fédération, Nikolaï Praskourine, joint sur le Tour par téléphone depuis Almaty (Kazakhstan). M. Praskourine a précisé qu'un avocat américain spécialiste du sport avait été engagé par l'organisation, avant d'accuser de partialité, sans les nommer, les organisateurs du Tour de France. «On ne nous donne aucune confirmation officielle, on ne nous parle que par téléphone. On ne se comporte pas ainsi avec les équipes européennes. Avant le tour on nous avait dit nous ne voulons pas que l'équipe Astana ou Vinokourov gagne», a-t-il affirmé. La Fédération kazakhe de cyclisme a indiqué dans un communiqué être «extrêmement inquiète» et noté que «le résultat de l'échantillon de Vinokourov (l')avait choquée», tout en rappelant son engagement «pour une lutte sportive propre et sans compromis contre le dopage». «Mais la Fédération considère qu'il ne faut pas tirer de conclusions hâtives ni proférer des accusations définitives contre le coureur et l'équipe», poursuit le document, qui dit attendre les résultats de l'échantillon B du champion kazakh. L'échantillon positif de Vinokourov, 33 ans, avait été prélevé samedi soir à Albi, à l'issue de sa victoire dans le contre-la-montre.