Effondrement d'un immeuble à Bechar: une commission dépêchée par le ministère de l'Habitat entame son expertise    PLF 2025: davantage d'incitations fiscales, élargissement de l'assiette, pas de nouveaux impôts    Des pluies orageuses sur plusieurs wilayas de l'Est du pays jusqu'à dimanche    Canex Wknd 2024 est une importante occasion pour montrer la richesse et l'authenticité de la culture sahraouie    Pomme de terre: déstockage d'importantes quantités pour réguler le marché    Ghaza: le bilan de l'agression sioniste s'élève à 42.519 martyrs    Clap de fin tout en émotion sur le 13e FITB    Ghaza: la communauté internationale exhortée à isoler l'entité sioniste    Ghaza: les forces d'occupation sioniste encerclent l'hôpital indonésien    Tennis de table/Championnat d'Afrique: médaille d'argent pour la paire Bouhenni-Nasri    Béchar: effondrement d'un immeuble dans la nouvelle zone urbaine de Lahmar    Le leader du Hamas Senouar est mort en martyr    Les projets de loi israéliens interdisant l'UNRWA ne tiennent pas debout    L'entité sioniste fait de la politique de la famine une arme de guerre    Favoriser le co-développement et un monde multipolaire au niveau géostratégique    La JSK en appel à Oran    Ils veulent créer leur Coupe du monde des clubs Pourquoi s'en prendre à la CAN ?    Ligue 1 Mobilis : MC Alger – O Akbou le 24 octobre au stade 5-Juillet    Lancement de la plate-forme digitale pour la migration du service Idoom Adsl vers Idoom Fibre    UIP : Des pays arabes boycottent l'allocution du représentant de l'entité sioniste en réponse à l'appel de l'Algérie    Les concierges médiatiques de l'odieux-visuel français    Douze décès et 505 blessés en une semaine    Saihi préside l'ouverture du 3e Congrès international sur l'obésité et les maladies métaboliques    Signature d'un protocole de coopération entre les armées des deux pays    48 milliards de dollars attendus à Alger    La haine, la violence et le racisme du colonisateur    Nombreuses manifestations commémoratives dans les wilayas de l'est du pays    Sarcelles, commémore dignement le massacre du 17 Octobre 1961    La 149e session de l'UIP, une occasion pour l'Algérie de défendre les causes palestinienne et sahraouie    M. Boughali participe à Genève à la 2e réunion du comité préparatoire de la 6e conférence des présidents des parlements    Le ministre de la Santé préside l'ouverture du Congrès international de cardiologie    Algérie-Mauritanie: signature d'un protocole de coopération entre les armées des deux pays    Journée nationale de l'émigration: nombreuses manifestations commémoratives dans les wilayas de l'est du pays    Football: une minute de silence à la mémoire de Belaid Lacarne ce week-end dans tous les stades    Tennis de table/Championnat d'Afrique: la paire algérienne Jellouli-Kessaci qualifiée en finale    Décès de l'ancien arbitre international Belaid Lacarne : Le président de la République présente ses condoléances    L'Algérie happée par le maelström malien    Un jour ou l'autre.    En Algérie, la Cour constitutionnelle double, sans convaincre, le nombre de votants à la présidentielle    Tunisie. Une élection sans opposition pour Kaïs Saïed    Algérie : l'inquiétant fossé entre le régime et la population    BOUSBAA بوصبع : VICTIME OU COUPABLE ?    Des casernes au parlement : Naviguer les difficiles chemins de la gouvernance civile en Algérie    Les larmes de Imane    Algérie assoiffée : Une nation riche en pétrole, perdue dans le désert de ses priorités    Prise de Position : Solidarité avec l'entraîneur Belmadi malgré l'échec    Suite à la rumeur faisant état de 5 décès pour manque d'oxygène: L'EHU dément et installe une cellule de crise    Pôle urbain Ahmed Zabana: Ouverture prochaine d'une classe pour enfants trisomiques    







Merci d'avoir signalé!
Cette image sera automatiquement bloquée après qu'elle soit signalée par plusieurs personnes.



Le CNES pour une économie fondée sur la connaissance
En prévision du symposium prévu en septembre
Publié dans Le Midi Libre le 28 - 07 - 2007

Le président du Conseil national économique et social (CNES), Mohamed Seghir Babès, vient d'annoncer que le CNES remettra au gouvernement, au printemps prochain, son rapport sur le système national d'évaluation des politiques publiques en matière d'économie fondée sur la connaissance. Afin de sensibiliser davantage les responsables chargés de mettre en œuvre des stratégies en matière de ressources humaines et de perfectionnement des compétences nationales, le CNES envisage d'organiser un symposium les 10 et 11 septembre prochain avec la collaboration de la Banque mondiale.
Il s'agit de vulgariser les concepts de transition d'une économie basée sur le facteur humain et la connaissance managériale notamment, ainsi que le savoir- faire en faisant appel à toutes les compétences et les énergies concernées.
Selon le responsable du CNES, «un rapport sera remis aux pouvoirs publics dans lequel il y aura les lignes de force et les probables distorsions de façon à ce qu'il soit permis d'envisager un redéploiement des dispositifs et une adaptation des stratégies de l'économie fondée sur la connaissance».
Le CNES et les différentes structures chargées des systèmes d'évaluation des politiques publiques et de la bonne gouvernance, telles que la Banque mondiale, l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), l'université des Nations unies et le PNUD (Programme des Nations unies pour le développement) et d'autres organismes internationaux, tenteront donc, lors de ce symposium, de contribuer activement à élaborer des systèmes nouveaux d'évaluation des politiques publiques en étudiant des standards internationaux tout en tenant compte des spécificités sociales et économiques algériennes.
Pour Babès, «l'Algérie pourrait s'imprégner de cette démarche afin de rejoindre la locomotive internationale dans le contexte de la mondialisation».
En effet, la coopération et l'étroite collaboration avec les institutions internationales permettront de trouver un standard applicable à la nature du modèle économique algérien, considéré comme un modèle d'un pays émergent.
Etant en pleine mutation économique, l'Algérie est à la recherche d'une démarche propre à sa transition vers l'économie de marché où le partenariat avec des firmes étrangères et le flux des investisseurs internationaux sont susceptibles d'apporter un plus au développement économique et au développement durable. Mais dans l'immédiat, l'important consiste à assurer une politique de plein emploi et à fructifier et rentabiliser les finances publiques allouées aux différents projets de développement.
Le CNES concentre ses efforts sur la promotion du capital humain et l'amélioration constante des compétences nationales tout en encourageant les facteurs d'innovation et dE développement des pôles de compétitivité et d'attractivité de l'économie nationale.
Selon la vision développée par certains tenants de l'économie fondée sur la connaissance, «une société cognitive et une économie fondée sur la connaissance contribuent à une croissance économique durable, à l'accroissement de l'emploi et à une plus grande cohésion sociale». Pour cela, l'utilisation des technologies nouvelles est primordiale pour mener à bien les stratégies et les politiques publiques de développement.
Notons que l'intelligence économique et la veille stratégique sont indispensables pour l'éclosion d'une économie fondée sur la connaissance.
Le président du Conseil national économique et social (CNES), Mohamed Seghir Babès, vient d'annoncer que le CNES remettra au gouvernement, au printemps prochain, son rapport sur le système national d'évaluation des politiques publiques en matière d'économie fondée sur la connaissance. Afin de sensibiliser davantage les responsables chargés de mettre en œuvre des stratégies en matière de ressources humaines et de perfectionnement des compétences nationales, le CNES envisage d'organiser un symposium les 10 et 11 septembre prochain avec la collaboration de la Banque mondiale.
Il s'agit de vulgariser les concepts de transition d'une économie basée sur le facteur humain et la connaissance managériale notamment, ainsi que le savoir- faire en faisant appel à toutes les compétences et les énergies concernées.
Selon le responsable du CNES, «un rapport sera remis aux pouvoirs publics dans lequel il y aura les lignes de force et les probables distorsions de façon à ce qu'il soit permis d'envisager un redéploiement des dispositifs et une adaptation des stratégies de l'économie fondée sur la connaissance».
Le CNES et les différentes structures chargées des systèmes d'évaluation des politiques publiques et de la bonne gouvernance, telles que la Banque mondiale, l'Organisation de coopération et de développement économique (OCDE), l'université des Nations unies et le PNUD (Programme des Nations unies pour le développement) et d'autres organismes internationaux, tenteront donc, lors de ce symposium, de contribuer activement à élaborer des systèmes nouveaux d'évaluation des politiques publiques en étudiant des standards internationaux tout en tenant compte des spécificités sociales et économiques algériennes.
Pour Babès, «l'Algérie pourrait s'imprégner de cette démarche afin de rejoindre la locomotive internationale dans le contexte de la mondialisation».
En effet, la coopération et l'étroite collaboration avec les institutions internationales permettront de trouver un standard applicable à la nature du modèle économique algérien, considéré comme un modèle d'un pays émergent.
Etant en pleine mutation économique, l'Algérie est à la recherche d'une démarche propre à sa transition vers l'économie de marché où le partenariat avec des firmes étrangères et le flux des investisseurs internationaux sont susceptibles d'apporter un plus au développement économique et au développement durable. Mais dans l'immédiat, l'important consiste à assurer une politique de plein emploi et à fructifier et rentabiliser les finances publiques allouées aux différents projets de développement.
Le CNES concentre ses efforts sur la promotion du capital humain et l'amélioration constante des compétences nationales tout en encourageant les facteurs d'innovation et dE développement des pôles de compétitivité et d'attractivité de l'économie nationale.
Selon la vision développée par certains tenants de l'économie fondée sur la connaissance, «une société cognitive et une économie fondée sur la connaissance contribuent à une croissance économique durable, à l'accroissement de l'emploi et à une plus grande cohésion sociale». Pour cela, l'utilisation des technologies nouvelles est primordiale pour mener à bien les stratégies et les politiques publiques de développement.
Notons que l'intelligence économique et la veille stratégique sont indispensables pour l'éclosion d'une économie fondée sur la connaissance.


Cliquez ici pour lire l'article depuis sa source.