Sous la baguette du maestro Amine Kouider, l'Orchestre symphonique national est invité pour la première fois à participer à la 22e édition du Festival symphonique international d'El-Jem (Tunisie) à laquelle sont conviés de prestigieux orchestres de dimension internationale. Sous la baguette du maestro Amine Kouider, l'Orchestre symphonique national est invité pour la première fois à participer à la 22e édition du Festival symphonique international d'El-Jem (Tunisie) à laquelle sont conviés de prestigieux orchestres de dimension internationale. Composé d'une cinquantaine d'instrumentistes, l'Orchestre symphonique national se produira l'espace de deux soirées, devant le public tunisien qui aura à se savourer d'un concert le 2 août à la Maison de la culture Ibn Rachiq (Tunis), suivi d'un autre spectacle qui sera donné deux jours après, dans l'imposant amphithéâtre romain El Jem, située dans le gouvernorat de Mahdia. L'ensemble orchestral qui sera dirigé par le maestro Amine Kouider, qui reprend du service au sein de l'institution, présentera devant les fidèles de la musique savante son répertoire qui se résumera un programme musical emprunté du répertoire universel et national. Il s'agit de la 5e symphonie de Ludwig van Beethoven, un chef-d'œuvre d'une durée de 40 mn, suivi de trois pièces du terroir, arrangées par Rachid Saouli et une suite arrangée par le compositeur non moins connu Raouf Gadjiev. ''C'est un honneur pour nous de nous produire dans ce magnifique et gigantesque colosse de 30.000 spectateurs, aux côtés de grands orchestres d'envergure internationale comme celui de Vienne, de Moscou ou d'Italie conviés à prendre part à cette édition 2007'', tient à souligner le directeur de l'OSN, M. Abdelkader Bouazzara lors d'une répétition dans la salle de l'INSM. Ce dernier relève dans la foulée que ''ce festival constitue un lieu de rapprochement et de coopération entre les pays, au moment où l'identité culturelle semble peser si lourdement sur les relations internationales''. Une manière aussi de faire découvrir au public mélomane l'Orchestre symphonique national et graver sur les pierres du troisième amphithéâtre du monde antique, après celui de Rome et de Capoue, les airs de la mémoire algérienne comme Yemma Gouraya, Billah Alaik, etc. Pourquoi pas un concert au pied de l'Assekrem ? Animé par le souci de déployer ses activités artistiques à l'intérieur du pays, le premier responsable de l'OSN s'est tracé depuis 2005, un objectif : celui de faire découvrir le répertoire de l'orchestre, dans les différentes contrées de l'Algérie. Pari tenu, car une trentaine de spectacles, sinon plus, ont été animés par l'OSN dans les salles d'institutions culturelles des quatre horizons du pays. Des concerts qui ont été dirigés par nombre de maestros dont le regretté Boukhari Mougari, Rachid Saouli, Larbi Hacène, Zahia Ziouani et le Japonais de renommée mondiale, Hikotaro Yazaki. Aussi, l'ensemble de l'OSN ambitionne de gratifier le public d'un spectacle dans un décor somme toute original. ''Ce dont nous aspirons et que nous souhaitons vivement réaliser, a fortiori dans le cadre de l'événement qui s'y prête 'Alger, capitale de la culture arabe', est la tenue d'un concert de musique savante dans le grand sud, en plein air (…). Pourquoi pas au pied de l'Assekrem !'', lance à notre endroit M. Bouazzarra. Son vœu sera-t-il exaucé ? Le défi sera-t-il relevé? Tout dépend de la volonté du ministère de la Culture et - il va sans dire - d'éventuels sponsors susceptibles de mobiliser des ressources substantielles pour organiser un pareil show, dira en filigrane notre interlocuteur. Composé d'une cinquantaine d'instrumentistes, l'Orchestre symphonique national se produira l'espace de deux soirées, devant le public tunisien qui aura à se savourer d'un concert le 2 août à la Maison de la culture Ibn Rachiq (Tunis), suivi d'un autre spectacle qui sera donné deux jours après, dans l'imposant amphithéâtre romain El Jem, située dans le gouvernorat de Mahdia. L'ensemble orchestral qui sera dirigé par le maestro Amine Kouider, qui reprend du service au sein de l'institution, présentera devant les fidèles de la musique savante son répertoire qui se résumera un programme musical emprunté du répertoire universel et national. Il s'agit de la 5e symphonie de Ludwig van Beethoven, un chef-d'œuvre d'une durée de 40 mn, suivi de trois pièces du terroir, arrangées par Rachid Saouli et une suite arrangée par le compositeur non moins connu Raouf Gadjiev. ''C'est un honneur pour nous de nous produire dans ce magnifique et gigantesque colosse de 30.000 spectateurs, aux côtés de grands orchestres d'envergure internationale comme celui de Vienne, de Moscou ou d'Italie conviés à prendre part à cette édition 2007'', tient à souligner le directeur de l'OSN, M. Abdelkader Bouazzara lors d'une répétition dans la salle de l'INSM. Ce dernier relève dans la foulée que ''ce festival constitue un lieu de rapprochement et de coopération entre les pays, au moment où l'identité culturelle semble peser si lourdement sur les relations internationales''. Une manière aussi de faire découvrir au public mélomane l'Orchestre symphonique national et graver sur les pierres du troisième amphithéâtre du monde antique, après celui de Rome et de Capoue, les airs de la mémoire algérienne comme Yemma Gouraya, Billah Alaik, etc. Pourquoi pas un concert au pied de l'Assekrem ? Animé par le souci de déployer ses activités artistiques à l'intérieur du pays, le premier responsable de l'OSN s'est tracé depuis 2005, un objectif : celui de faire découvrir le répertoire de l'orchestre, dans les différentes contrées de l'Algérie. Pari tenu, car une trentaine de spectacles, sinon plus, ont été animés par l'OSN dans les salles d'institutions culturelles des quatre horizons du pays. Des concerts qui ont été dirigés par nombre de maestros dont le regretté Boukhari Mougari, Rachid Saouli, Larbi Hacène, Zahia Ziouani et le Japonais de renommée mondiale, Hikotaro Yazaki. Aussi, l'ensemble de l'OSN ambitionne de gratifier le public d'un spectacle dans un décor somme toute original. ''Ce dont nous aspirons et que nous souhaitons vivement réaliser, a fortiori dans le cadre de l'événement qui s'y prête 'Alger, capitale de la culture arabe', est la tenue d'un concert de musique savante dans le grand sud, en plein air (…). Pourquoi pas au pied de l'Assekrem !'', lance à notre endroit M. Bouazzarra. Son vœu sera-t-il exaucé ? Le défi sera-t-il relevé? Tout dépend de la volonté du ministère de la Culture et - il va sans dire - d'éventuels sponsors susceptibles de mobiliser des ressources substantielles pour organiser un pareil show, dira en filigrane notre interlocuteur.