«Quelque 10% des 500 projets de recherche scientifique ont été expertisés et valorisés», a affirmé M. Mohamed Taïbi, directeur général de l'agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique (Anvredet). En effet, lors d'une conférence de presse animée à Alger, M. Taïbi a dressé le bilan de l'Agence dont il est le premier responsable, en indiquant que 50 projets des 500 présentés et qui concerne la recherche scientifique, ont été expertisés et valorisés par l'agence. Plusieurs d'entre eux, ajoute M. Taïbi, se trouvent actuellement, à l'étape de mise en relation et de mise en partenariat avec les entreprises industrielles et financières pour susciter l'intérêt de leur réalisation. Ce processus, ajoute le responsable, demande beaucoup de temps, en raison, explique-t-il, d'un environnement hostile caractérisé par l'absence d'un fonds d'innovation, d'un fonds d'amorçage et d'institutions à capital risque. Ces projets, poursuit le directeur général de l'Agence, manquent, dans la majeure partie des cas, de ressources financières nécessaires au soutien et à l'accompagnement des idées innovantes et porteuses jusqu'à la mise en place de l'entreprise. A ce sujet M. Taïbi a indiqué : «Seulement 40 projets ont été brevetés à ce jour en raison des difficultés financières. Pour breveter un projet, il faut dépenser environ 1 million de dinars.» En outre, ces projets touchent à plusieurs domaines spécialisés. Huit grands secteurs sont visés, il s'agit, entre autres, de l'agriculture et l'agroalimentaire, des ressources en eau, de l'industrie, de l'énergie et des mines, des matériaux, de l'habitat, de la construction et l'urbanisme, de la santé, des technologies de l'information et de la communication, de l'économie, du droit et de la société, a précisé M. Taïbi. Par ailleurs, tout en conservant l'objectif principal de son agence, celui de redynamiser la croissance économique et technologique par l'innovation, M. Taïbi a annoncé la mise en place de cellules de revalorisation au niveau des universités pour expertiser les travaux de recherche. Sur ce point, il a souligné que «les travaux susceptibles d'être exploités seront orientés vers des incubateurs puis vers des pépinières qui seront créées prochainement en vue de la réalisation de ces travaux». Quatre autres délégations régionales de l'Anvredet seront mises en place prochainement, a annoncé M. Taïbi. Ces délégations seront situées à Annaba, Oran, Ouargla et éventuellement Adrar. Concernant l'Aagenda programmé par l'Agence, M. Taïbi a annoncé qu'il est prévu l'organisation de 11 forums entre 2007 et 2008, ainsi que la tenue d'une grande manifestation en décembre 2008 qui, «regroupera le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le secteur économique, les investisseurs algériens, les banques et le Conseil juridique pour un grand débat». «Quelque 10% des 500 projets de recherche scientifique ont été expertisés et valorisés», a affirmé M. Mohamed Taïbi, directeur général de l'agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique (Anvredet). En effet, lors d'une conférence de presse animée à Alger, M. Taïbi a dressé le bilan de l'Agence dont il est le premier responsable, en indiquant que 50 projets des 500 présentés et qui concerne la recherche scientifique, ont été expertisés et valorisés par l'agence. Plusieurs d'entre eux, ajoute M. Taïbi, se trouvent actuellement, à l'étape de mise en relation et de mise en partenariat avec les entreprises industrielles et financières pour susciter l'intérêt de leur réalisation. Ce processus, ajoute le responsable, demande beaucoup de temps, en raison, explique-t-il, d'un environnement hostile caractérisé par l'absence d'un fonds d'innovation, d'un fonds d'amorçage et d'institutions à capital risque. Ces projets, poursuit le directeur général de l'Agence, manquent, dans la majeure partie des cas, de ressources financières nécessaires au soutien et à l'accompagnement des idées innovantes et porteuses jusqu'à la mise en place de l'entreprise. A ce sujet M. Taïbi a indiqué : «Seulement 40 projets ont été brevetés à ce jour en raison des difficultés financières. Pour breveter un projet, il faut dépenser environ 1 million de dinars.» En outre, ces projets touchent à plusieurs domaines spécialisés. Huit grands secteurs sont visés, il s'agit, entre autres, de l'agriculture et l'agroalimentaire, des ressources en eau, de l'industrie, de l'énergie et des mines, des matériaux, de l'habitat, de la construction et l'urbanisme, de la santé, des technologies de l'information et de la communication, de l'économie, du droit et de la société, a précisé M. Taïbi. Par ailleurs, tout en conservant l'objectif principal de son agence, celui de redynamiser la croissance économique et technologique par l'innovation, M. Taïbi a annoncé la mise en place de cellules de revalorisation au niveau des universités pour expertiser les travaux de recherche. Sur ce point, il a souligné que «les travaux susceptibles d'être exploités seront orientés vers des incubateurs puis vers des pépinières qui seront créées prochainement en vue de la réalisation de ces travaux». Quatre autres délégations régionales de l'Anvredet seront mises en place prochainement, a annoncé M. Taïbi. Ces délégations seront situées à Annaba, Oran, Ouargla et éventuellement Adrar. Concernant l'Aagenda programmé par l'Agence, M. Taïbi a annoncé qu'il est prévu l'organisation de 11 forums entre 2007 et 2008, ainsi que la tenue d'une grande manifestation en décembre 2008 qui, «regroupera le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le secteur économique, les investisseurs algériens, les banques et le Conseil juridique pour un grand débat». «Quelque 10% des 500 projets de recherche scientifique ont été expertisés et valorisés», a affirmé M. Mohamed Taïbi, directeur général de l'agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique (Anvredet). En effet, lors d'une conférence de presse animée à Alger, M. Taïbi a dressé le bilan de l'Agence dont il est le premier responsable, en indiquant que 50 projets des 500 présentés et qui concerne la recherche scientifique, ont été expertisés et valorisés par l'agence. Plusieurs d'entre eux, ajoute M. Taïbi, se trouvent actuellement, à l'étape de mise en relation et de mise en partenariat avec les entreprises industrielles et financières pour susciter l'intérêt de leur réalisation. Ce processus, ajoute le responsable, demande beaucoup de temps, en raison, explique-t-il, d'un environnement hostile caractérisé par l'absence d'un fonds d'innovation, d'un fonds d'amorçage et d'institutions à capital risque. Ces projets, poursuit le directeur général de l'Agence, manquent, dans la majeure partie des cas, de ressources financières nécessaires au soutien et à l'accompagnement des idées innovantes et porteuses jusqu'à la mise en place de l'entreprise. A ce sujet M. Taïbi a indiqué : «Seulement 40 projets ont été brevetés à ce jour en raison des difficultés financières. Pour breveter un projet, il faut dépenser environ 1 million de dinars.» En outre, ces projets touchent à plusieurs domaines spécialisés. Huit grands secteurs sont visés, il s'agit, entre autres, de l'agriculture et l'agroalimentaire, des ressources en eau, de l'industrie, de l'énergie et des mines, des matériaux, de l'habitat, de la construction et l'urbanisme, de la santé, des technologies de l'information et de la communication, de l'économie, du droit et de la société, a précisé M. Taïbi. Par ailleurs, tout en conservant l'objectif principal de son agence, celui de redynamiser la croissance économique et technologique par l'innovation, M. Taïbi a annoncé la mise en place de cellules de revalorisation au niveau des universités pour expertiser les travaux de recherche. Sur ce point, il a souligné que «les travaux susceptibles d'être exploités seront orientés vers des incubateurs puis vers des pépinières qui seront créées prochainement en vue de la réalisation de ces travaux». Quatre autres délégations régionales de l'Anvredet seront mises en place prochainement, a annoncé M. Taïbi. Ces délégations seront situées à Annaba, Oran, Ouargla et éventuellement Adrar. Concernant l'Aagenda programmé par l'Agence, M. Taïbi a annoncé qu'il est prévu l'organisation de 11 forums entre 2007 et 2008, ainsi que la tenue d'une grande manifestation en décembre 2008 qui, «regroupera le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le secteur économique, les investisseurs algériens, les banques et le Conseil juridique pour un grand débat». «Quelque 10% des 500 projets de recherche scientifique ont été expertisés et valorisés», a affirmé M. Mohamed Taïbi, directeur général de l'agence nationale de valorisation des résultats de la recherche et du développement technologique (Anvredet). En effet, lors d'une conférence de presse animée à Alger, M. Taïbi a dressé le bilan de l'Agence dont il est le premier responsable, en indiquant que 50 projets des 500 présentés et qui concerne la recherche scientifique, ont été expertisés et valorisés par l'agence. Plusieurs d'entre eux, ajoute M. Taïbi, se trouvent actuellement, à l'étape de mise en relation et de mise en partenariat avec les entreprises industrielles et financières pour susciter l'intérêt de leur réalisation. Ce processus, ajoute le responsable, demande beaucoup de temps, en raison, explique-t-il, d'un environnement hostile caractérisé par l'absence d'un fonds d'innovation, d'un fonds d'amorçage et d'institutions à capital risque. Ces projets, poursuit le directeur général de l'Agence, manquent, dans la majeure partie des cas, de ressources financières nécessaires au soutien et à l'accompagnement des idées innovantes et porteuses jusqu'à la mise en place de l'entreprise. A ce sujet M. Taïbi a indiqué : «Seulement 40 projets ont été brevetés à ce jour en raison des difficultés financières. Pour breveter un projet, il faut dépenser environ 1 million de dinars.» En outre, ces projets touchent à plusieurs domaines spécialisés. Huit grands secteurs sont visés, il s'agit, entre autres, de l'agriculture et l'agroalimentaire, des ressources en eau, de l'industrie, de l'énergie et des mines, des matériaux, de l'habitat, de la construction et l'urbanisme, de la santé, des technologies de l'information et de la communication, de l'économie, du droit et de la société, a précisé M. Taïbi. Par ailleurs, tout en conservant l'objectif principal de son agence, celui de redynamiser la croissance économique et technologique par l'innovation, M. Taïbi a annoncé la mise en place de cellules de revalorisation au niveau des universités pour expertiser les travaux de recherche. Sur ce point, il a souligné que «les travaux susceptibles d'être exploités seront orientés vers des incubateurs puis vers des pépinières qui seront créées prochainement en vue de la réalisation de ces travaux». Quatre autres délégations régionales de l'Anvredet seront mises en place prochainement, a annoncé M. Taïbi. Ces délégations seront situées à Annaba, Oran, Ouargla et éventuellement Adrar. Concernant l'Aagenda programmé par l'Agence, M. Taïbi a annoncé qu'il est prévu l'organisation de 11 forums entre 2007 et 2008, ainsi que la tenue d'une grande manifestation en décembre 2008 qui, «regroupera le ministère de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique, le secteur économique, les investisseurs algériens, les banques et le Conseil juridique pour un grand débat».