Il s'agit de la réalisation du huitième projet entre AEC (Algerian Energy Company), société détenue par Sonatrach et Sonelgaz, ADE (l'Algérienne des eaux), SNC-Lavalin, Acciona et le CPA. Il s'agit de la réalisation du huitième projet entre AEC (Algerian Energy Company), société détenue par Sonatrach et Sonelgaz, ADE (l'Algérienne des eaux), SNC-Lavalin, Acciona et le CPA. La cérémonie de signature de package contractuel du projet de dessalement d'eau de mer de Fouka a eu lieu hier au siège de la Direction générale de Sonatrach en présence des responsables de toutes les parties prenantes de ce projet, à savoir AEC (Algerian Energy Company), société détenue par Sonatrach et Sonelgaz, ADE (L'Algérienne des eaux), SNC-Lavalin, Acciona et le CPA. En effet, il s'agit de la réalisation du huitième projet d'unité de dessalement convenu entre ces parties là. A cet effet, une société a été créée propriété de SNC-LAVALIN et ACCIONA à hauteur de 51% et 49 % reviennent à AEC. Il s'agit de Miyah Tipaza Spa devant dessaler 120.000 mètre cubes/jour. Le but est d'atteindre une capacité de dessalement de 2.300.000.000 litres/jour concernant les 13 unités s'étalant sur le littoral. Le coût de l'unité de dessalement d'eau de mer de Fouka a été estimé 180 millions de dollars dont le CPA a pris en charge 80 % du projet, les 20 % restants seront assurés par SNC-LAVALIN et ACCIONA Spa sous forme d'investissement direct, ainsi que le transfert de technologie prévu dans les termes du contrat. Sonatrach, à travers sa filiale AEC, achètera l'eau dessalée pour la revendre à l'ADE selon un tarif étudié estimé à 54 DA/mètre cubes. Sonelgaz s'occupera des fournitures en énergie. Le financement s'opère selon le mode « project financing » qui déleste l'Etat du fardeau financier et les dettes y afférentes. En d'autres termes, les investisseurs obtiennent des profits sur les opérations d'achat et de vente de l'eau dessalée. En ce sens, «l'Etat n'aura pas à rembourser les investisseurs mais ceux-ci toucheront des profits une fois les quantités d'eau vendues, c'est ce qu'on appelle les cash-flow» nous explique M. Sari, PDG de AEC. Dans le même ordre d'idées, Chakib Khelil, présent lors de la cérémonie de signature des contrats nous indiquait que "le mode de financement de ce projet permet ainsi à l'Etat de ne pas s'encombrer de dettes ce qui lui donne toute latitude de financer d'autres projets sociaux relevant de l'éducation, de la santé et des infrastructures routières ayant des retombées positives d'ordre socio-économique» souligne le ministre de l'Energie et des Mines. De plus, l'eau dessalée permet de consacrer les capacités d'eau captée à partir des barrages et de l'assainissement d'eau usée et des forages à l'irrigation agricole. Chakib Khelil souligne que le projet de l'unité de dessalement de Fouka est soutenu par un environnement garantissant la rentabilité pour les investisseurs et l'intérêt du consommateur. De ce fait, peut-on alors s'avancer à dire que l'avenir augure, dans un avenir proche un meilleur accès à l'eau potable en H24 et sept jours sur sept balayant ainsi les longues périodes de «disette hydrique» ? D'autant que les pouvoirs publics ont mis en place une stratégie visant à abaisser au maximum le tarif de l'eau dessalée pour être en harmonie avec le faible pouvoir d'achat. La cérémonie de signature de package contractuel du projet de dessalement d'eau de mer de Fouka a eu lieu hier au siège de la Direction générale de Sonatrach en présence des responsables de toutes les parties prenantes de ce projet, à savoir AEC (Algerian Energy Company), société détenue par Sonatrach et Sonelgaz, ADE (L'Algérienne des eaux), SNC-Lavalin, Acciona et le CPA. En effet, il s'agit de la réalisation du huitième projet d'unité de dessalement convenu entre ces parties là. A cet effet, une société a été créée propriété de SNC-LAVALIN et ACCIONA à hauteur de 51% et 49 % reviennent à AEC. Il s'agit de Miyah Tipaza Spa devant dessaler 120.000 mètre cubes/jour. Le but est d'atteindre une capacité de dessalement de 2.300.000.000 litres/jour concernant les 13 unités s'étalant sur le littoral. Le coût de l'unité de dessalement d'eau de mer de Fouka a été estimé 180 millions de dollars dont le CPA a pris en charge 80 % du projet, les 20 % restants seront assurés par SNC-LAVALIN et ACCIONA Spa sous forme d'investissement direct, ainsi que le transfert de technologie prévu dans les termes du contrat. Sonatrach, à travers sa filiale AEC, achètera l'eau dessalée pour la revendre à l'ADE selon un tarif étudié estimé à 54 DA/mètre cubes. Sonelgaz s'occupera des fournitures en énergie. Le financement s'opère selon le mode « project financing » qui déleste l'Etat du fardeau financier et les dettes y afférentes. En d'autres termes, les investisseurs obtiennent des profits sur les opérations d'achat et de vente de l'eau dessalée. En ce sens, «l'Etat n'aura pas à rembourser les investisseurs mais ceux-ci toucheront des profits une fois les quantités d'eau vendues, c'est ce qu'on appelle les cash-flow» nous explique M. Sari, PDG de AEC. Dans le même ordre d'idées, Chakib Khelil, présent lors de la cérémonie de signature des contrats nous indiquait que "le mode de financement de ce projet permet ainsi à l'Etat de ne pas s'encombrer de dettes ce qui lui donne toute latitude de financer d'autres projets sociaux relevant de l'éducation, de la santé et des infrastructures routières ayant des retombées positives d'ordre socio-économique» souligne le ministre de l'Energie et des Mines. De plus, l'eau dessalée permet de consacrer les capacités d'eau captée à partir des barrages et de l'assainissement d'eau usée et des forages à l'irrigation agricole. Chakib Khelil souligne que le projet de l'unité de dessalement de Fouka est soutenu par un environnement garantissant la rentabilité pour les investisseurs et l'intérêt du consommateur. De ce fait, peut-on alors s'avancer à dire que l'avenir augure, dans un avenir proche un meilleur accès à l'eau potable en H24 et sept jours sur sept balayant ainsi les longues périodes de «disette hydrique» ? D'autant que les pouvoirs publics ont mis en place une stratégie visant à abaisser au maximum le tarif de l'eau dessalée pour être en harmonie avec le faible pouvoir d'achat.