Le ministre algérien des Finances, Karim Djoudi, et la ministre de l'Economie des Emirats arabes unis (EAU), Cheikha Loubna Bent Khaled, ont réaffirmé, hier à l'hôtel Madar du Cercle national de l'Armée, la volonté des gouvernements des deux pays de travailler inlassablement pour promouvoir les investissements. Ainsi, pour Djoudi, «cette rencontre rentre dans le cadre de l'accord conclu entre le précisent de la République, Abdelaziz Bouteflika, et le président des Emirats arabes unis, Cheikh Khalifa Zayed Al Nahyane, lors de la récente visite du souverain émirati à Alger. Nous voulons développer un partenariat stratégique en vertu des résultats de la commission mixte réunie les 12 et 13 juin de l'année courante à Abou Dhabi». Depuis cette date, des hommes d'affaires des EAU ont multiplié les visites de travail en Algérie dans le but de réaliser des projets d'investissement dans divers domaines. Karim Djoudi a cité l'exemple de quelques entreprises émiraties ayant investi en Algérie, tels que les groupes Iamar, El Qoudra et la Chambre de commerce et d'industrie d'Abou Dhabi, ainsi que les sociétés Dimo et Amiral. L'essentiel de la rencontre d'hier s'est articulé autour de discussions dans trois ateliers, à savoir le groupe de travail sur l'énergie, l'électricité, le pétrole et le gaz, l'industrie et l'hydraulique, le groupe de travail relatif aux ports et, enfin le foncier industriel. A une question inhérente à l'état des lieux des investissements émiratis en Algérie, Djoudi a affirmé qu'«il existe un très grand mouvement des investissements émiratis en Algérie à travers des protocoles et des conventions de partenariat qui vont dans la continuité de cette rencontre. Des hommes d'affaires émiratis ont manifesté leur volonté d'investir dans les secteurs de l'eau, de l'hôtellerie, du tourisme et d'autres domaines d'activités en concertation avec leurs homologues algériens». Le ministre ders Finances estime qu'il est impérieux et nécessaire de lever toutes les contraintes et les entraves ralentissant le mouvement des investissements en Algérie. Arès le dépôt d'agrément de la banque émiratie Essalem, une autre institution financière de ce pays a demandé une implantation en Algérie. Pour la ministre émiratie, «l'Algérie offre d'énormes potentialités de coopération pour un partenariat de qualité entre nos deux pays. Nous voulons développer des projets industriels dans le secteur privé». Une convention de partenariat dans le domaine des forêts et de l'environnement a été signée entre des représentants des deux pays. Le vice-président exécutif des ports de Dubai, Djameel Madjed Ben Thenia, estime, pour sa part, que «cette visite des opérateurs économiques émiratis en Algérie est susceptible d'être couronnée par la conclusion de projets d'investissement tant les opportunités sont nombreuses et variées». Hamid Temmar, ministre de la Participation et de la Promotion des investissements, et Saïd Barkat, ministre de l'Agriculture, étaient présents et ont assisté aux différents travaux des ateliers. Le ministre algérien des Finances, Karim Djoudi, et la ministre de l'Economie des Emirats arabes unis (EAU), Cheikha Loubna Bent Khaled, ont réaffirmé, hier à l'hôtel Madar du Cercle national de l'Armée, la volonté des gouvernements des deux pays de travailler inlassablement pour promouvoir les investissements. Ainsi, pour Djoudi, «cette rencontre rentre dans le cadre de l'accord conclu entre le précisent de la République, Abdelaziz Bouteflika, et le président des Emirats arabes unis, Cheikh Khalifa Zayed Al Nahyane, lors de la récente visite du souverain émirati à Alger. Nous voulons développer un partenariat stratégique en vertu des résultats de la commission mixte réunie les 12 et 13 juin de l'année courante à Abou Dhabi». Depuis cette date, des hommes d'affaires des EAU ont multiplié les visites de travail en Algérie dans le but de réaliser des projets d'investissement dans divers domaines. Karim Djoudi a cité l'exemple de quelques entreprises émiraties ayant investi en Algérie, tels que les groupes Iamar, El Qoudra et la Chambre de commerce et d'industrie d'Abou Dhabi, ainsi que les sociétés Dimo et Amiral. L'essentiel de la rencontre d'hier s'est articulé autour de discussions dans trois ateliers, à savoir le groupe de travail sur l'énergie, l'électricité, le pétrole et le gaz, l'industrie et l'hydraulique, le groupe de travail relatif aux ports et, enfin le foncier industriel. A une question inhérente à l'état des lieux des investissements émiratis en Algérie, Djoudi a affirmé qu'«il existe un très grand mouvement des investissements émiratis en Algérie à travers des protocoles et des conventions de partenariat qui vont dans la continuité de cette rencontre. Des hommes d'affaires émiratis ont manifesté leur volonté d'investir dans les secteurs de l'eau, de l'hôtellerie, du tourisme et d'autres domaines d'activités en concertation avec leurs homologues algériens». Le ministre ders Finances estime qu'il est impérieux et nécessaire de lever toutes les contraintes et les entraves ralentissant le mouvement des investissements en Algérie. Arès le dépôt d'agrément de la banque émiratie Essalem, une autre institution financière de ce pays a demandé une implantation en Algérie. Pour la ministre émiratie, «l'Algérie offre d'énormes potentialités de coopération pour un partenariat de qualité entre nos deux pays. Nous voulons développer des projets industriels dans le secteur privé». Une convention de partenariat dans le domaine des forêts et de l'environnement a été signée entre des représentants des deux pays. Le vice-président exécutif des ports de Dubai, Djameel Madjed Ben Thenia, estime, pour sa part, que «cette visite des opérateurs économiques émiratis en Algérie est susceptible d'être couronnée par la conclusion de projets d'investissement tant les opportunités sont nombreuses et variées». Hamid Temmar, ministre de la Participation et de la Promotion des investissements, et Saïd Barkat, ministre de l'Agriculture, étaient présents et ont assisté aux différents travaux des ateliers.