Plusieurs projets AADL lancés en divers points de la capitale et ailleurs sont, pour leur majeure partie, à l'arrêt, et certains d'entre eux ont repris depuis quelques mois. Dans les chantiers qui donnent l'impression d'être abandonnés, on apprend que plusieurs employés n'ont pas perçu leurs salaires depuis des mois, suite à des problèmes d'ordre divers. Par ailleurs, il est fait état d'une éventuelle «résiliation de contrat entre Batigec et l'AADL pour la réalisation des projets à Zeralda, Staouéli, Aïn Benian et Mahelma». Devant cette situation, les bénéficiaires s'apprêtent à constituer une association pour faire valoir leurs droits. C'est le cas de le dire pour une bonne partie des employés de l'entreprise BATIGEC dont les projets à Zeralda, Staouéli, Aïn Benian et Mahelma, lancés en juillet 2003, devaient être réceptionnés au début 2005, soit après 18 mois de délai défini par le cahier des charges. Sur les lieux des chantiers, seulement quelques sous-traitants demeurent actifs contrairement à beaucoup d'autres qui ont préféré mettre la clé sous le paillasson du fait de l'impossibilité de payer les rétributions de leurs ouvriers. Sur ce volet, lance un des sous-traitants requérant l'anonymat, «certains sous-traitants n'ont même pas eu droit à un contrat et, de ce fait, ont abandonné les chantiers tandis que les quelques autres font face à des retards de paiement, dont les effets sont ressentis par les employés». «Cette décision a conduit certains ouvriers travaillant pour leur compte à tourner le dos aux chantiers et s'en aller sans percevoir leurs salaires», affirme-t-on. De leur côté, les centaines de bénéficiaires des logements (sous la formule location-vente), pris en otage par les turbulences existant entre les entreprises et l'AADL, sont contraints de subir les retombées des retards constatés ici et là. Un des bénéficiaires sur le site de Zeralda nous informe que «ses pairs envisagent de constituer une association afin de porter leurs doléances à un hauts niveau», ajoutant que «cette initiative est envisagée après les moult tentatives de connaître les raisons des retards que nous subissons fatalement et impuissamment». «Je me demande pourquoi le projet des 1.000 logements sociaux de Zeralda, lancé en 2005, a été achevé en 2006 alors que ceux de l'AADL, notamment Zeralda, et pour lesquels nous avons déboursé la tranche exigée de 18 millions de centimes, n'arrivent pas à voir le bout du tunnel», s'interroge un des bénéficiaires rencontré par hasard aux abords du chantier affichant des plaques indiquant les dates et délais impartis par le cahier des charges. Sur le chantier, les ouvriers attroupés, les grues à l'arrêt et les amoncellements de matériaux sont des signes révélateurs. Interrogé, le bénéficiaire nous fait part d'une rumeur faisant état «d'une probable résiliation du contrat entre BATIGEC et l'AADL et pour laquelle l'agence d'architecture Anine effectue le suivi des travaux». «Ce chantier n'est pas près d'être réceptionné», nous affirme un autre bénéficiaire qui parle de problèmes complexes à l'origine de l'arrêt des travaux. Pour l'heure, les bénéficiaires, victimes des aléas d'ordre financier ou autres, n'ont d'autre option que de prendre leur mal en patience, vu que ces projets AADL «seront relancés d'une manière effective et sûre». Plusieurs projets AADL lancés en divers points de la capitale et ailleurs sont, pour leur majeure partie, à l'arrêt, et certains d'entre eux ont repris depuis quelques mois. Dans les chantiers qui donnent l'impression d'être abandonnés, on apprend que plusieurs employés n'ont pas perçu leurs salaires depuis des mois, suite à des problèmes d'ordre divers. Par ailleurs, il est fait état d'une éventuelle «résiliation de contrat entre Batigec et l'AADL pour la réalisation des projets à Zeralda, Staouéli, Aïn Benian et Mahelma». Devant cette situation, les bénéficiaires s'apprêtent à constituer une association pour faire valoir leurs droits. C'est le cas de le dire pour une bonne partie des employés de l'entreprise BATIGEC dont les projets à Zeralda, Staouéli, Aïn Benian et Mahelma, lancés en juillet 2003, devaient être réceptionnés au début 2005, soit après 18 mois de délai défini par le cahier des charges. Sur les lieux des chantiers, seulement quelques sous-traitants demeurent actifs contrairement à beaucoup d'autres qui ont préféré mettre la clé sous le paillasson du fait de l'impossibilité de payer les rétributions de leurs ouvriers. Sur ce volet, lance un des sous-traitants requérant l'anonymat, «certains sous-traitants n'ont même pas eu droit à un contrat et, de ce fait, ont abandonné les chantiers tandis que les quelques autres font face à des retards de paiement, dont les effets sont ressentis par les employés». «Cette décision a conduit certains ouvriers travaillant pour leur compte à tourner le dos aux chantiers et s'en aller sans percevoir leurs salaires», affirme-t-on. De leur côté, les centaines de bénéficiaires des logements (sous la formule location-vente), pris en otage par les turbulences existant entre les entreprises et l'AADL, sont contraints de subir les retombées des retards constatés ici et là. Un des bénéficiaires sur le site de Zeralda nous informe que «ses pairs envisagent de constituer une association afin de porter leurs doléances à un hauts niveau», ajoutant que «cette initiative est envisagée après les moult tentatives de connaître les raisons des retards que nous subissons fatalement et impuissamment». «Je me demande pourquoi le projet des 1.000 logements sociaux de Zeralda, lancé en 2005, a été achevé en 2006 alors que ceux de l'AADL, notamment Zeralda, et pour lesquels nous avons déboursé la tranche exigée de 18 millions de centimes, n'arrivent pas à voir le bout du tunnel», s'interroge un des bénéficiaires rencontré par hasard aux abords du chantier affichant des plaques indiquant les dates et délais impartis par le cahier des charges. Sur le chantier, les ouvriers attroupés, les grues à l'arrêt et les amoncellements de matériaux sont des signes révélateurs. Interrogé, le bénéficiaire nous fait part d'une rumeur faisant état «d'une probable résiliation du contrat entre BATIGEC et l'AADL et pour laquelle l'agence d'architecture Anine effectue le suivi des travaux». «Ce chantier n'est pas près d'être réceptionné», nous affirme un autre bénéficiaire qui parle de problèmes complexes à l'origine de l'arrêt des travaux. Pour l'heure, les bénéficiaires, victimes des aléas d'ordre financier ou autres, n'ont d'autre option que de prendre leur mal en patience, vu que ces projets AADL «seront relancés d'une manière effective et sûre».