Six clubs seulement sur les seize composant l'effectif de la division nationale "Une" de football ont préféré maintenir en poste, jusqu'à présent, leur staff technique à la veille du démarrage du championnat d'Algérie de football prévu jeudi. Six clubs seulement sur les seize composant l'effectif de la division nationale "Une" de football ont préféré maintenir en poste, jusqu'à présent, leur staff technique à la veille du démarrage du championnat d'Algérie de football prévu jeudi. En effet, l'Italien Enrico Fabbro (MC Alger), le Portugais Gomes (MC Oran) et les nationaux Medjadj (NA H.Dey), Slimani (WA Tlemcen), Zekri (USM Annaba) et Aït El-Hocine (OM Ruisseau) sont les seuls à reprendre du service jeudi prochain avec l'équipe qu'ils ont drivée lors de l'exercice 2006-2007. Cette valse d'entraîneurs, indique-t-on, dans les milieux footbalistiques, renseigne de l'instabilité des staffs techniques dans la vie des clubs algériens, lesquels, à l'instar de beaucoup de clubs étrangers, renvoient le manque de résultats sur les terrains à la faiblesse des coachs. Même l'ASO Chlef, réputée pour la stabilité de ses staffs techniques, n'a pas dérogé, cette année, à la règle suite au départ, à la grande surprise des ses fans, de son entraîneur Abdelkader Amrani, qui occupait la barre technique du club depuis 2003. Ce dernier comme pour être à la mode a remis le tablier pour rejoindre l'USM Alger et succéder à son collègue Rachid Belhout qui, lui, a pris le chemin inverse, après un court séjour à l'ES Sétif puis à l'USMA. Pour la nouvelle saison, neuf clubs ont fait appel à de nouveaux entraîneurs dont deux étrangers : le Suisse Charles Roessly (ES Sétif) et le Portugais Texeira (CABB Arérridj), en attendant l'arrivée probable d'un coach étranger à la tête de la JS Kabylie suite au départ précipité de Kamel Mouassa (ex-USM Blida) qui ne sera resté que 40 jours à la barre technique des Canaris. Mouassa a donc, paradoxalement, laissé ses deux équipes, l'USMB puis la JSK, sans staff technique et dirigées provisoirement par leurs anciens joueurs, Zane et Moussa Saïb, à quelques jours seulement du coup d'envoi de la première journée. Mais le record qui mérite d'être inscrit au Guiness appartient désormais à Abdelkrim Bira qui n'a travaillé au sein du staff technique du CR Belouizdad que... trois jours seulement, succédant ainsi à Azzedine Aït-Djoudi qui venait de démissionner de la JS Kabylie. Même les nouveaux promus n'ont pas échappé à la valse. Ainsi, le MC Saïda et l'AS Khoub se sont séparés de ceux qui ont contribué à leur accession, "ingratitude oblige", souligne-t-on. Il s'agit de Abdelkrim Benyelles (MCS) et Hocine Zekri (ASK) remplacés respectivement par Hammouche et Belaribi. D'ailleurs, la FAF tient à mettre fin à cette "fâcheuse tendance" de valse en rappelant aux clubs la nécessité de se conformer à la réglementation en vigueur conformément au décret exécutif du 2 septembre 2006, stipulant : «La délivrance de la licence d'exercice d'entraîneurs est conditionnée par la présentation d'un contrat de deux ans liant le technicien au club.» A cet effet, la FAF exhorte les associations à respecter cette disposition en instruisant les ligues compétentes à rejeter tout dossier non conforme à cette réglementation. Toutefois, les entraîneurs quel que soit leur standing savent bien qu'ils restent sur un siège éjectable. Ils vivent désormais avec la hantise du limogeage, dans le cas où une série de défaites est alignée. La question que l'on se pose : combien de coachs réussiront sans encombres la traversée de la saison 2008. En effet, l'Italien Enrico Fabbro (MC Alger), le Portugais Gomes (MC Oran) et les nationaux Medjadj (NA H.Dey), Slimani (WA Tlemcen), Zekri (USM Annaba) et Aït El-Hocine (OM Ruisseau) sont les seuls à reprendre du service jeudi prochain avec l'équipe qu'ils ont drivée lors de l'exercice 2006-2007. Cette valse d'entraîneurs, indique-t-on, dans les milieux footbalistiques, renseigne de l'instabilité des staffs techniques dans la vie des clubs algériens, lesquels, à l'instar de beaucoup de clubs étrangers, renvoient le manque de résultats sur les terrains à la faiblesse des coachs. Même l'ASO Chlef, réputée pour la stabilité de ses staffs techniques, n'a pas dérogé, cette année, à la règle suite au départ, à la grande surprise des ses fans, de son entraîneur Abdelkader Amrani, qui occupait la barre technique du club depuis 2003. Ce dernier comme pour être à la mode a remis le tablier pour rejoindre l'USM Alger et succéder à son collègue Rachid Belhout qui, lui, a pris le chemin inverse, après un court séjour à l'ES Sétif puis à l'USMA. Pour la nouvelle saison, neuf clubs ont fait appel à de nouveaux entraîneurs dont deux étrangers : le Suisse Charles Roessly (ES Sétif) et le Portugais Texeira (CABB Arérridj), en attendant l'arrivée probable d'un coach étranger à la tête de la JS Kabylie suite au départ précipité de Kamel Mouassa (ex-USM Blida) qui ne sera resté que 40 jours à la barre technique des Canaris. Mouassa a donc, paradoxalement, laissé ses deux équipes, l'USMB puis la JSK, sans staff technique et dirigées provisoirement par leurs anciens joueurs, Zane et Moussa Saïb, à quelques jours seulement du coup d'envoi de la première journée. Mais le record qui mérite d'être inscrit au Guiness appartient désormais à Abdelkrim Bira qui n'a travaillé au sein du staff technique du CR Belouizdad que... trois jours seulement, succédant ainsi à Azzedine Aït-Djoudi qui venait de démissionner de la JS Kabylie. Même les nouveaux promus n'ont pas échappé à la valse. Ainsi, le MC Saïda et l'AS Khoub se sont séparés de ceux qui ont contribué à leur accession, "ingratitude oblige", souligne-t-on. Il s'agit de Abdelkrim Benyelles (MCS) et Hocine Zekri (ASK) remplacés respectivement par Hammouche et Belaribi. D'ailleurs, la FAF tient à mettre fin à cette "fâcheuse tendance" de valse en rappelant aux clubs la nécessité de se conformer à la réglementation en vigueur conformément au décret exécutif du 2 septembre 2006, stipulant : «La délivrance de la licence d'exercice d'entraîneurs est conditionnée par la présentation d'un contrat de deux ans liant le technicien au club.» A cet effet, la FAF exhorte les associations à respecter cette disposition en instruisant les ligues compétentes à rejeter tout dossier non conforme à cette réglementation. Toutefois, les entraîneurs quel que soit leur standing savent bien qu'ils restent sur un siège éjectable. Ils vivent désormais avec la hantise du limogeage, dans le cas où une série de défaites est alignée. La question que l'on se pose : combien de coachs réussiront sans encombres la traversée de la saison 2008.