Cinq villes de la capitale seront dotées, dans les prochains mois, de parkings à étages pouvant accueillir plusieurs centaines de véhicules chacun, selon les informations publiées par l'Etablissement de gestion de la circulation et du transport urbain de la wilaya d'Alger (UGCTU). Cinq villes de la capitale seront dotées, dans les prochains mois, de parkings à étages pouvant accueillir plusieurs centaines de véhicules chacun, selon les informations publiées par l'Etablissement de gestion de la circulation et du transport urbain de la wilaya d'Alger (UGCTU). Dans le cadre de la mise en place du nouveau plan destiné à fluidifier la circulation automobile à Alger, l'UGCTU vient de lancer un avis d'appel d'offres, pour choisir les bureaux d'études capables de réaliser les plans détaillés de ces nouvelles aires de stationnement qui seront implantées, selon la même source, dans les communes de Hydra, El-Biar, Sidi-M'hamed, El-Madania et El-Harrach. En effet, les automobilistes souffrent quotidiennement des embouteillages dans pratiquement toutes les rues et artères de la capitale. Ces encombrements sont provoqués par plusieurs facteurs, notamment le flux d'un nombre considérable de véhicules ainsi que les stationnements anarchiques dus au déficit, pour ne pas dire l'inexistence d'espaces de stationnement. En construisant ces nouveaux parkings, les autorités de la wilaya d'Alger espèrent fluidifier la circulation automobile à Alger, et permettre aux conducteurs de trouver plus facilement des places pour stationner leurs véhicules. Cependant, cela reste très insuffisant pour pouvoir compenser le manque dont souffre la capitale en matière d'espaces de stationnement, sachant que la capacité des parkings officiels de la wilaya d'Alger est de 40.000 voitures, alors que le parc automobile de la capitale est de plus d'un million de véhicules, en plus de plus de 600.000 arrivant des wilayas limitrophes. Parallèlement à cette insuffisance, une nouvelle activité informelle est née, celle des parkings anarchiques. Cette activité semble très juteuse puisqu'elle permet aux exploitants et gardiens de ces espaces d'amasser des fortunes. La rue est devenue pour eux un territoire conquis à tel point où des artères et des impasses conçues pour un stationnement ont été vendues, revendues et louées contre d'importantes sommes d'argent. Pendant des années, les pouvoirs publics ont fermé les yeux sur ce genre de pratiques illicites. Cependant, en vue de régulariser ces parkings, une opération de repérage et de recensement de l'ensemble des aires de stationnement dans la capitale a été lancée, en juin de l'année dernière par les services de sécurité et les collectivités locales de la wilaya d'Alger. Suite à cette expérience-pilote, qui s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la circulaire ministérielle portant mesures d'encadrement des activités de surveillance de voitures, les exploitants de ces parkings devaient être recrutés dans le cadre de l'emploi des jeunes en ayant des espaces limités et encadrés qu'ils pourront gérer en conformité avec la loi. Les gardiens, quant à eux, doivent être désormais munis de badges numérotés et identifiables et d'une tenue de gardien. Il sont tenus aussi de payer des impôts. Cependant, à ce jour, rien n'a changé, aucune amélioration n'a été enregistrée. Les routes et même les plus petites ruelles et impasses sont utilisées anarchiquement comme des aires de stationnement. Dans la crainte d'agressions qui peuvent être commises par ces gardiens autoproclamés, les citoyens sont contraints de payer partout et n'importe quelle somme, puisque ce sont ces jeunes désœuvrés et eux seuls qui font la loi dans ces lieux. Dans le cadre de la mise en place du nouveau plan destiné à fluidifier la circulation automobile à Alger, l'UGCTU vient de lancer un avis d'appel d'offres, pour choisir les bureaux d'études capables de réaliser les plans détaillés de ces nouvelles aires de stationnement qui seront implantées, selon la même source, dans les communes de Hydra, El-Biar, Sidi-M'hamed, El-Madania et El-Harrach. En effet, les automobilistes souffrent quotidiennement des embouteillages dans pratiquement toutes les rues et artères de la capitale. Ces encombrements sont provoqués par plusieurs facteurs, notamment le flux d'un nombre considérable de véhicules ainsi que les stationnements anarchiques dus au déficit, pour ne pas dire l'inexistence d'espaces de stationnement. En construisant ces nouveaux parkings, les autorités de la wilaya d'Alger espèrent fluidifier la circulation automobile à Alger, et permettre aux conducteurs de trouver plus facilement des places pour stationner leurs véhicules. Cependant, cela reste très insuffisant pour pouvoir compenser le manque dont souffre la capitale en matière d'espaces de stationnement, sachant que la capacité des parkings officiels de la wilaya d'Alger est de 40.000 voitures, alors que le parc automobile de la capitale est de plus d'un million de véhicules, en plus de plus de 600.000 arrivant des wilayas limitrophes. Parallèlement à cette insuffisance, une nouvelle activité informelle est née, celle des parkings anarchiques. Cette activité semble très juteuse puisqu'elle permet aux exploitants et gardiens de ces espaces d'amasser des fortunes. La rue est devenue pour eux un territoire conquis à tel point où des artères et des impasses conçues pour un stationnement ont été vendues, revendues et louées contre d'importantes sommes d'argent. Pendant des années, les pouvoirs publics ont fermé les yeux sur ce genre de pratiques illicites. Cependant, en vue de régulariser ces parkings, une opération de repérage et de recensement de l'ensemble des aires de stationnement dans la capitale a été lancée, en juin de l'année dernière par les services de sécurité et les collectivités locales de la wilaya d'Alger. Suite à cette expérience-pilote, qui s'inscrit dans le cadre de la mise en œuvre de la circulaire ministérielle portant mesures d'encadrement des activités de surveillance de voitures, les exploitants de ces parkings devaient être recrutés dans le cadre de l'emploi des jeunes en ayant des espaces limités et encadrés qu'ils pourront gérer en conformité avec la loi. Les gardiens, quant à eux, doivent être désormais munis de badges numérotés et identifiables et d'une tenue de gardien. Il sont tenus aussi de payer des impôts. Cependant, à ce jour, rien n'a changé, aucune amélioration n'a été enregistrée. Les routes et même les plus petites ruelles et impasses sont utilisées anarchiquement comme des aires de stationnement. Dans la crainte d'agressions qui peuvent être commises par ces gardiens autoproclamés, les citoyens sont contraints de payer partout et n'importe quelle somme, puisque ce sont ces jeunes désœuvrés et eux seuls qui font la loi dans ces lieux.