Le gouvernement bangladais soutenu par les militaires a de nouveau allégé le couvre-feu imposé depuis mercredi au Bangladesh suite à des manifestations meurtrières, soulignant que cette mesure restera en vigueur cinq heures par jour à partir d'hier soir, a annoncé une source officielle. Selon cette source, il n'y aura pas de couvre-feu de 5h00 à 12h00 lundi. Le couvre-feu à durée indéterminée a été instauré à Dacca et à cinq autres villes principales du pays afin de mettre un terme à des violences qui se sont poursuivies pendant plusieurs jours. Outre cette mesure, les universités et établissements d'enseignement supérieur sont également fermés dans ces localités. Ces mesures ont été prises après que de violents heurts eurent éclaté mercredi dernier à l'université de Dacca où les étudiants réclament depuis lundi le départ des forces de sécurité stationnées depuis janvier sur leur campus. Bien que le gouvernement ait accepté de retirer l'armée du campus, les violences ont gagné d'autres universités à travers le pays. Les rassemblements au Bangladesh sont interdits par le gouvernement intérimaire, au pouvoir depuis janvier, et l'armée. Le gouvernement bangladais soutenu par les militaires a de nouveau allégé le couvre-feu imposé depuis mercredi au Bangladesh suite à des manifestations meurtrières, soulignant que cette mesure restera en vigueur cinq heures par jour à partir d'hier soir, a annoncé une source officielle. Selon cette source, il n'y aura pas de couvre-feu de 5h00 à 12h00 lundi. Le couvre-feu à durée indéterminée a été instauré à Dacca et à cinq autres villes principales du pays afin de mettre un terme à des violences qui se sont poursuivies pendant plusieurs jours. Outre cette mesure, les universités et établissements d'enseignement supérieur sont également fermés dans ces localités. Ces mesures ont été prises après que de violents heurts eurent éclaté mercredi dernier à l'université de Dacca où les étudiants réclament depuis lundi le départ des forces de sécurité stationnées depuis janvier sur leur campus. Bien que le gouvernement ait accepté de retirer l'armée du campus, les violences ont gagné d'autres universités à travers le pays. Les rassemblements au Bangladesh sont interdits par le gouvernement intérimaire, au pouvoir depuis janvier, et l'armée.