Le secrétaire général de l'Ugta a tenu en haleine l'assistance avec un discours tonitruant dans lequel il a affirmé l'attachement du monde du travail à la paix et à la stabilité sociale dans un pays où il n'y a plus de place pour le terrorisme ravageur. Le secrétaire général de l'Ugta a tenu en haleine l'assistance avec un discours tonitruant dans lequel il a affirmé l'attachement du monde du travail à la paix et à la stabilité sociale dans un pays où il n'y a plus de place pour le terrorisme ravageur. «Nous sommes déterminés à faire barrage au terrorisme.» C‘est en ces termes que M. Saïd Abadou a résumé, dans son intervention à l‘ouverture du meeting de Harcha, toute la détermination de la société civile, venue hier marquer une halte dans la vie publique du pays et réitérer la détermination du peuple algérien à faire front contre le terrorisme et défendre la République. Le président de l‘Onec avait auparavant dénoncé, dans son discours les attaques terroristes perpétrées contre la population et visant les symboles de l‘Etat. En prenant la parole, le président de l‘Onem a, de son côté, réitéré l‘attachement de la volonté populaire à l‘instauration de la paix et au retour à la stabilité sociale, socle du bien-être social. "La terreur ne devra, selon lui, trouver aucune justification», a-t-il martelé car le «terrorisme ne peut en aucun cas se justifier». Il y va de la stabilité du pays et de son évolution pour «un Etat fort par sa sécurité, par son économie et par sa place dans le concert des nations». Cette rencontre, selon M. Abadou, est l‘expression effective de la volonté des représentants du peuple de rejeter les manœuvres déstabilisatrices du terrorisme et de ses relais extérieurs. Une expression qui appelle, selon le président de l‘Onec, à «rester unis et comme un seul homme pour traduire sur le terrain nos discours et notre conviction que le terrorisme n‘a plus sa place en Algérie». Sidi-Saïd prend le relais, exprimant au nom des travailleurs un refus face aux «tentatives de ceux qui veulent casser le pays. "Le terrorisme doit être banni, car il incarne l‘expression du recul économique et de la paix sociale», a-t-il précisé. Le secrétaire général de l‘Ugta a tenu en haleine l‘assistance avec un discours tonitruant dans lequel il a affirmé l‘attachement du monde du travail à la paix et à la stabilité sociale dans un pays où il n‘y a plus de place pour le terrorisme ravageur. Une conviction que «les commanditaires doivent connaître» car elle traduit une Algérie qui aspire à vivre et pour laquelle l‘Ugta demeure la «combattante de tous ceux qui veulent la détruire», a tonné Sidi-Saïd qui, au nom des travailleurs a réitéré le principe de son organisation, prôné par le défunt Abdelhak-Benhamouda «de défendre par tous les moyens la République ». Il a conclu par son soutien indéfectible au président de la République pour avoir enclenché le processus de la politique de réconciliation nationale «Interprétez cela comme vous le voulez», a-t-il lancé, mais «il faut reconnaître à la politique de réconciliation du Président un retour de la paix». Et «nous sommes les garants de cette paix». Faisant référence aux années noires, l‘orateur s‘est dit certain que le peuple en a fini avec les années 90 et que la situation a grandement changé. «C‘est terminé», a-t-il déclaré clôturant son discours par un appel au président de la République l‘exhortant «de ne pas reculer». Le meeting, auquel a pris part le Chef du gouvernement, entouré de ses ministres et d‘un certain nombre de personnalités politiques dont le président de l‘APN M. Ziari, le président de la coordination nationale des comités de soutien au président de la République ainsi que le secrétaire général du RND et la porte-parole du parti des Travailleurs, s‘est clôturé à 12h10 par la lecture d‘une déclaration politique dans laquelle les organisateurs du rassemblement ont sanctionné le principe immuable de la société consistant à faire front contre le terrorisme et renouvelé le soutien inconditionnel des représentants du peuple aux efforts de rétablissement de la paix et de la sécurité du pays. «Nous sommes déterminés à faire barrage au terrorisme.» C‘est en ces termes que M. Saïd Abadou a résumé, dans son intervention à l‘ouverture du meeting de Harcha, toute la détermination de la société civile, venue hier marquer une halte dans la vie publique du pays et réitérer la détermination du peuple algérien à faire front contre le terrorisme et défendre la République. Le président de l‘Onec avait auparavant dénoncé, dans son discours les attaques terroristes perpétrées contre la population et visant les symboles de l‘Etat. En prenant la parole, le président de l‘Onem a, de son côté, réitéré l‘attachement de la volonté populaire à l‘instauration de la paix et au retour à la stabilité sociale, socle du bien-être social. "La terreur ne devra, selon lui, trouver aucune justification», a-t-il martelé car le «terrorisme ne peut en aucun cas se justifier». Il y va de la stabilité du pays et de son évolution pour «un Etat fort par sa sécurité, par son économie et par sa place dans le concert des nations». Cette rencontre, selon M. Abadou, est l‘expression effective de la volonté des représentants du peuple de rejeter les manœuvres déstabilisatrices du terrorisme et de ses relais extérieurs. Une expression qui appelle, selon le président de l‘Onec, à «rester unis et comme un seul homme pour traduire sur le terrain nos discours et notre conviction que le terrorisme n‘a plus sa place en Algérie». Sidi-Saïd prend le relais, exprimant au nom des travailleurs un refus face aux «tentatives de ceux qui veulent casser le pays. "Le terrorisme doit être banni, car il incarne l‘expression du recul économique et de la paix sociale», a-t-il précisé. Le secrétaire général de l‘Ugta a tenu en haleine l‘assistance avec un discours tonitruant dans lequel il a affirmé l‘attachement du monde du travail à la paix et à la stabilité sociale dans un pays où il n‘y a plus de place pour le terrorisme ravageur. Une conviction que «les commanditaires doivent connaître» car elle traduit une Algérie qui aspire à vivre et pour laquelle l‘Ugta demeure la «combattante de tous ceux qui veulent la détruire», a tonné Sidi-Saïd qui, au nom des travailleurs a réitéré le principe de son organisation, prôné par le défunt Abdelhak-Benhamouda «de défendre par tous les moyens la République ». Il a conclu par son soutien indéfectible au président de la République pour avoir enclenché le processus de la politique de réconciliation nationale «Interprétez cela comme vous le voulez», a-t-il lancé, mais «il faut reconnaître à la politique de réconciliation du Président un retour de la paix». Et «nous sommes les garants de cette paix». Faisant référence aux années noires, l‘orateur s‘est dit certain que le peuple en a fini avec les années 90 et que la situation a grandement changé. «C‘est terminé», a-t-il déclaré clôturant son discours par un appel au président de la République l‘exhortant «de ne pas reculer». Le meeting, auquel a pris part le Chef du gouvernement, entouré de ses ministres et d‘un certain nombre de personnalités politiques dont le président de l‘APN M. Ziari, le président de la coordination nationale des comités de soutien au président de la République ainsi que le secrétaire général du RND et la porte-parole du parti des Travailleurs, s‘est clôturé à 12h10 par la lecture d‘une déclaration politique dans laquelle les organisateurs du rassemblement ont sanctionné le principe immuable de la société consistant à faire front contre le terrorisme et renouvelé le soutien inconditionnel des représentants du peuple aux efforts de rétablissement de la paix et de la sécurité du pays.