Les cours du baril de pétrole brut ont atteint un record historique jeudi dernier à New York et Londres probablement en raison des graves risques découlant de la saison des cyclones et des tempêtes tropicales particulièrement dévastatrices pour les populations de la région du Golfe du Mexique. En effet, le baril de «light sweet crude» pour livraison en octobre valait 84,10 dollars, il y a deux jours sur le marché de New York, tandis que sur l'Intercontinental Exchange de Londres le baril du Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre a atteint 79,28 dollars. Ce seuil est également considéré comme un seuil historique, sachant que son précédent record historique remonte au 7 août 2006 et était de l'ordre de 78,64 dollars. En dépit de l'augmentation du niveau de production de l'organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) de 500 000 barils par jour, la tension persiste donc sur le marché pétrolier international. L'une des raisons principales de l'envolée du prix du baril sur le New York Mercantile Exchange (Nymex) réside dans l'arrêt de la production dans le Golfe du Mexique où 27 % du volume d'extraction de l'Or noir était encore bloqués, soit approximativement 360 000 barils par jour de manque par rapport au niveau habituel de production. Ainsi, l'agence gouvernementale américaine Minerals Management Services a annoncé que cinq plates-formes pétrolières et trois derricks ont fait l'objet d'une évacuation à cause de leur positionnement sur la trajectoire probable d'une tempête tropicale. Par ailleurs, dans un souci de préservation de ses installations et de ses raffineries, cette agence a affirmé que 16,7 % de la production de gaz naturel était également provisoirement à l'arrêt. Selon des analystes, ces mesures draconiennes de la baisse du niveau de production ont pour objectif essentiel de ralentir la montée vertigineuse des cours du baril et d'assurer une protection contre les ravages des tempêtes tropicales. Aussi, les autorités américaines craignent, par ailleurs, l'épuisement partiel de leurs réserves pétrolières susceptibles de devenir insuffisantes durant les trois prochains mois, sachant que la demande de produits domestiques et industriels de chauffage atteindra inéluctablement son niveau le plus élevé à cette période de l'année. Alors que le baril valait encore 83,60 dollars à New York, le marché pétrolier avait fait des spéculations sur un nouvel allègement monétaire aux Etats-Unis de façon à appuyer la demande de pétrole. Par ailleurs, le département américain de l'Energie a fait savoir, mercredi, un recul de 3,8 millions de barils des stocks de pétrole brut aux Etats-Unis. C'est-à-dire deux fois plus que les prévisions et les résultats escomptés. On laisse également croire que la réduction des taux d'intérêt américains dont la décision a été prise, mardi dernier, par la Réserve fédérale américaine (Fed) a pour but essentiel de booster la demande en pétrole. Mais, un autre facteur est aussi à l'origine de la hausse du baril du pétrole, à savoir l'énorme incendie qui s'est déclaré sur le toit du complexe nucléaire de Kashiwazai-Kariwa (Japon). Les cours du baril de pétrole brut ont atteint un record historique jeudi dernier à New York et Londres probablement en raison des graves risques découlant de la saison des cyclones et des tempêtes tropicales particulièrement dévastatrices pour les populations de la région du Golfe du Mexique. En effet, le baril de «light sweet crude» pour livraison en octobre valait 84,10 dollars, il y a deux jours sur le marché de New York, tandis que sur l'Intercontinental Exchange de Londres le baril du Brent de la mer du Nord pour livraison en novembre a atteint 79,28 dollars. Ce seuil est également considéré comme un seuil historique, sachant que son précédent record historique remonte au 7 août 2006 et était de l'ordre de 78,64 dollars. En dépit de l'augmentation du niveau de production de l'organisation des pays exportateurs de pétrole (OPEP) de 500 000 barils par jour, la tension persiste donc sur le marché pétrolier international. L'une des raisons principales de l'envolée du prix du baril sur le New York Mercantile Exchange (Nymex) réside dans l'arrêt de la production dans le Golfe du Mexique où 27 % du volume d'extraction de l'Or noir était encore bloqués, soit approximativement 360 000 barils par jour de manque par rapport au niveau habituel de production. Ainsi, l'agence gouvernementale américaine Minerals Management Services a annoncé que cinq plates-formes pétrolières et trois derricks ont fait l'objet d'une évacuation à cause de leur positionnement sur la trajectoire probable d'une tempête tropicale. Par ailleurs, dans un souci de préservation de ses installations et de ses raffineries, cette agence a affirmé que 16,7 % de la production de gaz naturel était également provisoirement à l'arrêt. Selon des analystes, ces mesures draconiennes de la baisse du niveau de production ont pour objectif essentiel de ralentir la montée vertigineuse des cours du baril et d'assurer une protection contre les ravages des tempêtes tropicales. Aussi, les autorités américaines craignent, par ailleurs, l'épuisement partiel de leurs réserves pétrolières susceptibles de devenir insuffisantes durant les trois prochains mois, sachant que la demande de produits domestiques et industriels de chauffage atteindra inéluctablement son niveau le plus élevé à cette période de l'année. Alors que le baril valait encore 83,60 dollars à New York, le marché pétrolier avait fait des spéculations sur un nouvel allègement monétaire aux Etats-Unis de façon à appuyer la demande de pétrole. Par ailleurs, le département américain de l'Energie a fait savoir, mercredi, un recul de 3,8 millions de barils des stocks de pétrole brut aux Etats-Unis. C'est-à-dire deux fois plus que les prévisions et les résultats escomptés. On laisse également croire que la réduction des taux d'intérêt américains dont la décision a été prise, mardi dernier, par la Réserve fédérale américaine (Fed) a pour but essentiel de booster la demande en pétrole. Mais, un autre facteur est aussi à l'origine de la hausse du baril du pétrole, à savoir l'énorme incendie qui s'est déclaré sur le toit du complexe nucléaire de Kashiwazai-Kariwa (Japon).