L'Espagnol Oscar Pereiro est le vainqueur du Tour de France 2006 après la décision des autorités américaines de sanctionner Floyd Landis pour dopage, a-t-on appris jeudi soir auprès de l'Union cycliste internationale (UCI). "On peut déclarer dès maintenant Pereiro vainqueur sans attendre un éventuel appel de Landis devant le Tribunal arbitral du sport (TAS)", a déclaré le président de l'UCI, l'Irlandais Pat McQuaid. Pereiro (Caisse d'Epargne) a terminé le Tour 2006 à la deuxième place, 57 secondes derrière Landis. Mais l'Américain a été convaincu de dopage après son succès dans la 17e étape à Morzine (Haute-Savoie), à trois jours de l'arrivée. "Maintenant, justice est faite", a ajouté Pat McQuaid en soulignant que "depuis quinze mois, le système a été beaucoup attaqué par les avocats de Landis qui sont allés dans les moindres détails pour trouver la faille". "Le système antidopage fonctionne et pour l'UCI et pour le cyclisme, c'est un bon résultat même si, bien sûr, on regrette toujours un contrôle positif. Mais c'est aussi la preuve que, lorsqu'un coureur fait des bêtises, peu importe qu'il soit le maillot jaune ou la lanterne rouge", a relevé le président de l'UCI. L'Espagnol Oscar Pereiro est le vainqueur du Tour de France 2006 après la décision des autorités américaines de sanctionner Floyd Landis pour dopage, a-t-on appris jeudi soir auprès de l'Union cycliste internationale (UCI). "On peut déclarer dès maintenant Pereiro vainqueur sans attendre un éventuel appel de Landis devant le Tribunal arbitral du sport (TAS)", a déclaré le président de l'UCI, l'Irlandais Pat McQuaid. Pereiro (Caisse d'Epargne) a terminé le Tour 2006 à la deuxième place, 57 secondes derrière Landis. Mais l'Américain a été convaincu de dopage après son succès dans la 17e étape à Morzine (Haute-Savoie), à trois jours de l'arrivée. "Maintenant, justice est faite", a ajouté Pat McQuaid en soulignant que "depuis quinze mois, le système a été beaucoup attaqué par les avocats de Landis qui sont allés dans les moindres détails pour trouver la faille". "Le système antidopage fonctionne et pour l'UCI et pour le cyclisme, c'est un bon résultat même si, bien sûr, on regrette toujours un contrôle positif. Mais c'est aussi la preuve que, lorsqu'un coureur fait des bêtises, peu importe qu'il soit le maillot jaune ou la lanterne rouge", a relevé le président de l'UCI.