Plus d'une année après son installation pour assurer la gestion déléguée de l'eau et de l'assainissement dans la capitale, la Société des eaux et de l'assainissement d'Alger (SEAAL) renforce de plus en plus ses activités. En effet, cette société créée par la fusion de l'Algérienne des eaux (ADE), l'Office national de l'assainissement (ONA) et la société française Suez Environnement, compte effectuer l'assainissement de 32 km du réseau des eaux usées de la capitale, estime Mohamed Redha Boudane, responsable du département des grands projets de cette société. Ce dernier souligne que cette opération de renouvellement des conduites d'un réseau global de 3.500 km, a été entamée il y a six mois, avec la réalisation effective de 10 km auparavant dégradés, a souligné ce même cadre de la SEAAL, dont la déclaration est reprise par l'APS. Et d'indiquer que le programme global du plan que prévoit de renouveler la SEAAL s'étale sur 82 km pour les trois années à venir, sans omettre de souligner que le remplacement des conduites des eaux usées constitue "une opération difficile", nécessitant de grands moyens et "un grand souffle", eu égard à la situation "catastrophique" du réseau d'assainissement dans certaines communes de la wilaya d'Alger. Le manque d'entretien et l'absence de civisme se sont accumulés des années durant, faisant de la capitale un dépotoir à ciel ouvert, où des odeurs nauséabondes émanent de partout et des conduites d'assainissement des eaux usées éclatées débordent dans plusieurs quartiers et cités. D'où la nécessité de réaliser des études "pointues" à même de donner une idée précise de la situation du réseau d'assainissement et une coordination étroite avec toutes les parties concernées, a-t-il précisé dans ce contexte. Le responsable du département des grands projets de la SEAAL a abordé le cas des communes qui connaissent à longueur d'année des contraintes dans leurs réseaux d'assainissement, particulièrement celles de Dergana, Gué de Constantine, Husseïn-Dey, Baraki, El-Harrach, Bach Djerrah, Baba Hassan, Ben Aknoun, Heuraoua et Rouïba. Ces problèmes proviennent de l'accumulation des déchets et ordures dont 70% sont la cause de l'obstruction des conduites d'assainissement, a-t-il souligné. Pour parer à d'éventuelles difficultés qui pourraient surgir à travers le réseau d'assainissement durant la période hivernale, la direction de la SEAAL a tracé un programme "spécial" afin d'entretenir les conduites au niveau des "points noirs" qui font l'objet d'une surveillance des équipes de la société, à l'effet d'éviter les risques d'inondation des voies de circulation. Cette surveillance concerne notamment l'avenue du Colonel Mira à Bab El Oued, l'avenue de l'ALN et la rue Tripoli à Hussein Dey et la zone portuaire d'Alger, a relevé Boudane qui souligne que les équipes de la SEAAL "surveillent" la station de Bab Ezzouar dont le rôle de transfert des eaux pluviales et usées vers Oued S'mar et la station de Baraki est important, d'où sa sécurisation à travers son équipement de pompes supplémentaires d'une capacité de 1.100 mètres cubes par jour. Pour se faire, SEAAL a réceptionné de nouveaux équipements, dont 16 pompes modernes qui contribueront efficacement dans les opérations d'assainissement attendues durant l'hiver, indique-t-il. Plus d'une année après son installation pour assurer la gestion déléguée de l'eau et de l'assainissement dans la capitale, la Société des eaux et de l'assainissement d'Alger (SEAAL) renforce de plus en plus ses activités. En effet, cette société créée par la fusion de l'Algérienne des eaux (ADE), l'Office national de l'assainissement (ONA) et la société française Suez Environnement, compte effectuer l'assainissement de 32 km du réseau des eaux usées de la capitale, estime Mohamed Redha Boudane, responsable du département des grands projets de cette société. Ce dernier souligne que cette opération de renouvellement des conduites d'un réseau global de 3.500 km, a été entamée il y a six mois, avec la réalisation effective de 10 km auparavant dégradés, a souligné ce même cadre de la SEAAL, dont la déclaration est reprise par l'APS. Et d'indiquer que le programme global du plan que prévoit de renouveler la SEAAL s'étale sur 82 km pour les trois années à venir, sans omettre de souligner que le remplacement des conduites des eaux usées constitue "une opération difficile", nécessitant de grands moyens et "un grand souffle", eu égard à la situation "catastrophique" du réseau d'assainissement dans certaines communes de la wilaya d'Alger. Le manque d'entretien et l'absence de civisme se sont accumulés des années durant, faisant de la capitale un dépotoir à ciel ouvert, où des odeurs nauséabondes émanent de partout et des conduites d'assainissement des eaux usées éclatées débordent dans plusieurs quartiers et cités. D'où la nécessité de réaliser des études "pointues" à même de donner une idée précise de la situation du réseau d'assainissement et une coordination étroite avec toutes les parties concernées, a-t-il précisé dans ce contexte. Le responsable du département des grands projets de la SEAAL a abordé le cas des communes qui connaissent à longueur d'année des contraintes dans leurs réseaux d'assainissement, particulièrement celles de Dergana, Gué de Constantine, Husseïn-Dey, Baraki, El-Harrach, Bach Djerrah, Baba Hassan, Ben Aknoun, Heuraoua et Rouïba. Ces problèmes proviennent de l'accumulation des déchets et ordures dont 70% sont la cause de l'obstruction des conduites d'assainissement, a-t-il souligné. Pour parer à d'éventuelles difficultés qui pourraient surgir à travers le réseau d'assainissement durant la période hivernale, la direction de la SEAAL a tracé un programme "spécial" afin d'entretenir les conduites au niveau des "points noirs" qui font l'objet d'une surveillance des équipes de la société, à l'effet d'éviter les risques d'inondation des voies de circulation. Cette surveillance concerne notamment l'avenue du Colonel Mira à Bab El Oued, l'avenue de l'ALN et la rue Tripoli à Hussein Dey et la zone portuaire d'Alger, a relevé Boudane qui souligne que les équipes de la SEAAL "surveillent" la station de Bab Ezzouar dont le rôle de transfert des eaux pluviales et usées vers Oued S'mar et la station de Baraki est important, d'où sa sécurisation à travers son équipement de pompes supplémentaires d'une capacité de 1.100 mètres cubes par jour. Pour se faire, SEAAL a réceptionné de nouveaux équipements, dont 16 pompes modernes qui contribueront efficacement dans les opérations d'assainissement attendues durant l'hiver, indique-t-il.