Le rideau est tombé vendredi au théâtre régional Azzedine-Medjoubi de Annaba sur la deuxième édition du Festival national de la musique et de la chanson citadines. Lors de la cérémonie de clôture de ce festival, le chanteur de malouf Ayachi Dib a été honoré en guise de reconnaissance à ses œuvres et à sa contribution dans la promotion de la culture en général et de la musique en particulier. Fort apprécié des Maloufjis, cet artiste, qui a fait ses débuts dans ce genre musical dans les années soixante, va suivre durant sa carrière professionnelle les styles propres aux chanteurs Hassan El Annabi et El Hadj Mohamed Fergani. La neuvième et dernière soirée programmée lors de ce festival a été animée par l'association culturelle Ahbab Cheikh Larbi Bensari de Tlemcen et par la diva du hawzi Seloua qui a renoué avec le public de Annaba après une éclipse de plusieurs années. L'association Ahbab Cheikh Larbi Bensari qui a décroché le premier prix du festival national du Hawzi à Tlemcen, a présenté des morceaux de musique andalou qui ont charmé un public venu nombreux au théâtre régional Azzedine-Medjoubi. La diva du Hawzi a, quant à elle, séduit par sa voix ensorcelante et doucereuse l'assistance qui lui répondait par des ovations nourries et des youyous dans une ambiance conviviale. La cérémonie de clôture de ce festival a été également agrémentée par des intermèdes animés par le jeune humoriste Abdessatar Benhadid qui n'a pas laissé le public indifférent. Plusieurs ensembles musicaux et chanteurs professionnels représentant les écoles des modes "Hawzi", "Chaabi" et "Malouf" se sont produits lors de ce festival organisé du 20 au 28 septembre passé, relève-t-on. Faisant une première évaluation de ce festival, le directeur de la culture, M. Driss Boudhiba, a estimé que "cette manifestation a été une grande réussite, et a apporté un plus à l'animation des nuits de Ramadan". Elle a permis également aux ensembles musicaux et aux chanteurs des diverses régions du pays de mettre en exergue le riche patrimoine musical algérien, a-t-il souligné. Le rideau est tombé vendredi au théâtre régional Azzedine-Medjoubi de Annaba sur la deuxième édition du Festival national de la musique et de la chanson citadines. Lors de la cérémonie de clôture de ce festival, le chanteur de malouf Ayachi Dib a été honoré en guise de reconnaissance à ses œuvres et à sa contribution dans la promotion de la culture en général et de la musique en particulier. Fort apprécié des Maloufjis, cet artiste, qui a fait ses débuts dans ce genre musical dans les années soixante, va suivre durant sa carrière professionnelle les styles propres aux chanteurs Hassan El Annabi et El Hadj Mohamed Fergani. La neuvième et dernière soirée programmée lors de ce festival a été animée par l'association culturelle Ahbab Cheikh Larbi Bensari de Tlemcen et par la diva du hawzi Seloua qui a renoué avec le public de Annaba après une éclipse de plusieurs années. L'association Ahbab Cheikh Larbi Bensari qui a décroché le premier prix du festival national du Hawzi à Tlemcen, a présenté des morceaux de musique andalou qui ont charmé un public venu nombreux au théâtre régional Azzedine-Medjoubi. La diva du Hawzi a, quant à elle, séduit par sa voix ensorcelante et doucereuse l'assistance qui lui répondait par des ovations nourries et des youyous dans une ambiance conviviale. La cérémonie de clôture de ce festival a été également agrémentée par des intermèdes animés par le jeune humoriste Abdessatar Benhadid qui n'a pas laissé le public indifférent. Plusieurs ensembles musicaux et chanteurs professionnels représentant les écoles des modes "Hawzi", "Chaabi" et "Malouf" se sont produits lors de ce festival organisé du 20 au 28 septembre passé, relève-t-on. Faisant une première évaluation de ce festival, le directeur de la culture, M. Driss Boudhiba, a estimé que "cette manifestation a été une grande réussite, et a apporté un plus à l'animation des nuits de Ramadan". Elle a permis également aux ensembles musicaux et aux chanteurs des diverses régions du pays de mettre en exergue le riche patrimoine musical algérien, a-t-il souligné.