Selon le dictionnaire Larousse, la politesse se définit comme "un ensemble de règles et d'usages qui déterminent le comportement dans un groupe social et qu'il convient de respecter". Selon le dictionnaire Larousse, la politesse se définit comme "un ensemble de règles et d'usages qui déterminent le comportement dans un groupe social et qu'il convient de respecter". Dans la mesure où un grand nombre de ces règles sont observées cela confère au raffinement et à la noblesse de conduite. La politesse s'oppose à la grossièreté, c'est-à-dire à l'indélicatesse. L'homme étant un être social, il lui faut dès lors respecter un minimum de conventions collectivement admises pour assurer l'équilibre et l'harmonie du groupe sous peine de créer des tensions en son sein. Aussi, voici quelques codes qui dictent les comportements de tout un chacun dans la vie en société. Ces règles forment ce que l'on appelle la politesse, le savoir-vivre ou encore les bonnes manières. Ces codes ou règles définissent également ce qui est attendu, permis ou interdit dans certaines situations et énoncent les devoirs et obligations de tout individu envers son entourage (parents, amis, hiérarchie). La plus ou moins grande observance de ces codes permet de situer l'individu par rapport à la norme. Il sera alors gentleman ou goujat dans le cas contraire. Nous remarquerons qu'au sens étymologique le mot gentelman dérive du mot gentil qui dans son acception première veut dire qui a des dispositions à être agréable, attentionné ou obligeant. Ceci étant, voici donc, sans être bien entendu exhaustif, quelques règles de bonne conduite dans la vie de tous les jours : - cracher dans la rue est absolument interdit puisque cela est contraire à un minimum d'hygiène - Ne pas jeter ses ordures n'importe quand, n'importe comment et n'importe où (encore moins par la fenêtre). - Ne pas déposer ses gravats n'importe où, en bordure de l'autoroute par exemple. Qui peut le plus peut le moins. - Si on a de l'argent pour construire on en a forcément pour payer l'évacuation de ses gravats dans les endroits prévus à cet effet afin de ne pas nuire à l'environnement (il ne faut pas partir du mauvais principe "après moi c'est le déluge"). - Dans un transport public, il faut céder sa place aux personnes âgées, à la femme enceinte de sucroît ou tenant son enfant dans les bras. Dans une file d'attente, il faut faire la queue comme tout le monde et attendre patiemment son tour. - Lorsqu'arrive son tour il est d'usage de saluer son vis-à-vis et les personnes qui l'entourent éventuellement. En français et dans la conversation, le vouvoiement est obligatoire lorsque les persones se connaissent de fraîche date, d'une grande différence d'âge ou dans les relations hiérarchiques (sauf si la personne envers laquelle s'impose le vouvoiement prend l'initiative ou décide de tutoyer et même dans ce cas, la réciproque n'est pas permise automatiquement sauf s'il est autorisé ; ainsi l'enseignant peut tutoyer son élève la réciproque n'est pas vérifiée pour autant, car le vouvoiement témoigne du respect) - Enfin, lorsqu'on est invité à une soirée ou à un dîner, il est nécessaire d'observer l'usage suivant : se présenter 10 à 15 minutes apèrs l'heure fixée car arriver plus tôt serait arriver trop tôt et gêner son hôte. Si l'on prévoit un vrai retard, une demi-heure par exemple, il faut avoir la politesse de prévenir par téléphone ; (le portable s'est fait aussi pour ça). - Pendant le dîner, on doit éviter les conversations qui fâchent lorqu'on a des divergences politiques ou de critiquer des professions ou des régions voire des pays, il se peut que l'un des invités appartient à ce milieu ; se confondre en excuses après coup ne sert à rien si ce n'est aggraver son cas, en disant par exemple "vous n'êtes pas comme les autres", ce qui serait affreux et hypocrite car non seulement on aura insulté son interlocuteur mais suprême offense c'est également lui refuser ou nier son identité. - Ne pas également rôter, ce qui est désagréable pour autrui, si cela arrive involontairement il y a lieu de s'en excuser immédiatement. Ne pas également monopoliser la discussion ou vouloir "briller" car vous passerez pour un pédant ou un parvenu car comme dit l'adage populaire : "la culture c'est comme la confiture moins on en a plus on en étale". - Il est important d'écouter ce qu'on nous dit en particulier les réponses aux questions que l'on a posées. En mangeant, il importe de garder sa serviette sur ses genoux et non autour du cou. - Le couteau et la cuillère seront disposés à droite de l'assiette alors que la fourchette sera à gauche. - Avant de parler, la précaution sera prise de s'essuyer d'abord les lèvres pour ne pas postillonner ce qui serait désagréable pour son vis-à-vis - évidemment, on ne parle pas la bouche pleine. - L'usage du cure-dents doit être proscrit en public - Au moment de partir, il est poli de saluer tout le monde et ses hôtes en particulier. - Nous terminerons par un paradoxe de la vie en société. Si dans la vie civile, la femme souffre d'un statut inférieur en privé, généralement, elle bénéficie d'un rang supérieur; - Ainsi, l'homme galant ouvrira la porte à une femme pour la laisser passer devant lui. - Dans la rue, il lui réservera le trottoir c'est-à-dire le "haut du pavé". - Il se chargera des bagages lourds dans une gare. - Enfin, dans un escalier en montant l'homme précèdera la femme et inversement en descendant, certainement pour la retenir si elle venait à trébucher. En fait, le code de bonne conduite est la résultante des valeurs morales de l'éthique nécessaires à la vie en société sinon c'est la jungle. Dans la mesure où un grand nombre de ces règles sont observées cela confère au raffinement et à la noblesse de conduite. La politesse s'oppose à la grossièreté, c'est-à-dire à l'indélicatesse. L'homme étant un être social, il lui faut dès lors respecter un minimum de conventions collectivement admises pour assurer l'équilibre et l'harmonie du groupe sous peine de créer des tensions en son sein. Aussi, voici quelques codes qui dictent les comportements de tout un chacun dans la vie en société. Ces règles forment ce que l'on appelle la politesse, le savoir-vivre ou encore les bonnes manières. Ces codes ou règles définissent également ce qui est attendu, permis ou interdit dans certaines situations et énoncent les devoirs et obligations de tout individu envers son entourage (parents, amis, hiérarchie). La plus ou moins grande observance de ces codes permet de situer l'individu par rapport à la norme. Il sera alors gentleman ou goujat dans le cas contraire. Nous remarquerons qu'au sens étymologique le mot gentelman dérive du mot gentil qui dans son acception première veut dire qui a des dispositions à être agréable, attentionné ou obligeant. Ceci étant, voici donc, sans être bien entendu exhaustif, quelques règles de bonne conduite dans la vie de tous les jours : - cracher dans la rue est absolument interdit puisque cela est contraire à un minimum d'hygiène - Ne pas jeter ses ordures n'importe quand, n'importe comment et n'importe où (encore moins par la fenêtre). - Ne pas déposer ses gravats n'importe où, en bordure de l'autoroute par exemple. Qui peut le plus peut le moins. - Si on a de l'argent pour construire on en a forcément pour payer l'évacuation de ses gravats dans les endroits prévus à cet effet afin de ne pas nuire à l'environnement (il ne faut pas partir du mauvais principe "après moi c'est le déluge"). - Dans un transport public, il faut céder sa place aux personnes âgées, à la femme enceinte de sucroît ou tenant son enfant dans les bras. Dans une file d'attente, il faut faire la queue comme tout le monde et attendre patiemment son tour. - Lorsqu'arrive son tour il est d'usage de saluer son vis-à-vis et les personnes qui l'entourent éventuellement. En français et dans la conversation, le vouvoiement est obligatoire lorsque les persones se connaissent de fraîche date, d'une grande différence d'âge ou dans les relations hiérarchiques (sauf si la personne envers laquelle s'impose le vouvoiement prend l'initiative ou décide de tutoyer et même dans ce cas, la réciproque n'est pas permise automatiquement sauf s'il est autorisé ; ainsi l'enseignant peut tutoyer son élève la réciproque n'est pas vérifiée pour autant, car le vouvoiement témoigne du respect) - Enfin, lorsqu'on est invité à une soirée ou à un dîner, il est nécessaire d'observer l'usage suivant : se présenter 10 à 15 minutes apèrs l'heure fixée car arriver plus tôt serait arriver trop tôt et gêner son hôte. Si l'on prévoit un vrai retard, une demi-heure par exemple, il faut avoir la politesse de prévenir par téléphone ; (le portable s'est fait aussi pour ça). - Pendant le dîner, on doit éviter les conversations qui fâchent lorqu'on a des divergences politiques ou de critiquer des professions ou des régions voire des pays, il se peut que l'un des invités appartient à ce milieu ; se confondre en excuses après coup ne sert à rien si ce n'est aggraver son cas, en disant par exemple "vous n'êtes pas comme les autres", ce qui serait affreux et hypocrite car non seulement on aura insulté son interlocuteur mais suprême offense c'est également lui refuser ou nier son identité. - Ne pas également rôter, ce qui est désagréable pour autrui, si cela arrive involontairement il y a lieu de s'en excuser immédiatement. Ne pas également monopoliser la discussion ou vouloir "briller" car vous passerez pour un pédant ou un parvenu car comme dit l'adage populaire : "la culture c'est comme la confiture moins on en a plus on en étale". - Il est important d'écouter ce qu'on nous dit en particulier les réponses aux questions que l'on a posées. En mangeant, il importe de garder sa serviette sur ses genoux et non autour du cou. - Le couteau et la cuillère seront disposés à droite de l'assiette alors que la fourchette sera à gauche. - Avant de parler, la précaution sera prise de s'essuyer d'abord les lèvres pour ne pas postillonner ce qui serait désagréable pour son vis-à-vis - évidemment, on ne parle pas la bouche pleine. - L'usage du cure-dents doit être proscrit en public - Au moment de partir, il est poli de saluer tout le monde et ses hôtes en particulier. - Nous terminerons par un paradoxe de la vie en société. Si dans la vie civile, la femme souffre d'un statut inférieur en privé, généralement, elle bénéficie d'un rang supérieur; - Ainsi, l'homme galant ouvrira la porte à une femme pour la laisser passer devant lui. - Dans la rue, il lui réservera le trottoir c'est-à-dire le "haut du pavé". - Il se chargera des bagages lourds dans une gare. - Enfin, dans un escalier en montant l'homme précèdera la femme et inversement en descendant, certainement pour la retenir si elle venait à trébucher. En fait, le code de bonne conduite est la résultante des valeurs morales de l'éthique nécessaires à la vie en société sinon c'est la jungle.