Déjà fortement encouragée par le succès du partenariat entre l'Algérie et Metal Steell, la communauté d'affaires indienne, entend élargir le champs de coopération à d'autres secteurs. Une mission économique du Conseil de la promotion de l'export de l'ingénierie indien est attendue à Alger du 17 au 20 novembre prochain, a-t-on appris, hier, auprès de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci). Cette visite s'inscrit dans le cadre des efforts déployés par les deux parties afin d'œuvrer pour un développement réel et effectif de la coopération entre l'Algérie et l'Inde sur le plan économique, notamment industriel et technique. A cet effet, une rencontre de mise en relation d'affaires regroupant les opérateurs économiques algériens et indiens sera organisée le 18 novembre à l'hôtel Sofitel. Une occasion pour les deux parties de faire connaître les différentes opportunités que représentent leurs marchés respectifs. Du côté algérien, l'importance du marché très prometteur réside dans ses besoins internes grandissants et sa recherche de possibilités réelles issues d'exportation de produits fabriqués localement, demandant ainsi une large coopération technique dans les domaines de la normalisation, le système qualité, la métrologie, la propriété intellectuelle et la gestion des zones industrielles. En Algérie, plusieurs opportunités restent à exploiter. De multiples branches d'activité demandent actuellement à être investies, notamment les industries pharmaceutiques, mécaniques, pétrochimiques, électroniques, logiciels où il existe d'importantes opportunités pour les investisseurs indiens suivant les diverses formules, à savoir, le partenariat, l'investissement direct dans de nouveaux projets, ou bien la participation à la privatisation totale ou partielle des entreprises publiques, comme c'est le cas concernant le partenariat dans la sidérurgie entre le groupe SIDER et le groupe METTAL STEEL, à capitaux indiens, qui détient 70% dans le complexe sidérurgique d'El Hadjar à Annaba. Par ailleurs, la délégation indienne est composée d'une quinzaine d'entreprises relevant de plusieurs secteurs d'activité, à savoir la pièce détachée pour automobiles, machines et matériaux agricoles les machines industrielles «climatiseurs et refroidisseurs à air» et autres produits d'ingénierie. Concernant les échanges commerciaux entre l'Algérie et l'Inde, il est important de signaler que ces derniers sont estimés à moins de 250 millions de dollars, un chiffre faible comparé aux potentialités exprimées par les deux pays. Ainsi, les exportations algériennes vers l'Inde sont estimées à 137 millions de dollars dont 123 millions de dollars sont issues des hydrocarbures. L'Algérie importe pour une valeur de 105 millions de dollars dont 42 millions de dollars de produits agroalimentaires et 36 millions de dollars de semi-produits destinés à la transformation. Déjà fortement encouragée par le succès du partenariat entre l'Algérie et Metal Steell, la communauté d'affaires indienne, entend élargir le champs de coopération à d'autres secteurs. Une mission économique du Conseil de la promotion de l'export de l'ingénierie indien est attendue à Alger du 17 au 20 novembre prochain, a-t-on appris, hier, auprès de la Chambre algérienne de commerce et d'industrie (Caci). Cette visite s'inscrit dans le cadre des efforts déployés par les deux parties afin d'œuvrer pour un développement réel et effectif de la coopération entre l'Algérie et l'Inde sur le plan économique, notamment industriel et technique. A cet effet, une rencontre de mise en relation d'affaires regroupant les opérateurs économiques algériens et indiens sera organisée le 18 novembre à l'hôtel Sofitel. Une occasion pour les deux parties de faire connaître les différentes opportunités que représentent leurs marchés respectifs. Du côté algérien, l'importance du marché très prometteur réside dans ses besoins internes grandissants et sa recherche de possibilités réelles issues d'exportation de produits fabriqués localement, demandant ainsi une large coopération technique dans les domaines de la normalisation, le système qualité, la métrologie, la propriété intellectuelle et la gestion des zones industrielles. En Algérie, plusieurs opportunités restent à exploiter. De multiples branches d'activité demandent actuellement à être investies, notamment les industries pharmaceutiques, mécaniques, pétrochimiques, électroniques, logiciels où il existe d'importantes opportunités pour les investisseurs indiens suivant les diverses formules, à savoir, le partenariat, l'investissement direct dans de nouveaux projets, ou bien la participation à la privatisation totale ou partielle des entreprises publiques, comme c'est le cas concernant le partenariat dans la sidérurgie entre le groupe SIDER et le groupe METTAL STEEL, à capitaux indiens, qui détient 70% dans le complexe sidérurgique d'El Hadjar à Annaba. Par ailleurs, la délégation indienne est composée d'une quinzaine d'entreprises relevant de plusieurs secteurs d'activité, à savoir la pièce détachée pour automobiles, machines et matériaux agricoles les machines industrielles «climatiseurs et refroidisseurs à air» et autres produits d'ingénierie. Concernant les échanges commerciaux entre l'Algérie et l'Inde, il est important de signaler que ces derniers sont estimés à moins de 250 millions de dollars, un chiffre faible comparé aux potentialités exprimées par les deux pays. Ainsi, les exportations algériennes vers l'Inde sont estimées à 137 millions de dollars dont 123 millions de dollars sont issues des hydrocarbures. L'Algérie importe pour une valeur de 105 millions de dollars dont 42 millions de dollars de produits agroalimentaires et 36 millions de dollars de semi-produits destinés à la transformation.