Le ministre du Commerce, Hachemi Djaâboub, rencontrera, lundi prochain au siège de l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex), les exportateurs algériens hors hydrocarbures où ils débattront des nouvelles dispositions applicables aux exportations hors hydrocarbures dont les revenus, en 2006, ont atteint 900 millions de dollars seulement, tandis que le pétrole et le gaz représentent 98 % des recettes totales des exportations. Il s'agit de déterminer les créneaux porteurs pour les opérateurs économiques algériens dans la perspective de l'adhésion de l'Algérie à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) prévue dans 2 ou 3 années, selon l'ancien ambassadeur de l'Union européenne à l'OMC, présent au récent séminaire sur l'industrie pharmaceutique. La production nationale étant sérieusement menacée de disparition si les ressources financières ne sont pas disponibles et ne sont pas soutenues par l'Etat, les entrepreneurs nationaux, publics et privés, cherchent désespérément les moyens de sauvegarder leur outil de production. Au moment où les pouvoirs publics encouragent les investissements directs étrangers (IDE) pour assurer la contribution au développement durable, certains responsables d'associations patronales, tels que Hamiani, chef du Forum des chefs d'entreprises, estiment que les IDE ne sont pas suffisants pour garantir la croissance et que les PME attendent impatiemment l'appui financier du gouvernement. Cependant, selon le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Hamid Temmar, l'Etat n'est pas en mesure de maintenir pendant longtemps en perfusion les entreprises défaillantes financièrement. Il appartient donc aux entreprises de prendre en charge leurs propres difficultés et d'assurer leur développement. Par ailleurs, le DG de l'Algex, Mohamed Bennini, a estimé que la concurrence et la compétitivité seront rudes pour nos entreprises qui auront à affronter les firmes étrangères après l'entrée de l'Algérie à l'OMC. Rappelons que l'Algex et l'Association générale des entrepreneurs algériens (Agea) ont signé, en septembre dernier, une convention visant la mise en place d'un cadre de coopération actif entre les deux partenaires. Le ministre du Commerce, Hachemi Djaâboub, rencontrera, lundi prochain au siège de l'Agence algérienne de promotion du commerce extérieur (Algex), les exportateurs algériens hors hydrocarbures où ils débattront des nouvelles dispositions applicables aux exportations hors hydrocarbures dont les revenus, en 2006, ont atteint 900 millions de dollars seulement, tandis que le pétrole et le gaz représentent 98 % des recettes totales des exportations. Il s'agit de déterminer les créneaux porteurs pour les opérateurs économiques algériens dans la perspective de l'adhésion de l'Algérie à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) prévue dans 2 ou 3 années, selon l'ancien ambassadeur de l'Union européenne à l'OMC, présent au récent séminaire sur l'industrie pharmaceutique. La production nationale étant sérieusement menacée de disparition si les ressources financières ne sont pas disponibles et ne sont pas soutenues par l'Etat, les entrepreneurs nationaux, publics et privés, cherchent désespérément les moyens de sauvegarder leur outil de production. Au moment où les pouvoirs publics encouragent les investissements directs étrangers (IDE) pour assurer la contribution au développement durable, certains responsables d'associations patronales, tels que Hamiani, chef du Forum des chefs d'entreprises, estiment que les IDE ne sont pas suffisants pour garantir la croissance et que les PME attendent impatiemment l'appui financier du gouvernement. Cependant, selon le ministre de l'Industrie et de la Promotion des investissements, Hamid Temmar, l'Etat n'est pas en mesure de maintenir pendant longtemps en perfusion les entreprises défaillantes financièrement. Il appartient donc aux entreprises de prendre en charge leurs propres difficultés et d'assurer leur développement. Par ailleurs, le DG de l'Algex, Mohamed Bennini, a estimé que la concurrence et la compétitivité seront rudes pour nos entreprises qui auront à affronter les firmes étrangères après l'entrée de l'Algérie à l'OMC. Rappelons que l'Algex et l'Association générale des entrepreneurs algériens (Agea) ont signé, en septembre dernier, une convention visant la mise en place d'un cadre de coopération actif entre les deux partenaires.