Dans certains milieux familiaux, la brutalité qui marque les échanges parent-enfant est l'unique manière qu'adoptent les parents pour faire régner le calme et pouvoir instaurer au sein même du foyer les règles de bonne conduite. Certains parents croyant bien faire, en infligeant quotidiennement à leur enfant une copieuse raclée sous prétexte de le corriger ignorent les répercussions sur le long terme d'une telle sorte de violence. La communication par la violence est à bannir au sein de toutes les institutions de la société et particulièrement au sein de la famille, première cellule dans laquelle l'enfant évolue et apprend la vie. La violence en milieu familial apparaît sous différent aspects : violences verbales, remarques désobligeantes qui rabaissent l'enfant, insultes, accès de colère débouchant sur l'usage de la violence physique. L'usage de la violence à l'égard de l'enfant ne lui permet pas de s'insérer à la société, au contraire il en fera de lui une personne violente, voire inadaptée social. Quand le dialogue cède place à la violence familiale, les échanges relationnels entre les membres de la famille seront fondés sur la crainte, la peur et non sur le respect mutuel, la compréhension et le dialogue. L'enfant n'est pas un objet qui n'assimile pas ce qui lui arrive. C'est un être vivant qui commence à comprendre ce qui se passe autour de lui, dès son jeune âge. Les échanges familiaux affectent profondément le comportement de l'enfant. Ainsi, un chérubin exposé sans cesse à la colère de ses parents pour un oui ou un non, violenté s'il n'accompli pas un devoir et rappeler sévèrement à l'ordre pour le moindre écart de conduite se sentira marginaliser par ses parents qui au lieu de lui expliquer son erreur le condamne rapidement. Comment se comporter avec ses enfants ? En les considérant dès, leur jeune âge, comme des êtres à part entière et pour qu'un enfant fasse la distinction entre le bien et le mal, il importe que les parents lui démontrer la limite entre les deux. Or, l'usage de la violence en milieu familial, signifie une profonde défaillance au niveau de la communication. Chaque parent doit, face à la bêtise de l'enfant, savoir contrôler sa colère. Faire comprendre à l'enfant sa gaffe vaut nettement mieux que le condamner à une punition qu'il ne comprend souvent pas. Les parents sont appelés aussi à comprendre que la sanction ne signifie pas la sévère répression, mais aussi la gratification par laquelle l'enfant assimilera qu'il n'est pas mauvais et que ces bêtises sont corrigibles. Apprendre à éduquer ses enfants à la non violence, telle est la tâche initiale qui incombe aux parents. Dans certains milieux familiaux, la brutalité qui marque les échanges parent-enfant est l'unique manière qu'adoptent les parents pour faire régner le calme et pouvoir instaurer au sein même du foyer les règles de bonne conduite. Certains parents croyant bien faire, en infligeant quotidiennement à leur enfant une copieuse raclée sous prétexte de le corriger ignorent les répercussions sur le long terme d'une telle sorte de violence. La communication par la violence est à bannir au sein de toutes les institutions de la société et particulièrement au sein de la famille, première cellule dans laquelle l'enfant évolue et apprend la vie. La violence en milieu familial apparaît sous différent aspects : violences verbales, remarques désobligeantes qui rabaissent l'enfant, insultes, accès de colère débouchant sur l'usage de la violence physique. L'usage de la violence à l'égard de l'enfant ne lui permet pas de s'insérer à la société, au contraire il en fera de lui une personne violente, voire inadaptée social. Quand le dialogue cède place à la violence familiale, les échanges relationnels entre les membres de la famille seront fondés sur la crainte, la peur et non sur le respect mutuel, la compréhension et le dialogue. L'enfant n'est pas un objet qui n'assimile pas ce qui lui arrive. C'est un être vivant qui commence à comprendre ce qui se passe autour de lui, dès son jeune âge. Les échanges familiaux affectent profondément le comportement de l'enfant. Ainsi, un chérubin exposé sans cesse à la colère de ses parents pour un oui ou un non, violenté s'il n'accompli pas un devoir et rappeler sévèrement à l'ordre pour le moindre écart de conduite se sentira marginaliser par ses parents qui au lieu de lui expliquer son erreur le condamne rapidement. Comment se comporter avec ses enfants ? En les considérant dès, leur jeune âge, comme des êtres à part entière et pour qu'un enfant fasse la distinction entre le bien et le mal, il importe que les parents lui démontrer la limite entre les deux. Or, l'usage de la violence en milieu familial, signifie une profonde défaillance au niveau de la communication. Chaque parent doit, face à la bêtise de l'enfant, savoir contrôler sa colère. Faire comprendre à l'enfant sa gaffe vaut nettement mieux que le condamner à une punition qu'il ne comprend souvent pas. Les parents sont appelés aussi à comprendre que la sanction ne signifie pas la sévère répression, mais aussi la gratification par laquelle l'enfant assimilera qu'il n'est pas mauvais et que ces bêtises sont corrigibles. Apprendre à éduquer ses enfants à la non violence, telle est la tâche initiale qui incombe aux parents.