La liste des violences contre les personnes est interminable avec toutes ses formes destructrices et largement nuisibles. Après la violence aussi bien physique que psychologique faite aux femmes, nous voilà face à celle infligée aux chérubins. Une forme grave et dévastatrice qui met en péril l'équilibre psychoaffectif, mental et physique des gosses. La liste des violences contre les personnes est interminable avec toutes ses formes destructrices et largement nuisibles. Après la violence aussi bien physique que psychologique faite aux femmes, nous voilà face à celle infligée aux chérubins. Une forme grave et dévastatrice qui met en péril l'équilibre psychoaffectif, mental et physique des gosses. Amira est une petite fille âgée de 8 ans qui, aujourd'hui, refuse de se nourrir, se replie sur elle-même, ne peut se mettre debout pour jouer comme les rejetons de son âge. Cet ange martyrisé par une maman insensible et violentée a été évacué dernièrement à l'hôpital où les médecins ont jugé son cas gravissime. La jeunette a refusé catégoriquement de se nourrir ou de faire ses besoins naturels pendant plus de trois jours, ce qui aurait pu causer sa mort. Pourquoi cette petite désirait-elle tant mettre fin à ses jours ? Que cachait l'élan d'autodestruction qui l'animait, la conduisant jusqu'à attenter à ses jours de cette manière ? Des questions auxquelles je ne trouvais pas de réponse. Frappée par le silence infâme de cette famille complice, j'ai dû chercher plus profondément l'origine du désespoir d'un enfant à l'aube de sa vie, d'une fleur fanée ? Harcelant les proches de questions, j'ai découvert l'accablante réalité, celle d'une enfant terrorisée, battue à mort par une mère irresponsable et maltraitée férocement. Ce qui m'a le plus révoltée, c'est le silence complice des membres de la famille qui considéraient l'attitude de la mère à l'égard d'un enfant jugé extrêmement turbulent et insupportable, une conduite tout à fait naturelle, voire légitime. Depuis quand les parents se donnent-ils le droit de brutaliser leur progéniture juste parce qu'ils ont besoin de calme à la maison sous prétexte que les chérubins, constamment exaltés, semaient le trouble dans le foyer ? Malheureusement, des parents comme ceux-là existent et des enfants victimes de violence parentale continuent à subir en silence des sévices insoutenables. Tout comme Amira qui se décrit actuellement comme une môme mutique, triste et peu dynamique, à cause des coups et de la violence que lui inflige sa mère qui croit, de cette manière, la corriger. Cet enfant est à présent incapable d'achever une phrase et se contente tout juste d'observer le monde avec ses grands yeux innocents, certainement pour ne pas attirer la colère de sa maman. Le regard de cet ange aux yeux de velours nous apprend tant sur l'injustice qu'elle endure au quotidien. Impuissante face à une mère indigne, car c'est vraiment le mot juste, Amira a choisi de se réfugier dans le silence, de cesser de jouer et de sauter partout afin d'accorder à sa mère la paix. Une paix qui a valu à cette jeunette un traumatisme indélébile que personne ne pourra effacer. Amira est une enfant parmi des milliers pour ne pas dire plus, qui sont constamment aux prises avec la violence que leur inflige leurs parents où tuteurs. Mais, face au supplice mutique de cette frange vulnérable, comment devrions-nous réagir ? Prenons-nous réellement la peine de défendre concrètement ces enfants persécutés ? Certainement non. Les chiffres sur la violence faite aux enfants restent largement en deçà de la réalité, car dans notre culture, il subsiste encore cette conviction qu'ont certains parents que leurs gosses sont leur propriété et qu'ils sont libres de les traiter comme bon leur semble. Une conviction qui se propage pour donner lieu à des cas de violence et de complicité familiale, car les proches, à leur tour, refusent de dénoncer le parent violent, laissant ainsi l'enfant seul face à un cauchemar continu. Dans ce cas, on devrait parler de non-assistance à personne en danger. Action censée être pénalement sanctionnée. Ce qui n'est pas le cas dans notre contexte puisque certains parents se donnent encore le droit d'éduquer leurs enfants en usant de brutalité. Les enfants victimes de violence ont besoin de notre protection, mais comment ? Briser la loi du silence, responsable d'une grande partie de maux sociaux, est la première mesure à envisager et ce, par la sensibilisation de la société civile au risque des manifestations violentes sur le développement psychoaffectif de l'enfant et l'importance de dénoncer tout acte de violence émanant d'un parent contre l'enfant. La protection des mineurs par la mise en exécution de sévères peines répressives à l'encontre des parents violents servira certainement à décroître les ravages de ce fait sociétal inquiétant. Inculquer à la société civile les bases d'une éducation saine fondée sur la communication et l'écoute est entre autre disposition avantageuse afin de contrecarrer le phénomène de la violence qu'endurent les enfants. Pour la protection de nos jeunes, pour leur futur épanouissement nous devons tous réagir efficacement. Faire sortir la violence contre les enfants de l'ombre, rompre le silence et détruire le tabou sur un sujet aussi épineux, telle est notre tâche présente. Amira est une petite fille âgée de 8 ans qui, aujourd'hui, refuse de se nourrir, se replie sur elle-même, ne peut se mettre debout pour jouer comme les rejetons de son âge. Cet ange martyrisé par une maman insensible et violentée a été évacué dernièrement à l'hôpital où les médecins ont jugé son cas gravissime. La jeunette a refusé catégoriquement de se nourrir ou de faire ses besoins naturels pendant plus de trois jours, ce qui aurait pu causer sa mort. Pourquoi cette petite désirait-elle tant mettre fin à ses jours ? Que cachait l'élan d'autodestruction qui l'animait, la conduisant jusqu'à attenter à ses jours de cette manière ? Des questions auxquelles je ne trouvais pas de réponse. Frappée par le silence infâme de cette famille complice, j'ai dû chercher plus profondément l'origine du désespoir d'un enfant à l'aube de sa vie, d'une fleur fanée ? Harcelant les proches de questions, j'ai découvert l'accablante réalité, celle d'une enfant terrorisée, battue à mort par une mère irresponsable et maltraitée férocement. Ce qui m'a le plus révoltée, c'est le silence complice des membres de la famille qui considéraient l'attitude de la mère à l'égard d'un enfant jugé extrêmement turbulent et insupportable, une conduite tout à fait naturelle, voire légitime. Depuis quand les parents se donnent-ils le droit de brutaliser leur progéniture juste parce qu'ils ont besoin de calme à la maison sous prétexte que les chérubins, constamment exaltés, semaient le trouble dans le foyer ? Malheureusement, des parents comme ceux-là existent et des enfants victimes de violence parentale continuent à subir en silence des sévices insoutenables. Tout comme Amira qui se décrit actuellement comme une môme mutique, triste et peu dynamique, à cause des coups et de la violence que lui inflige sa mère qui croit, de cette manière, la corriger. Cet enfant est à présent incapable d'achever une phrase et se contente tout juste d'observer le monde avec ses grands yeux innocents, certainement pour ne pas attirer la colère de sa maman. Le regard de cet ange aux yeux de velours nous apprend tant sur l'injustice qu'elle endure au quotidien. Impuissante face à une mère indigne, car c'est vraiment le mot juste, Amira a choisi de se réfugier dans le silence, de cesser de jouer et de sauter partout afin d'accorder à sa mère la paix. Une paix qui a valu à cette jeunette un traumatisme indélébile que personne ne pourra effacer. Amira est une enfant parmi des milliers pour ne pas dire plus, qui sont constamment aux prises avec la violence que leur inflige leurs parents où tuteurs. Mais, face au supplice mutique de cette frange vulnérable, comment devrions-nous réagir ? Prenons-nous réellement la peine de défendre concrètement ces enfants persécutés ? Certainement non. Les chiffres sur la violence faite aux enfants restent largement en deçà de la réalité, car dans notre culture, il subsiste encore cette conviction qu'ont certains parents que leurs gosses sont leur propriété et qu'ils sont libres de les traiter comme bon leur semble. Une conviction qui se propage pour donner lieu à des cas de violence et de complicité familiale, car les proches, à leur tour, refusent de dénoncer le parent violent, laissant ainsi l'enfant seul face à un cauchemar continu. Dans ce cas, on devrait parler de non-assistance à personne en danger. Action censée être pénalement sanctionnée. Ce qui n'est pas le cas dans notre contexte puisque certains parents se donnent encore le droit d'éduquer leurs enfants en usant de brutalité. Les enfants victimes de violence ont besoin de notre protection, mais comment ? Briser la loi du silence, responsable d'une grande partie de maux sociaux, est la première mesure à envisager et ce, par la sensibilisation de la société civile au risque des manifestations violentes sur le développement psychoaffectif de l'enfant et l'importance de dénoncer tout acte de violence émanant d'un parent contre l'enfant. La protection des mineurs par la mise en exécution de sévères peines répressives à l'encontre des parents violents servira certainement à décroître les ravages de ce fait sociétal inquiétant. Inculquer à la société civile les bases d'une éducation saine fondée sur la communication et l'écoute est entre autre disposition avantageuse afin de contrecarrer le phénomène de la violence qu'endurent les enfants. Pour la protection de nos jeunes, pour leur futur épanouissement nous devons tous réagir efficacement. Faire sortir la violence contre les enfants de l'ombre, rompre le silence et détruire le tabou sur un sujet aussi épineux, telle est notre tâche présente.