Le festival du film court a atteint, hier, sa vitesse de croisière. Dans la section compétition, deux séances sont quotidiennement programmées. Chaque séance voit la diffusion de quatre courts métrages. La soirée est, quant à elle, consacrée aux films à l'affiche dans la section panorama international. Les films projetés dans cette section sont des œuvres de jeunes réalisateurs étrangers et mêmes nationaux, présentées dans d'autres festivals internationaux et projetées à ce Taghit d'or du film court en hors compétition. Mardi, premier jour des compétitions, huit films étaient au programme. «Demain se lèvera le soleil» du jeune cinéaste Omar Chouchene a été le premier film projeté dans ce cadre. Œuvre qui a été suivie de «Parcours d'enfant» de Boubekeur Slimane, «Mort avant la mort» de Touati Ahcène et «Balloon» de Adelkader Issad, ceci pour la séance du matin. L'après-midi de la même journée, c'était au tour de «Dakhla» de Ghezlane Charaf Eddine, «Walid» de Boudjender Athman, «Khti» de Koussim Yanis et «Obsession» de Mabeche Mokrane d'être présentés et débattus par leurs réalisateurs au niveau même de la kheima érigée, à cet effet, à la sortie sud de la ville. La soirée a été consacrée à la projection en hors compétition des films "Le chant de l'exil" de la Marocaine Rita El Kessar et " quand Chahrazad…" du Libanais Ramy Qadih ainsi qu'à une qaâda cinématographique qui a regroupé les participants à ces manifestations dans une des maisons du vieux ksar pour parler et débattre du rôle de la musique et de sa valeur dans le cinéma. La matinée d'hier a été, comme celle qui l'a précédée, consacrée à la projection de quatre films en compétition dans ce Taghit d'or à savoir "L'enfant" de Nassim Labri, "Peur virtuelle" de Ben Aissa Khaled, "La concorde mortelle" de Said Bellili et "Yiwen n niden" d'Ismail Messaoud. La deuxième séance de cette même journée a permis aux présents dans la kheima de profiter de la projection de "L'heure a sonné" de Belahcène Tayeb, "Babel" de Ben Aissa Khaled "Molotov" de Mehdi Boubakour et en dernier "Le quotidien des automates" de Rouai Salah Omar Abd Elghani. La soirée est consacrée à deux autres événements à savoir 'Yasmina" premier film de court métrage produit par l'Algérie en 1961 et réalisé par Mohamed Lakhdar Hamina. Rappelons que le film a déjà été projeté lors de l'ouverture de ce Taghit d'or du film court. Le second événement de la soirée est celui qui a porté à son affiche la qaâda cinématographique programmée sous le thème" Le cinéma entre le documentaire et la fiction". Le festival du film court a atteint, hier, sa vitesse de croisière. Dans la section compétition, deux séances sont quotidiennement programmées. Chaque séance voit la diffusion de quatre courts métrages. La soirée est, quant à elle, consacrée aux films à l'affiche dans la section panorama international. Les films projetés dans cette section sont des œuvres de jeunes réalisateurs étrangers et mêmes nationaux, présentées dans d'autres festivals internationaux et projetées à ce Taghit d'or du film court en hors compétition. Mardi, premier jour des compétitions, huit films étaient au programme. «Demain se lèvera le soleil» du jeune cinéaste Omar Chouchene a été le premier film projeté dans ce cadre. Œuvre qui a été suivie de «Parcours d'enfant» de Boubekeur Slimane, «Mort avant la mort» de Touati Ahcène et «Balloon» de Adelkader Issad, ceci pour la séance du matin. L'après-midi de la même journée, c'était au tour de «Dakhla» de Ghezlane Charaf Eddine, «Walid» de Boudjender Athman, «Khti» de Koussim Yanis et «Obsession» de Mabeche Mokrane d'être présentés et débattus par leurs réalisateurs au niveau même de la kheima érigée, à cet effet, à la sortie sud de la ville. La soirée a été consacrée à la projection en hors compétition des films "Le chant de l'exil" de la Marocaine Rita El Kessar et " quand Chahrazad…" du Libanais Ramy Qadih ainsi qu'à une qaâda cinématographique qui a regroupé les participants à ces manifestations dans une des maisons du vieux ksar pour parler et débattre du rôle de la musique et de sa valeur dans le cinéma. La matinée d'hier a été, comme celle qui l'a précédée, consacrée à la projection de quatre films en compétition dans ce Taghit d'or à savoir "L'enfant" de Nassim Labri, "Peur virtuelle" de Ben Aissa Khaled, "La concorde mortelle" de Said Bellili et "Yiwen n niden" d'Ismail Messaoud. La deuxième séance de cette même journée a permis aux présents dans la kheima de profiter de la projection de "L'heure a sonné" de Belahcène Tayeb, "Babel" de Ben Aissa Khaled "Molotov" de Mehdi Boubakour et en dernier "Le quotidien des automates" de Rouai Salah Omar Abd Elghani. La soirée est consacrée à deux autres événements à savoir 'Yasmina" premier film de court métrage produit par l'Algérie en 1961 et réalisé par Mohamed Lakhdar Hamina. Rappelons que le film a déjà été projeté lors de l'ouverture de ce Taghit d'or du film court. Le second événement de la soirée est celui qui a porté à son affiche la qaâda cinématographique programmée sous le thème" Le cinéma entre le documentaire et la fiction".