Moussa Touati, président du Front national algérien (FNA), a appelé, jeudi dernier, depuis Ain Temouchent, «au vote massif pour le changement». Dans un meeting animé dans le cadre de la campagne électorale pour les élections locales du 29 novembre, le premier responsable de FNA a mis en garde contre la rupture qui, selon lui, «n'est pas une alternative valable». A cet effet, il s'est déclaré convaincu que «le changement apportera la justice et l'équité au peuple». Le changement, selon lui, permettra, également d'assurer un contrôle du pouvoir et d'assumer la souveraineté sur les richesses du pays. «Le FNA, a-t-il poursuivi, veut prouver qu'il est possible de concrétiser ce changement, en comptant notamment sur les femmes, qui, ajoute-t-il, jouent un rôle essentiel dans la société. Pour Moussa Touati, la solution ne peut venir que par l'exercice du droit de vote de tous les citoyens. Et de préciser que le boycott du scrutin ne peut servir que ceux qui pensent que le peuple n'est pas en mesure d'assumer ses responsabilités. Il a exhorté, à cet égard, les électeurs à aller voter le 29 novembre, en soulignant qu'il reste convaincu que l'abstention enregistrée aux dernières élections législatives, «se transformera cette fois-ci en une participation élevée». A la fin, il a rappelé que le FNA a demandé la suppression de la commission de surveillance des élections et son remplacement par «des mécanismes juridiques». Le patron du FNA s'est prononcé pour la défense d'un Etat de droit qui préserve les libertés de chacun. A Oran, sa seconde étape de la journée, le leader du FNA a affirmé que le prochain rendez-vous électoral donnera, «par la force de l'urne, le ton au changement auquel aspire le peuple». Lors de son meeting, Touati a consacré une large partie de son discours à l'importance du prochain scrutin, tout en mettant en garde contre «les effets néfastes du boycott et de la politique de rupture. La rupture n'a rien donné, bien au contraire, les choses sont restées en l'état, alors que pour parvenir au changement, il n'y a qu'une seule voie, celle du vote dont émaneront des élus honnêtes et patriotes», a-t-il expliqué. A ce sujet, le président du FNA a invité l'assistance à saisir l'opportunité du vote. Outre la conjoncture socio-économique qui ne correspond pas aux potentialités du pays, Touati a évoqué les conditions de vie de la jeunesse. Le phénomène de l'émigration clandestine, la fuite des capitaux, l'indépendance du magistrat, l'érosion du pouvoir d'achat, ont été les sujets longuement développés par Moussa Touati. Moussa Touati, président du Front national algérien (FNA), a appelé, jeudi dernier, depuis Ain Temouchent, «au vote massif pour le changement». Dans un meeting animé dans le cadre de la campagne électorale pour les élections locales du 29 novembre, le premier responsable de FNA a mis en garde contre la rupture qui, selon lui, «n'est pas une alternative valable». A cet effet, il s'est déclaré convaincu que «le changement apportera la justice et l'équité au peuple». Le changement, selon lui, permettra, également d'assurer un contrôle du pouvoir et d'assumer la souveraineté sur les richesses du pays. «Le FNA, a-t-il poursuivi, veut prouver qu'il est possible de concrétiser ce changement, en comptant notamment sur les femmes, qui, ajoute-t-il, jouent un rôle essentiel dans la société. Pour Moussa Touati, la solution ne peut venir que par l'exercice du droit de vote de tous les citoyens. Et de préciser que le boycott du scrutin ne peut servir que ceux qui pensent que le peuple n'est pas en mesure d'assumer ses responsabilités. Il a exhorté, à cet égard, les électeurs à aller voter le 29 novembre, en soulignant qu'il reste convaincu que l'abstention enregistrée aux dernières élections législatives, «se transformera cette fois-ci en une participation élevée». A la fin, il a rappelé que le FNA a demandé la suppression de la commission de surveillance des élections et son remplacement par «des mécanismes juridiques». Le patron du FNA s'est prononcé pour la défense d'un Etat de droit qui préserve les libertés de chacun. A Oran, sa seconde étape de la journée, le leader du FNA a affirmé que le prochain rendez-vous électoral donnera, «par la force de l'urne, le ton au changement auquel aspire le peuple». Lors de son meeting, Touati a consacré une large partie de son discours à l'importance du prochain scrutin, tout en mettant en garde contre «les effets néfastes du boycott et de la politique de rupture. La rupture n'a rien donné, bien au contraire, les choses sont restées en l'état, alors que pour parvenir au changement, il n'y a qu'une seule voie, celle du vote dont émaneront des élus honnêtes et patriotes», a-t-il expliqué. A ce sujet, le président du FNA a invité l'assistance à saisir l'opportunité du vote. Outre la conjoncture socio-économique qui ne correspond pas aux potentialités du pays, Touati a évoqué les conditions de vie de la jeunesse. Le phénomène de l'émigration clandestine, la fuite des capitaux, l'indépendance du magistrat, l'érosion du pouvoir d'achat, ont été les sujets longuement développés par Moussa Touati.