Il est temps que les candidats à l'arrêt du tabac s'adressent à leur médecin. Pourquoi ? Parce que sans aide, très peu y parviennent. Quel est l'enjeu ? La vie tout simplement. Rien n'échappe au tabac Pas un organe n'échappe aux dégâts du tabac : maladies pulmonaires, cardiovasculaires, ORL, digestives, cancer du poumon, du rein, de la vessie, troubles sexuels, etc. Le décès d'un homme sur cinq est lié au tabac… alors que la mortalité par le tabagisme est la première cause de mort évitable. Même l'exposition passive est mortelle puisqu'elle augmente le risque d'infarctus de 30% ! des millions de personnes sont atteintes de bronchite chronique (bronchopneumopathie chronique obstructive) … Même les troubles de la sexualité ne semblent pas arrêter les fumeurs puisque 60 à 80 % des troubles de l'érection surviennent chez des fumeurs. En effet, le tabac n'affecte pas que l'arbre pulmonaire. Les artères et autres petites artérioles sont toutes aussi touchées. Il n'y a pas de petite consommation Avec le tabac il n'existe pas de seuil : plus on fume, plus les dangers sont grands. Ce qui signifie également que les risques apparaissent dès la première cigarette et même avec une consommation très faible. De la même façon, l'arrêt de l'intoxication s'accompagne d'améliorations quasi immédiates (odorat, risque cardiovasculaire…), même si le risque pulmonaire par exemple met plusieurs années avant de baisser significativement. Se faire aider pour arrêter de fumer Dans tous les cas, quels que soient l'intensité de la consommation tabagique, l'ancienneté et l'âge, l'arrêt du tabac sera bénéfique tout de suite et plus tard. Il existe différentes aides, comme les substituts nicotiniques, mais le rapport avec une personne physique et appartenant au milieu médical, comme un médecin traitant par exemple, permet de multiplier très fortement les chances de réussite. Le parcours restera long et semé d'embûches, mais le dialogue sera ouvert, la motivation bien évaluée et renforcée, la stratégie sera mieux organisée et balisée. Dans le cas de recours à des substituts nicotiniques, ils seront mieux utilisés et à des dosages bien personnalisés. A côté de l'aide médicale classique, les thérapies comportementales et cognitives se sont également révélées très efficaces. Cette possibilité est aussi à discuter avec son médecin, tout comme l'orientation vers un tabacologue. Si seuls 3% des candidats au sevrage réussissent en solo, le succès est quadruplé avec l'aide d'un médecin. Ca vaut le coup de s'investir et d'en parler avec lui. La consigne est de ne pas rester seul avec son tabac. Il est temps que les candidats à l'arrêt du tabac s'adressent à leur médecin. Pourquoi ? Parce que sans aide, très peu y parviennent. Quel est l'enjeu ? La vie tout simplement. Rien n'échappe au tabac Pas un organe n'échappe aux dégâts du tabac : maladies pulmonaires, cardiovasculaires, ORL, digestives, cancer du poumon, du rein, de la vessie, troubles sexuels, etc. Le décès d'un homme sur cinq est lié au tabac… alors que la mortalité par le tabagisme est la première cause de mort évitable. Même l'exposition passive est mortelle puisqu'elle augmente le risque d'infarctus de 30% ! des millions de personnes sont atteintes de bronchite chronique (bronchopneumopathie chronique obstructive) … Même les troubles de la sexualité ne semblent pas arrêter les fumeurs puisque 60 à 80 % des troubles de l'érection surviennent chez des fumeurs. En effet, le tabac n'affecte pas que l'arbre pulmonaire. Les artères et autres petites artérioles sont toutes aussi touchées. Il n'y a pas de petite consommation Avec le tabac il n'existe pas de seuil : plus on fume, plus les dangers sont grands. Ce qui signifie également que les risques apparaissent dès la première cigarette et même avec une consommation très faible. De la même façon, l'arrêt de l'intoxication s'accompagne d'améliorations quasi immédiates (odorat, risque cardiovasculaire…), même si le risque pulmonaire par exemple met plusieurs années avant de baisser significativement. Se faire aider pour arrêter de fumer Dans tous les cas, quels que soient l'intensité de la consommation tabagique, l'ancienneté et l'âge, l'arrêt du tabac sera bénéfique tout de suite et plus tard. Il existe différentes aides, comme les substituts nicotiniques, mais le rapport avec une personne physique et appartenant au milieu médical, comme un médecin traitant par exemple, permet de multiplier très fortement les chances de réussite. Le parcours restera long et semé d'embûches, mais le dialogue sera ouvert, la motivation bien évaluée et renforcée, la stratégie sera mieux organisée et balisée. Dans le cas de recours à des substituts nicotiniques, ils seront mieux utilisés et à des dosages bien personnalisés. A côté de l'aide médicale classique, les thérapies comportementales et cognitives se sont également révélées très efficaces. Cette possibilité est aussi à discuter avec son médecin, tout comme l'orientation vers un tabacologue. Si seuls 3% des candidats au sevrage réussissent en solo, le succès est quadruplé avec l'aide d'un médecin. Ca vaut le coup de s'investir et d'en parler avec lui. La consigne est de ne pas rester seul avec son tabac.