Bien que le taux se soit sensiblement amélioré par rapport à celui du 17 mai, les élections locales perdent de l'électorat comparativement à 2002. Bien que le taux se soit sensiblement amélioré par rapport à celui du 17 mai, les élections locales perdent de l'électorat comparativement à 2002. Le taux de participation national et global concernant le scrutin des élections locales est de 44,09 %, selon les résultats définitifs communiqués par le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, lors de sa traditionnelle conférence post-élections, tenue hier à Alger. Comparé à celui enregistré lors des élections législatives du 17 mai qui n'était que de 36,66 %, ce taux a sensiblement grimpé, d'où la satisfaction de Yazid Zerhouni qui estime que les conditions climatiques défavorables marquées par de fortes chutes de pluie sur plusieurs régions du territoire national, n'ont pas empêché les citoyens d'affluer vers les bureaux de vote pour exprimer leurs choix. Cependant, le taux enregistré lors de ces locales a substantiellement baissé par rapport aux mêmes élections de 2002, où le taux a dépassé les 48%. Donc, ce résultat, mi-figue mi-raisin, qui réconforte et les pouvoirs publics et les partis politiques, n'est pas pour autant satisfaisant, puisqu'il demeure en baisse comparativement à 2002. Les citoyens ne sont pas aussi nombreux, cinq ans après, à se diriger vers les bureaux de vote pour élire leurs représentants locaux. Une preuve de plus qui renseigne nettement sur le désintérêt des citoyens et ce sentiment de rejet exprimé à travers une abstention qui va grandissante. Certes, par rapport aux législatives, le taux s'est légèrement amélioré, mais la particularité des élections locales pour lesquelles les citoyens sont directement concernés, et la proximité de l'événement et des candidats vis-à-vis des populations, sont loin de refléter un engouement citoyen pour ces joutes électorales. «De meilleures conditions climatiques auraient permis un meilleur taux de participation», affirmait Nourdine-Yazid Zerhouni, lors de sa conférence, faisant l'éloge de la classe politique de cette petite amélioration, après lui avoir imputé le faible taux enregistré le 17 mai dernier. Pour le ministre de l'Intérieur, les partis ayant postulé pour ces élections locales ont su attirer l'attention des électeurs à travers la qualité et le niveau d'instruction de la composante de leurs listes de candidats. N'empêche, toutefois, que le taux reste faible, du moment que plus de dix millions d'Algériens en âge de voter ont boudé les urnes. Par ailleurs, si la Kabylie a renoué, quoique timidement, avec les élections, à cause de la participation des deux partis fortement ancrés dans la région, en l'occurrence le FFS et le RCD, la capitale elle, reste au bas de l'échelle, enregistrant le taux le plus faible sur le territoire national. En outre, les élections se sont déroulées dans «d'excellentes conditions», tel que signifié par le ministre, bien que quelques dépassements aient été signalés dans 15 bureaux de vote, sans pour autant affecter le déroulement des opérations de vote. Même constat chez plusieurs formations politiques, le FLN, Le MSP et le RCD entre autres, qui ont tenu à exprimer leur satisfaction quant au bon déroulement du scrutin. Le taux de participation national et global concernant le scrutin des élections locales est de 44,09 %, selon les résultats définitifs communiqués par le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, lors de sa traditionnelle conférence post-élections, tenue hier à Alger. Comparé à celui enregistré lors des élections législatives du 17 mai qui n'était que de 36,66 %, ce taux a sensiblement grimpé, d'où la satisfaction de Yazid Zerhouni qui estime que les conditions climatiques défavorables marquées par de fortes chutes de pluie sur plusieurs régions du territoire national, n'ont pas empêché les citoyens d'affluer vers les bureaux de vote pour exprimer leurs choix. Cependant, le taux enregistré lors de ces locales a substantiellement baissé par rapport aux mêmes élections de 2002, où le taux a dépassé les 48%. Donc, ce résultat, mi-figue mi-raisin, qui réconforte et les pouvoirs publics et les partis politiques, n'est pas pour autant satisfaisant, puisqu'il demeure en baisse comparativement à 2002. Les citoyens ne sont pas aussi nombreux, cinq ans après, à se diriger vers les bureaux de vote pour élire leurs représentants locaux. Une preuve de plus qui renseigne nettement sur le désintérêt des citoyens et ce sentiment de rejet exprimé à travers une abstention qui va grandissante. Certes, par rapport aux législatives, le taux s'est légèrement amélioré, mais la particularité des élections locales pour lesquelles les citoyens sont directement concernés, et la proximité de l'événement et des candidats vis-à-vis des populations, sont loin de refléter un engouement citoyen pour ces joutes électorales. «De meilleures conditions climatiques auraient permis un meilleur taux de participation», affirmait Nourdine-Yazid Zerhouni, lors de sa conférence, faisant l'éloge de la classe politique de cette petite amélioration, après lui avoir imputé le faible taux enregistré le 17 mai dernier. Pour le ministre de l'Intérieur, les partis ayant postulé pour ces élections locales ont su attirer l'attention des électeurs à travers la qualité et le niveau d'instruction de la composante de leurs listes de candidats. N'empêche, toutefois, que le taux reste faible, du moment que plus de dix millions d'Algériens en âge de voter ont boudé les urnes. Par ailleurs, si la Kabylie a renoué, quoique timidement, avec les élections, à cause de la participation des deux partis fortement ancrés dans la région, en l'occurrence le FFS et le RCD, la capitale elle, reste au bas de l'échelle, enregistrant le taux le plus faible sur le territoire national. En outre, les élections se sont déroulées dans «d'excellentes conditions», tel que signifié par le ministre, bien que quelques dépassements aient été signalés dans 15 bureaux de vote, sans pour autant affecter le déroulement des opérations de vote. Même constat chez plusieurs formations politiques, le FLN, Le MSP et le RCD entre autres, qui ont tenu à exprimer leur satisfaction quant au bon déroulement du scrutin.