Moussa Touati, président du Front national algérien a, vendredi dernier, attribué cette surprenante réussite au militantisme sans cesse grandissant de ses militants et ce, depuis sa création en 1999. «Nous avons réalisé un score positif, fruit d'un militantisme continu, depuis la création du parti en 1999 qui a trouvé sa vie au sein de la population, notamment parmi la jeunesse », devait affirmer le leader du FNA, lors de la conférence de presse qu'il a animée vendredi au centre de presse international (CIP) pour signifier les raisons de sa réussite à ce double scrutin. Sa philosophie et son discours politique, a-t-il indiqué « sont à l'origine des résultats majoritaires obtenus dans 145 communes » ajoutant que « Ce résultat est, aussi, le produit du discours politique du parti, tiré des fondements de l'appel du 1er Novembre 1954 et des valeurs de la Révolution algérienne ». Après avoir mis en relief l'un des principes de la démarche de son parti et de l'intérêt accordé aux jeunes et à leurs aspirations, Moussa Touati a lancé un message à « certaines voix quelques peu douteuses » en affirmant que « le FNA est un parti jeune, ambitieux et réformateur, qui œuvre à restituer au peuple son pouvoir ». Usant de franc-parler, comme à son accoutumé, le leader de ce parti qui, dorénavant, jouera un rôle prépondérant dans l'échiquier politique, n'a pas manqué de relever certains dépassements de l'administration lors du dépôt des listes des candidats du FNA et durant la campagne électorale. Dans ce contexte, il devait relever la position honorable du ministre de l'Intérieur lequel a « suggéré aux partis lésés de recourir à la justice pour faire valoir leurs droits ». Il releva également que son parti « attend le verdict de la justice, concernant les recours introduits » concernant certains autres dépassements enregistrés et qui ont, selon lui, « nécessité l'intervention des agents de sécurité pour remettre de l'ordre ». En obtenant ces résultats plus que surprenant, le FNA affirme sa position d'outsider en emboîtant le pas au FLN majoritaire et au RND en deuxième position, alors que les partis comme le PT, le RCD et le FFS ont connu un net recul. L'ascension fulgurante du FNA se caractérise par l'obtention de 277 sièges aux APW (12 en 2002), devançant de loin le Mouvement El Islah, qui a connu une chute libre, passant de 374 sièges à seulement 20 sièges. En terme de chiffres obtenus pour les APC, il est à rappeler que le parti du FLN, qui avait 4878 sièges aux APC, est descendu à 4.201 sièges, le FFS, qui disposait de 684 sièges n'en a obtenu que 566, alors que le FNA, qui n'avait en, 2002 que 532 sièges, disposent aujourd'hui du triple (1578 sièges). Bien que relevant avec force, les dépassements enregistrés çà et là, le président du FNA a tenu à souligner « le bon déroulement de l'opération de vote ». Moussa Touati, président du Front national algérien a, vendredi dernier, attribué cette surprenante réussite au militantisme sans cesse grandissant de ses militants et ce, depuis sa création en 1999. «Nous avons réalisé un score positif, fruit d'un militantisme continu, depuis la création du parti en 1999 qui a trouvé sa vie au sein de la population, notamment parmi la jeunesse », devait affirmer le leader du FNA, lors de la conférence de presse qu'il a animée vendredi au centre de presse international (CIP) pour signifier les raisons de sa réussite à ce double scrutin. Sa philosophie et son discours politique, a-t-il indiqué « sont à l'origine des résultats majoritaires obtenus dans 145 communes » ajoutant que « Ce résultat est, aussi, le produit du discours politique du parti, tiré des fondements de l'appel du 1er Novembre 1954 et des valeurs de la Révolution algérienne ». Après avoir mis en relief l'un des principes de la démarche de son parti et de l'intérêt accordé aux jeunes et à leurs aspirations, Moussa Touati a lancé un message à « certaines voix quelques peu douteuses » en affirmant que « le FNA est un parti jeune, ambitieux et réformateur, qui œuvre à restituer au peuple son pouvoir ». Usant de franc-parler, comme à son accoutumé, le leader de ce parti qui, dorénavant, jouera un rôle prépondérant dans l'échiquier politique, n'a pas manqué de relever certains dépassements de l'administration lors du dépôt des listes des candidats du FNA et durant la campagne électorale. Dans ce contexte, il devait relever la position honorable du ministre de l'Intérieur lequel a « suggéré aux partis lésés de recourir à la justice pour faire valoir leurs droits ». Il releva également que son parti « attend le verdict de la justice, concernant les recours introduits » concernant certains autres dépassements enregistrés et qui ont, selon lui, « nécessité l'intervention des agents de sécurité pour remettre de l'ordre ». En obtenant ces résultats plus que surprenant, le FNA affirme sa position d'outsider en emboîtant le pas au FLN majoritaire et au RND en deuxième position, alors que les partis comme le PT, le RCD et le FFS ont connu un net recul. L'ascension fulgurante du FNA se caractérise par l'obtention de 277 sièges aux APW (12 en 2002), devançant de loin le Mouvement El Islah, qui a connu une chute libre, passant de 374 sièges à seulement 20 sièges. En terme de chiffres obtenus pour les APC, il est à rappeler que le parti du FLN, qui avait 4878 sièges aux APC, est descendu à 4.201 sièges, le FFS, qui disposait de 684 sièges n'en a obtenu que 566, alors que le FNA, qui n'avait en, 2002 que 532 sièges, disposent aujourd'hui du triple (1578 sièges). Bien que relevant avec force, les dépassements enregistrés çà et là, le président du FNA a tenu à souligner « le bon déroulement de l'opération de vote ».