Le SG du RND a refusé le principe d'une motion de soutien proposée par M. Abdelaziz Belkhadem qui appellerait le chef de l'Etat à briguer un troisième mandat. La révision de la Constitution, récemment annoncée par le Chef du gouvernement est une option prise très au sérieux par le RND. Réuni en session ordinaire, son conseil national s'est officiellement exprimé sur la question dans sa résolution politique. «Soucieux de la consolidation de la stabilité nationale et du parachèvement du processus de redressement national, le RND tient à renouveler sa satisfaction devant l'annonce faite par le président de la république, le 4 juillet 2006, de présenter un projet de révision de la constitution», lit-on dans le document sanctionnant la rencontre des cadre du parti d'Ouyahia. L'allusion au discours du chef de l'Etat devant les officiers supérieur de l'ANP, révèle le souci du RND d'éviter une toute autre référence que celle du président de la République pour se positionner sur un sujet aussi lourd. Mais il semble que ce positionnement manque encore d'assurance. On l'aura, en tout cas, remarqué dans les propos tenus par le secrétaire général du parti lors de la traditionnelle conférence de presse qui sanctionne chaque session du Conseil national du RND. Relancé sur la question par la presse nationale, Ahmed Ouyahia a évité d'en dire plus, se contentant d'affirmer que si le Conseil national de son parti a évoqué l'amendement de la Constitution, c'est tout simplement parce que le sujet fait débat au sein de la classe politique nationale. Une autre manière pour Ouyhaia de dire que le seul et principal acteur qui pourrait donner une suite concrète au débat est le président de la République lui-même. Et c'est dans cette logique que le SG du RND a refusé de s'aventurer sur la nature des amendements qui seront apportés à la Constitution. «La constitution n'est pas le Coran», affirme-t-il, mais de là à en disserter sur les aspects positifs et négatifs de la loi fondamentale, Ouyahia renvoie les journalistes vers la résolution politique qui, sur le sujet, entretient le flou. Sur la question du troisième mandat présidentiel, corollaire à l'amendement de la Constitution, Ouyahia adopte la même attitude et refuse de donner l'impression de s'aligner sur la position du FLN et ses associations satellites. Comme pour l'amendement de la Constitution, le SG du RND attend encore un signal officiel du premier concerné. Il annonce, par contre, qu'il a refusé le principe d'une motion de soutien proposée par M. Abdelaziz Belkhadem qui appellerait le chef de l'Etat à briguer un troisième mandat. Ouyahia a affirmé que la proposition du Chef du gouvernement a été formulée lors d'un sommet informel de l'Alliance présidentielle. Le SG du RND a refusé le principe d'une motion de soutien proposée par M. Abdelaziz Belkhadem qui appellerait le chef de l'Etat à briguer un troisième mandat. La révision de la Constitution, récemment annoncée par le Chef du gouvernement est une option prise très au sérieux par le RND. Réuni en session ordinaire, son conseil national s'est officiellement exprimé sur la question dans sa résolution politique. «Soucieux de la consolidation de la stabilité nationale et du parachèvement du processus de redressement national, le RND tient à renouveler sa satisfaction devant l'annonce faite par le président de la république, le 4 juillet 2006, de présenter un projet de révision de la constitution», lit-on dans le document sanctionnant la rencontre des cadre du parti d'Ouyahia. L'allusion au discours du chef de l'Etat devant les officiers supérieur de l'ANP, révèle le souci du RND d'éviter une toute autre référence que celle du président de la République pour se positionner sur un sujet aussi lourd. Mais il semble que ce positionnement manque encore d'assurance. On l'aura, en tout cas, remarqué dans les propos tenus par le secrétaire général du parti lors de la traditionnelle conférence de presse qui sanctionne chaque session du Conseil national du RND. Relancé sur la question par la presse nationale, Ahmed Ouyahia a évité d'en dire plus, se contentant d'affirmer que si le Conseil national de son parti a évoqué l'amendement de la Constitution, c'est tout simplement parce que le sujet fait débat au sein de la classe politique nationale. Une autre manière pour Ouyhaia de dire que le seul et principal acteur qui pourrait donner une suite concrète au débat est le président de la République lui-même. Et c'est dans cette logique que le SG du RND a refusé de s'aventurer sur la nature des amendements qui seront apportés à la Constitution. «La constitution n'est pas le Coran», affirme-t-il, mais de là à en disserter sur les aspects positifs et négatifs de la loi fondamentale, Ouyahia renvoie les journalistes vers la résolution politique qui, sur le sujet, entretient le flou. Sur la question du troisième mandat présidentiel, corollaire à l'amendement de la Constitution, Ouyahia adopte la même attitude et refuse de donner l'impression de s'aligner sur la position du FLN et ses associations satellites. Comme pour l'amendement de la Constitution, le SG du RND attend encore un signal officiel du premier concerné. Il annonce, par contre, qu'il a refusé le principe d'une motion de soutien proposée par M. Abdelaziz Belkhadem qui appellerait le chef de l'Etat à briguer un troisième mandat. Ouyahia a affirmé que la proposition du Chef du gouvernement a été formulée lors d'un sommet informel de l'Alliance présidentielle.