Après deux mois loin de leurs proches, les résidents des cités universitaires s'apprêtent à partir passer la fête de l'Aïd El-Adha en famille. «Rien ne vaut un repas de fête avec les siens», confessent de nombreuses étudiantes rencontrées à la résidence universitaire (RU) des jeunes filles de Ben-Aknoun, heureuses de rompre pour quelques jours avec les «plateaux» du resto U. Certaines, à l'instar de Soraya, originaire de Médéa, ne comptent pas rentrer à la maison les mains vides. Elle n'a pas manqué de trouver un foulard pour sa maman. Afin de ne pas rater ses cours, Soraya a dû retarder son départ jusqu'à lundi. «D'ailleurs, hier j'ai présenté mon dernier exposé», a-t-elle dit. S'agissant du transport des voyageurs, cette Médéenne dit mal supporter « le calvaire » vécu, à chaque occasion ou fête religieuse, sur son itinéraire de retour notamment au niveau de la station de bus de Blida. « Comme chaque fête de l'Aïd, je passe souvent entre deux à trois heures pour pouvoir monter dans un bus à cause du nombre important de voyageurs», ajoute Soraya. Karim, étudiant en 3e année droit, veut profiter de la coupure de l'Aïd pour reprendre des forces et se préparer aux examens à venir. «J'ai un petit retard que je dois rattraper», dit-il. Contrairement à ses copains de chambre qui sont partis depuis déjà une semaine, Karim a préféré ne pas sacrifier ses derniers cours pour partir au bled. Il a pris la résolution de rentrer chez lui à Sidi Moussa (M'sila) lundi matin, la veille des vacances d'hiver. Bagages en main, Karim monte dans un « Cous » pour la gare routière du Caroubier. Cette ligne « spéciale », initiative de l'Office des œuvres universitaires, est opérationnelle à la veille des vacances et des fêtes. Ainsi, un «Cous» desservant la gare routière du Caroubier a été mis à la disposition des étudiants pour cet Aïd. «Nous assurons depuis deux jours des navettes entre la cité universitaire de Ben Aknoun et la gare routière du Caroubier», a indiqué un chauffeur du transport estudiantin. Plus loin, Nadia, debout devant de nombreux cabas, guette le Cous allant sur Tafourah. Etudiante en 2e année à la fac centrale, elle souligne n'avoir jamais passé un Aïd dans la cité universitaire. «Même quand je n'ai pas de sous, je me débrouille pour partir chez mes parents à Khemis Miliana », dit-elle. Cette année, les résidents des RU de la capitale ont pu rentrer chez-eux, même ceux originaires du Sud du pays. Il faut savoir en effet que l'administration des œuvres universitaires a mis à leur disposition des bus afin de les transporter chez eux à titre gracieux. Ainsi, les étudiants de Tamanrasset, Ouargla et Ghardaïa, etc vont pouvoir passer l'Aïd en famille. Contrairement à la majorité des étudiants résidents dans les cités universitaires, Farida, étudiante en 2e année sciences politiques, a opté pour un moyen de transport différent. A 12h30, elle embarquera à bord du train en partance pour Oran. Sa destination est la gare de Aïn-Defla. Afin d'éviter les bousculades en cette période de fêtes et de vacances, « j'emprunte toujours le train malgré la cherté du billet. Mais, le plus important, c'est qu'il est plus rapide et respecte les horaires de départ», a-t-elle souligné. Après deux mois loin de leurs proches, les résidents des cités universitaires s'apprêtent à partir passer la fête de l'Aïd El-Adha en famille. «Rien ne vaut un repas de fête avec les siens», confessent de nombreuses étudiantes rencontrées à la résidence universitaire (RU) des jeunes filles de Ben-Aknoun, heureuses de rompre pour quelques jours avec les «plateaux» du resto U. Certaines, à l'instar de Soraya, originaire de Médéa, ne comptent pas rentrer à la maison les mains vides. Elle n'a pas manqué de trouver un foulard pour sa maman. Afin de ne pas rater ses cours, Soraya a dû retarder son départ jusqu'à lundi. «D'ailleurs, hier j'ai présenté mon dernier exposé», a-t-elle dit. S'agissant du transport des voyageurs, cette Médéenne dit mal supporter « le calvaire » vécu, à chaque occasion ou fête religieuse, sur son itinéraire de retour notamment au niveau de la station de bus de Blida. « Comme chaque fête de l'Aïd, je passe souvent entre deux à trois heures pour pouvoir monter dans un bus à cause du nombre important de voyageurs», ajoute Soraya. Karim, étudiant en 3e année droit, veut profiter de la coupure de l'Aïd pour reprendre des forces et se préparer aux examens à venir. «J'ai un petit retard que je dois rattraper», dit-il. Contrairement à ses copains de chambre qui sont partis depuis déjà une semaine, Karim a préféré ne pas sacrifier ses derniers cours pour partir au bled. Il a pris la résolution de rentrer chez lui à Sidi Moussa (M'sila) lundi matin, la veille des vacances d'hiver. Bagages en main, Karim monte dans un « Cous » pour la gare routière du Caroubier. Cette ligne « spéciale », initiative de l'Office des œuvres universitaires, est opérationnelle à la veille des vacances et des fêtes. Ainsi, un «Cous» desservant la gare routière du Caroubier a été mis à la disposition des étudiants pour cet Aïd. «Nous assurons depuis deux jours des navettes entre la cité universitaire de Ben Aknoun et la gare routière du Caroubier», a indiqué un chauffeur du transport estudiantin. Plus loin, Nadia, debout devant de nombreux cabas, guette le Cous allant sur Tafourah. Etudiante en 2e année à la fac centrale, elle souligne n'avoir jamais passé un Aïd dans la cité universitaire. «Même quand je n'ai pas de sous, je me débrouille pour partir chez mes parents à Khemis Miliana », dit-elle. Cette année, les résidents des RU de la capitale ont pu rentrer chez-eux, même ceux originaires du Sud du pays. Il faut savoir en effet que l'administration des œuvres universitaires a mis à leur disposition des bus afin de les transporter chez eux à titre gracieux. Ainsi, les étudiants de Tamanrasset, Ouargla et Ghardaïa, etc vont pouvoir passer l'Aïd en famille. Contrairement à la majorité des étudiants résidents dans les cités universitaires, Farida, étudiante en 2e année sciences politiques, a opté pour un moyen de transport différent. A 12h30, elle embarquera à bord du train en partance pour Oran. Sa destination est la gare de Aïn-Defla. Afin d'éviter les bousculades en cette période de fêtes et de vacances, « j'emprunte toujours le train malgré la cherté du billet. Mais, le plus important, c'est qu'il est plus rapide et respecte les horaires de départ», a-t-elle souligné.