Les intervenants se sont surtout penchés sur les troubles neuromusculaires, leurs complications et leurs conséquences sur la famille des individus atteints, particulièrement les malformations et les troubles engendrés par les mariages consanguins. Les intervenants se sont surtout penchés sur les troubles neuromusculaires, leurs complications et leurs conséquences sur la famille des individus atteints, particulièrement les malformations et les troubles engendrés par les mariages consanguins. Le laboratoire de biologie moléculaire de l'institut Pasteur d'Algérie et l'association pour le développement de la recherche sur les maladies neurogénétiques ont organisé, Samedi dernier, la septième journée de neurogénétique à l'institut Pasteur d'Algérie à Dély Ibrahim, sur les neuropathies héréditaires à transmission autosomiques récessives en Algérie. Plusieurs communications ont été présentées lors de cette rencontre par des spécialistes notamment les médecins neurologues, les biologistes, des chercheurs dans le domaine de la génétique et de la biologie. Les intervenants se sont surtout penchés sur les troubles neuromusculaires, leurs complications et leurs conséquences sur la famille des individus atteints, particulièrement les malformations et les troubles engendrés par les mariages consanguins. Ils ont également souligné le manque de moyens pour pouvoir poser le bon diagnostic à temps et pour une meilleure prise en charge. La technologie génétique a beaucoup progressé ces dernières années et les spécialistes espèrent améliorer la prise en charge des malades en Algérie et réduire, de ce fait, le coût des soins et toute la prise en charge à l'étranger. Cette journée a été l'occasion pour les chercheurs dans ce domaine pour les neurologues ainsi que les biologistes pour se réunir autour d'un même objectif qu'est de faire le point sur les avancées en biologie moléculaire sur les maladies neuromusculaires. «Il faut reconnaître que le laboratoire de biologie moléculaire de l'institut Pasteur est l'un des premiers laboratoires à réaliser les diagnostiques génétiques, et qui dit diagnostique dit conseils génétiques aux familles», affirme Dr T. Benhassine, spécialiste en biologie et chef de service de biologie moléculaire à l'institut Pasteur à Dely Ibrhim et membre de l'association pour le développement de la recherche sur les maladies neurogénétiques. Justement, les travaux de recherche de cette association s'intéressent plus particulièrement aux formes autosomiques récessives à cause du taux élevé de consanguinité, comme l'a si bien exprimé Dr Benhassine. «Ces pathologies neuromusculaires restent des maladies orphelines parce que personne ne veut les prendre en charge» dit- elle «et notre but est de combattre le handicap, conseiller et nous faisons constamment de la recherche dans ce domaine pour connaître la composante génétique de la population afin d'améliorer le diagnostique en Algérie», ajoute-t-elle. Cette journée de neurogénétique a permis alors de créer le débat entre les cliniciens et les biologistes moléculaires pour voir ensemble comment faire avancer les recherches dans ce domaine et diversifier les diagnostiques afin que les malades puissent bénéficier d'une meilleure prise en charge. Le laboratoire de biologie moléculaire de l'institut Pasteur d'Algérie et l'association pour le développement de la recherche sur les maladies neurogénétiques ont organisé, Samedi dernier, la septième journée de neurogénétique à l'institut Pasteur d'Algérie à Dély Ibrahim, sur les neuropathies héréditaires à transmission autosomiques récessives en Algérie. Plusieurs communications ont été présentées lors de cette rencontre par des spécialistes notamment les médecins neurologues, les biologistes, des chercheurs dans le domaine de la génétique et de la biologie. Les intervenants se sont surtout penchés sur les troubles neuromusculaires, leurs complications et leurs conséquences sur la famille des individus atteints, particulièrement les malformations et les troubles engendrés par les mariages consanguins. Ils ont également souligné le manque de moyens pour pouvoir poser le bon diagnostic à temps et pour une meilleure prise en charge. La technologie génétique a beaucoup progressé ces dernières années et les spécialistes espèrent améliorer la prise en charge des malades en Algérie et réduire, de ce fait, le coût des soins et toute la prise en charge à l'étranger. Cette journée a été l'occasion pour les chercheurs dans ce domaine pour les neurologues ainsi que les biologistes pour se réunir autour d'un même objectif qu'est de faire le point sur les avancées en biologie moléculaire sur les maladies neuromusculaires. «Il faut reconnaître que le laboratoire de biologie moléculaire de l'institut Pasteur est l'un des premiers laboratoires à réaliser les diagnostiques génétiques, et qui dit diagnostique dit conseils génétiques aux familles», affirme Dr T. Benhassine, spécialiste en biologie et chef de service de biologie moléculaire à l'institut Pasteur à Dely Ibrhim et membre de l'association pour le développement de la recherche sur les maladies neurogénétiques. Justement, les travaux de recherche de cette association s'intéressent plus particulièrement aux formes autosomiques récessives à cause du taux élevé de consanguinité, comme l'a si bien exprimé Dr Benhassine. «Ces pathologies neuromusculaires restent des maladies orphelines parce que personne ne veut les prendre en charge» dit- elle «et notre but est de combattre le handicap, conseiller et nous faisons constamment de la recherche dans ce domaine pour connaître la composante génétique de la population afin d'améliorer le diagnostique en Algérie», ajoute-t-elle. Cette journée de neurogénétique a permis alors de créer le débat entre les cliniciens et les biologistes moléculaires pour voir ensemble comment faire avancer les recherches dans ce domaine et diversifier les diagnostiques afin que les malades puissent bénéficier d'une meilleure prise en charge.