Les kystes ovariens sont certes fréquents mais mal connus faute d'observations suffisantes. La plupart ne sont pas douloureux et découverts au cours d'un examen échographique de routine. Leur surveillance permet de s'assurer qu'il ne s'agit pas d'une tumeur cancéreuse. Les kystes ovariens sont certes fréquents mais mal connus faute d'observations suffisantes. La plupart ne sont pas douloureux et découverts au cours d'un examen échographique de routine. Leur surveillance permet de s'assurer qu'il ne s'agit pas d'une tumeur cancéreuse. les symptômes Ce n'est pas tous les kystes qui présentent des symptômes. Ils peuvent être découverts fortuitement à l'occasion d'un examen gynécologique, si non c'est lorsque la patiente ressent des pesanteurs pelviennes, des tiraillements dans le petit bassin, des anomalies de règles, (règles trop abondantes, ou trop courtes, ou qui apparaissent de temps à autre), des douleurs au bas-ventre,ou des troubles urinaires, qu'elle consulte. Les kystes peuvent être de deux natures : fonctionnels et organiques. Les kystes auxquels nous allons nous intéresser aujourd'hui sont d'ordre fonctionnels. Ces kystes fonctionnels sont très fréquents et sont à priori bénins : un lien éventuel avec le cancer de l'ovaire n'a jamais été démontré. Ils peuvent d'ailleurs régresser spontanément sans aucune prise de médicaments comme ils peuvent disparaître sous l'effet d'un traitement médical. Le diagnostique Les kystes de l'ovaire sont très souvent latents et découverts par la perception d'une masse pelvienne ou remontant au-dessus de la symphyse lors d'un examen échographique systématique dans la période péri-ménopausique. Parfois, c'est à l'occasion d'un examen décidé devant : -une sensation de pesanteur ; -un tiraillement dans le petit bassin ; -des anomalies des règles ; -des troubles urinaires ; -Perturbation de l'ovulation -Perturbation de la fécondité ; Qu'une échographie pelvienne est demandée systématiquement. En effet, c'est cette dernière qui va permettre de préciser qu'il s'agit bien d'un kyste dont on précise les dimensions et les caractères ,l'épaisseur des parois, l'existence ou non de végétations endo ou exokystiques. Les caractéristiques échographiques font évoquer la présence d'un kyste et la possibilité d'une dégénérescence maligne. Qu'une coelioscopie pourrait également être demandée. Celle-ci sera indiquée pour préciser la nature histologique du kyste et procéder à l'exérèse endoscopique de la paroi du kyste. les causes? Kyste fonctionnel. C'est la forme la plus fréquente, survenant chez la femme jeune. Il correspond à un follicule (évolution normale d'un ovule) qui grossit anormalement au lieu d'éclater pour libérer l'ovule. Ce type de kyste a tendance à se former régulièrement, à chaque cycle et à disparaître juste après sans thérapeutique aucune. C'est généralement une stimulation ovarienne excessive au cours du cycle menstruel qui fait évoluer un follicule ou un corps jaune en kyste. Ils peuvent apparaître tout au long de la vie avec chaque période de cycle, avec cependant une prédominance entre la puberté et la ménopause. Quel traitement préconiser dans ce cas ? Tous les mois, à cause des cycles féminins, des kystes fonctionnels se forment au niveau des ovaires. Il s'agit des ovules qui se préparent à ovuler ! Chaque mois, plusieurs petits kystes existent, souvent sur les deux ovaires. Puis, une fois l'ovulation passée, ces formations persistent devenant ce qu'on appelle des corps jaunes, qui fabriquent des hormones. Au quatorzième (14ème) jour après l'ovulation, le corps jaune cesse de fonctionner et ainsi, à la fin du cycle, surviennent les règles qui débutent un nouveau cycle menstruel, et touts ses kystes disparaîtront en général, spontanemment et sans avoir recours. Le gynécologue demande à refaire une échographie pelvienne pour le confirmer. Si les kystes persistent, un traitement médical peut être proposé : une pilule œstro-progestative est le plus souvent prescrite, afin de bloquer l'ovulation. Un contrôle par échographie est effectué au bout de deux (2) à trois (3) cycles pour s'assurer que le kyste a disparu. Le kyste fonctionnel de l'ovaire est la cause la plus fréquente de kyste de la femme jeune. Il s'agit d'un follicule (ce qui donnera un ovule) qui grossit de façon anormale. A l'échographie on retrouve un kyste liquidien pur, unique, à paroi fine. Le traitement consiste à bloquer l'ovaire par une pilule. Le kyste régresse en deux ou trois mois. Si ce n'est pas le cas alors une intervention chirurgicale peut-être indiquée. Parfois, les microkystes ne disparaissent pas. Ils persistent et, chaque mois continuent à grossir. Ils finissent par mesurer plusieurs centimètres et par entraîner des douleurs. Le traitement est une pilule fortement dosée, qui oblige les ovaires à ne plus fonctionner pendant plusieurs mois, et comme ils ne sont plus stimulés, les kystes diminuent progressivement pour disparaître. Cependant, certains kystes sont trop gros pour réussir à disparaître de cette manière. Il ne reste alors qu'un seul moyen, qu'est la chirurgie pour les enlever. les symptômes Ce n'est pas tous les kystes qui présentent des symptômes. Ils peuvent être découverts fortuitement à l'occasion d'un examen gynécologique, si non c'est lorsque la patiente ressent des pesanteurs pelviennes, des tiraillements dans le petit bassin, des anomalies de règles, (règles trop abondantes, ou trop courtes, ou qui apparaissent de temps à autre), des douleurs au bas-ventre,ou des troubles urinaires, qu'elle consulte. Les kystes peuvent être de deux natures : fonctionnels et organiques. Les kystes auxquels nous allons nous intéresser aujourd'hui sont d'ordre fonctionnels. Ces kystes fonctionnels sont très fréquents et sont à priori bénins : un lien éventuel avec le cancer de l'ovaire n'a jamais été démontré. Ils peuvent d'ailleurs régresser spontanément sans aucune prise de médicaments comme ils peuvent disparaître sous l'effet d'un traitement médical. Le diagnostique Les kystes de l'ovaire sont très souvent latents et découverts par la perception d'une masse pelvienne ou remontant au-dessus de la symphyse lors d'un examen échographique systématique dans la période péri-ménopausique. Parfois, c'est à l'occasion d'un examen décidé devant : -une sensation de pesanteur ; -un tiraillement dans le petit bassin ; -des anomalies des règles ; -des troubles urinaires ; -Perturbation de l'ovulation -Perturbation de la fécondité ; Qu'une échographie pelvienne est demandée systématiquement. En effet, c'est cette dernière qui va permettre de préciser qu'il s'agit bien d'un kyste dont on précise les dimensions et les caractères ,l'épaisseur des parois, l'existence ou non de végétations endo ou exokystiques. Les caractéristiques échographiques font évoquer la présence d'un kyste et la possibilité d'une dégénérescence maligne. Qu'une coelioscopie pourrait également être demandée. Celle-ci sera indiquée pour préciser la nature histologique du kyste et procéder à l'exérèse endoscopique de la paroi du kyste. les causes? Kyste fonctionnel. C'est la forme la plus fréquente, survenant chez la femme jeune. Il correspond à un follicule (évolution normale d'un ovule) qui grossit anormalement au lieu d'éclater pour libérer l'ovule. Ce type de kyste a tendance à se former régulièrement, à chaque cycle et à disparaître juste après sans thérapeutique aucune. C'est généralement une stimulation ovarienne excessive au cours du cycle menstruel qui fait évoluer un follicule ou un corps jaune en kyste. Ils peuvent apparaître tout au long de la vie avec chaque période de cycle, avec cependant une prédominance entre la puberté et la ménopause. Quel traitement préconiser dans ce cas ? Tous les mois, à cause des cycles féminins, des kystes fonctionnels se forment au niveau des ovaires. Il s'agit des ovules qui se préparent à ovuler ! Chaque mois, plusieurs petits kystes existent, souvent sur les deux ovaires. Puis, une fois l'ovulation passée, ces formations persistent devenant ce qu'on appelle des corps jaunes, qui fabriquent des hormones. Au quatorzième (14ème) jour après l'ovulation, le corps jaune cesse de fonctionner et ainsi, à la fin du cycle, surviennent les règles qui débutent un nouveau cycle menstruel, et touts ses kystes disparaîtront en général, spontanemment et sans avoir recours. Le gynécologue demande à refaire une échographie pelvienne pour le confirmer. Si les kystes persistent, un traitement médical peut être proposé : une pilule œstro-progestative est le plus souvent prescrite, afin de bloquer l'ovulation. Un contrôle par échographie est effectué au bout de deux (2) à trois (3) cycles pour s'assurer que le kyste a disparu. Le kyste fonctionnel de l'ovaire est la cause la plus fréquente de kyste de la femme jeune. Il s'agit d'un follicule (ce qui donnera un ovule) qui grossit de façon anormale. A l'échographie on retrouve un kyste liquidien pur, unique, à paroi fine. Le traitement consiste à bloquer l'ovaire par une pilule. Le kyste régresse en deux ou trois mois. Si ce n'est pas le cas alors une intervention chirurgicale peut-être indiquée. Parfois, les microkystes ne disparaissent pas. Ils persistent et, chaque mois continuent à grossir. Ils finissent par mesurer plusieurs centimètres et par entraîner des douleurs. Le traitement est une pilule fortement dosée, qui oblige les ovaires à ne plus fonctionner pendant plusieurs mois, et comme ils ne sont plus stimulés, les kystes diminuent progressivement pour disparaître. Cependant, certains kystes sont trop gros pour réussir à disparaître de cette manière. Il ne reste alors qu'un seul moyen, qu'est la chirurgie pour les enlever.