La majorité des établissements scolaires de la wilaya de Béjaïa n'ont pas ouvert leurs portes, hier, à cause de Yennayer. Une chose que nous avons constatée nous-même dans la ville de Yemma Gouraya et dans la vallée de la Soummam, à l'instar de Sidi-Aïch et Ighzer- Amokrane. En effet, les élèves et les lycéens voulaient marquer la journée à leur manière. Certains enseignants ont été obligés de rebrousser chemin et de rentrer chez eux, car les collégiens n'étaient pas présents en classe. Yennayer, cette première journée de l'an berbère, est considéré comme férié par la population bien qu'il ne soit pas reconnu officiellement. Durant les années 80 et 90, les étudiants appelaient à des manifestations de rue en cette occasion. Cependant, depuis 2002, le mouvement citoyen célèbre, pacifiquement, le début du nouvel an amazigh. En outre, cette dynamique populaire ne cesse de revendiquer la reconnaissance du 12 janvier (premier Yennayer) comme journée chômée et payée. En plus des établissements scolaires qui sont paralysés, plusieurs sociétés privées ont baissé rideau. Rappelons, enfin, que moult activités culturelles sont organisées aux quatre coins de la wilaya et dans d'autres régions du pays pour célébrer cette date symbolique. Une date qui coïncide avec le début du calendrier amazigh. La majorité des établissements scolaires de la wilaya de Béjaïa n'ont pas ouvert leurs portes, hier, à cause de Yennayer. Une chose que nous avons constatée nous-même dans la ville de Yemma Gouraya et dans la vallée de la Soummam, à l'instar de Sidi-Aïch et Ighzer- Amokrane. En effet, les élèves et les lycéens voulaient marquer la journée à leur manière. Certains enseignants ont été obligés de rebrousser chemin et de rentrer chez eux, car les collégiens n'étaient pas présents en classe. Yennayer, cette première journée de l'an berbère, est considéré comme férié par la population bien qu'il ne soit pas reconnu officiellement. Durant les années 80 et 90, les étudiants appelaient à des manifestations de rue en cette occasion. Cependant, depuis 2002, le mouvement citoyen célèbre, pacifiquement, le début du nouvel an amazigh. En outre, cette dynamique populaire ne cesse de revendiquer la reconnaissance du 12 janvier (premier Yennayer) comme journée chômée et payée. En plus des établissements scolaires qui sont paralysés, plusieurs sociétés privées ont baissé rideau. Rappelons, enfin, que moult activités culturelles sont organisées aux quatre coins de la wilaya et dans d'autres régions du pays pour célébrer cette date symbolique. Une date qui coïncide avec le début du calendrier amazigh.