M. Benbada préconise un allégement dans le planning de financement, l'annulation d'une partie des agios et veut surtout offrir à ces PME la possibilité de bénéficier d'autres crédits bancaires malgré le fait qu'elles soit déjà endettées. M. Benbada préconise un allégement dans le planning de financement, l'annulation d'une partie des agios et veut surtout offrir à ces PME la possibilité de bénéficier d'autres crédits bancaires malgré le fait qu'elles soit déjà endettées. Le ministre de la Petite et moyenne entreprises et de l'Artisanat, M. Mustapha Benbada, a affirmé, hier, à Alger, que la problématique des PME en difficultés financières et qui disposent de potentiel de production performant est en cours d'étude au niveau de son département afin de trouver des solutions pour aider ces entreprises à réintégrer le circuit économique. Sur ce point, le ministère propose, le traitement au «cas par cas» des dossiers de ces entreprises selon leurs branches d'activité afin de définir les besoins spécifiques de celles ayant un potentiel de production performant. M. Benbada préconise, également, un allégement dans le planning de financement, l'annulation d'une partie des agios qui est une pénalité imposée par la Banque sur les crédits non remboursés et qui varie de 1 à 2% et surtout offrir à ces PME la possibilité de bénéficier d'autres crédits bancaires malgré le fait qu'elles soit déjà endettées. Le ministre a rappelé qu'au cours des années 90, le poids de la dette sur ces entreprises était énorme, au point d'asphyxier ces dernières en raison de la lourdeur des taux d'intérêts qui étaient, selon le ministre, de l'ordre de 17 à 19 %. Il a insisté pour indiquer qu'actuellement, la dette des PME dépasse de loin le crédit initial, au point où elles utilisent la majeure partie de leurs recettes dans l'amortissement de cette dette et de ses agios. Dans le cadre du financement de la PME, le ministre a écarté l'idée de création d'une banque spécialisée et a opté plutôt pour la mise en place des entités de financement spécialisées qui pourront répondre aux attentes des PME. Le ministre qui s'est exprimé lors d'un atelier international sur les fondements du système des statistiques relatif à la démographie des PME en Algérie, a indiqué que «le système d'information et plus particulièrement celui concernant les statistiques du secteur de la PME constitue, à nos yeux, l'élément fondamental dont ont besoin tous les acteurs économiques et sociaux pour fonder leurs stratégies et formuler leurs politiques». M. Benbada a affirmé que les instruments actuels disponibles ne permettent pas d'obtenir une bonne lecture de la poussée réelle de la démographie des PME, ni d'appréhender leur avenir. En effet, pour ce responsable, le parc national des entreprises en Algérie est diversifié et complexe de par sa composition et l'absence d'une structure centralisatrice des données statistiques. Cet état de fait rend indispensable la mise en application de la décision de créer un système d'information relatif aux statistiques liées à la démographie des PME. Le ministre de la Petite et moyenne entreprises et de l'Artisanat, M. Mustapha Benbada, a affirmé, hier, à Alger, que la problématique des PME en difficultés financières et qui disposent de potentiel de production performant est en cours d'étude au niveau de son département afin de trouver des solutions pour aider ces entreprises à réintégrer le circuit économique. Sur ce point, le ministère propose, le traitement au «cas par cas» des dossiers de ces entreprises selon leurs branches d'activité afin de définir les besoins spécifiques de celles ayant un potentiel de production performant. M. Benbada préconise, également, un allégement dans le planning de financement, l'annulation d'une partie des agios qui est une pénalité imposée par la Banque sur les crédits non remboursés et qui varie de 1 à 2% et surtout offrir à ces PME la possibilité de bénéficier d'autres crédits bancaires malgré le fait qu'elles soit déjà endettées. Le ministre a rappelé qu'au cours des années 90, le poids de la dette sur ces entreprises était énorme, au point d'asphyxier ces dernières en raison de la lourdeur des taux d'intérêts qui étaient, selon le ministre, de l'ordre de 17 à 19 %. Il a insisté pour indiquer qu'actuellement, la dette des PME dépasse de loin le crédit initial, au point où elles utilisent la majeure partie de leurs recettes dans l'amortissement de cette dette et de ses agios. Dans le cadre du financement de la PME, le ministre a écarté l'idée de création d'une banque spécialisée et a opté plutôt pour la mise en place des entités de financement spécialisées qui pourront répondre aux attentes des PME. Le ministre qui s'est exprimé lors d'un atelier international sur les fondements du système des statistiques relatif à la démographie des PME en Algérie, a indiqué que «le système d'information et plus particulièrement celui concernant les statistiques du secteur de la PME constitue, à nos yeux, l'élément fondamental dont ont besoin tous les acteurs économiques et sociaux pour fonder leurs stratégies et formuler leurs politiques». M. Benbada a affirmé que les instruments actuels disponibles ne permettent pas d'obtenir une bonne lecture de la poussée réelle de la démographie des PME, ni d'appréhender leur avenir. En effet, pour ce responsable, le parc national des entreprises en Algérie est diversifié et complexe de par sa composition et l'absence d'une structure centralisatrice des données statistiques. Cet état de fait rend indispensable la mise en application de la décision de créer un système d'information relatif aux statistiques liées à la démographie des PME.