Les prévisions météorologiques de cette semaine indiquent la persistance du temps ensoleillé sur l'ensemble du territoire national, donc une prédominance de températures printanières. Les probabilités de précipitations dans les régions du Nord du pays sont de l'ordre de 10 et 20 %, selon les wilayas. Les prévisions météorologiques de cette semaine indiquent la persistance du temps ensoleillé sur l'ensemble du territoire national, donc une prédominance de températures printanières. Les probabilités de précipitations dans les régions du Nord du pays sont de l'ordre de 10 et 20 %, selon les wilayas. La pluie n'a pas été abondante en Algérie depuis le début de l'hiver et particulièrement en janvier et pendant la première semaine de février. Quelques précipitations seulement ont été enregistrées dans certaines régions du pays à l'instar de Tizi-Ouzou et Béjaïa. Les agriculteurs sont anxieux devant cette situation de faible pluviosité sachant que la campagne labours-semailles a déjà été entamée depuis plus de deux mois. Ces derniers jours, les conditions climatiques en Algérie sont caractérisées par un temps printanier en pleine saison hivernale. Contacté par nos soins, les services de l'Office national de la météorologie (ONM) nous ont affirmé, hier, que «l'absence de précipitations, durant ces quinze derniers jours dans le Nord du pays, et particulièrement sur les régions côtières et les wilayas de l'intérieur, est surtout due à l'installation d'une base de haute pression et de l'anticyclone sur le bassin méditerranéen et l'Europe occidentale». Cette zone provoque le blocage des perturbations et cause ainsi le déplacement des dépressions climatiques vers le Nord de la Méditerranée. Elle conduit également au changement du bilan hydrologique en Algérie, où la pluie tarde à venir durant cette période hivernale pourtant généralement pluvieuse. Selon l'ONM, les perturbations sur tout le Nord du pays sont affaiblies et déviées vers le Nord de la Méditerranée. Depuis janvier 2007, on assiste à ce phénomène de l'anticyclone annihilant toutes les perturbations au niveau de tous les pays du bassin méditerranéen, notamment sur toute la bande sud de la Méditéranée occidentale. L'Algérie n'est pas donc spécifiquement mal arrosée par des précipitations irrégulières au grand dam des agriculteurs qui craignent pour leurs récoltes en cas de manque de pluie pendant les deux prochains mois. Les prévisions météorologiques de cette semaine montrent la persistance du temps ensoleillé sur l'ensemble du territoire national, donc une prédominance de températures printanières, à l'exception de certaines régions de l'intérieur du pays, telles que Naâma et Sidi Bel-Abbès où sont attendus des passages nuageux avec possibilité de chutes de pluie à partir de demain. Les probabilités de précipitations dans les régions du Nord du pays sont de l'ordre de 10 et 20 % suivant les wilayas. Par exemple, les prévisions météorologiques présagent des pluies locales et passagères dans les wilayas de l'Est du pays, notamment à Skikda et Annaba, où la température atteindrait 14 degrés. Sur la région d'Alger et ses environs, des pluies probables et même des averses éparses pourraient s'y abattre avec une température minimale avoisinant les 6 degrés centigrade. La pluie n'a pas été abondante en Algérie depuis le début de l'hiver et particulièrement en janvier et pendant la première semaine de février. Quelques précipitations seulement ont été enregistrées dans certaines régions du pays à l'instar de Tizi-Ouzou et Béjaïa. Les agriculteurs sont anxieux devant cette situation de faible pluviosité sachant que la campagne labours-semailles a déjà été entamée depuis plus de deux mois. Ces derniers jours, les conditions climatiques en Algérie sont caractérisées par un temps printanier en pleine saison hivernale. Contacté par nos soins, les services de l'Office national de la météorologie (ONM) nous ont affirmé, hier, que «l'absence de précipitations, durant ces quinze derniers jours dans le Nord du pays, et particulièrement sur les régions côtières et les wilayas de l'intérieur, est surtout due à l'installation d'une base de haute pression et de l'anticyclone sur le bassin méditerranéen et l'Europe occidentale». Cette zone provoque le blocage des perturbations et cause ainsi le déplacement des dépressions climatiques vers le Nord de la Méditerranée. Elle conduit également au changement du bilan hydrologique en Algérie, où la pluie tarde à venir durant cette période hivernale pourtant généralement pluvieuse. Selon l'ONM, les perturbations sur tout le Nord du pays sont affaiblies et déviées vers le Nord de la Méditerranée. Depuis janvier 2007, on assiste à ce phénomène de l'anticyclone annihilant toutes les perturbations au niveau de tous les pays du bassin méditerranéen, notamment sur toute la bande sud de la Méditéranée occidentale. L'Algérie n'est pas donc spécifiquement mal arrosée par des précipitations irrégulières au grand dam des agriculteurs qui craignent pour leurs récoltes en cas de manque de pluie pendant les deux prochains mois. Les prévisions météorologiques de cette semaine montrent la persistance du temps ensoleillé sur l'ensemble du territoire national, donc une prédominance de températures printanières, à l'exception de certaines régions de l'intérieur du pays, telles que Naâma et Sidi Bel-Abbès où sont attendus des passages nuageux avec possibilité de chutes de pluie à partir de demain. Les probabilités de précipitations dans les régions du Nord du pays sont de l'ordre de 10 et 20 % suivant les wilayas. Par exemple, les prévisions météorologiques présagent des pluies locales et passagères dans les wilayas de l'Est du pays, notamment à Skikda et Annaba, où la température atteindrait 14 degrés. Sur la région d'Alger et ses environs, des pluies probables et même des averses éparses pourraient s'y abattre avec une température minimale avoisinant les 6 degrés centigrade.