Le ministre de l'Aménagement du territoire, de l'environnement et du tourisme, Chérif Rahmani a révélé, lors des assises nationales et internationales sur le tourisme, que la réalisation du parc urbain d'Alger «Dounia-parc», a bénéficié d'une enveloppe financière s'élevant à 4,5 milliards de dollars échelonnés sur 4 ans. Situé sur la rocade sud de la capitale (Ouled Fayet), la première tranche de ce projet sera réceptionnée en septembre prochain, alors que la réalisation totale du parc s'étalera sur quatre années. C'est ce qu'a indiqué, hier, le directeur général des Parcs d'Alger, Khayam Turki. Le parc s'étale sur 670 hectares. Turki l'a qualifié de projet «phare» pour sa société, filiale d'Emirates International Investissement Company (EIIC). «C'est un investissement direct et tout l'argent dont nous aurons besoin proviendra de l'étranger», a-t-il souligné. Ce projet est destiné, selon lui, à doter la capitale d'un parc «majestueux intégrant un urbanisme écologique et innovant». Après la signature d'un accord de partenariat avec les autorités algériennes, les travaux ont débuté vers la fin de l'été 2007. «Nous avons entamé les travaux, il y a trois mois, par la partie consistant en la plantation des arbres. Dés le mois d'avril, nous poserons la première pierre de réalisation du pavillon de la communication», explique le directeur général des Parcs d'Alger. Cette «édifice original» va offrir au citoyen algérien, poursuit-il, une «serre géante» aussi grande qu'un terrain de football. 80 % de la superficie du parc est constituée d'espaces verts, de chemins boisés, d'une ceinture verte et de splendides jardins botaniques. Les visiteurs auront, ainsi, la possibilité de se promener avec, en plus, des aires de loisirs et autres services. Trois hôtels dont deux classés cinq étoiles viendront également s'implanter dans ce parc ainsi qu'une grande clinique et une école internationale. La spécialité de cette dernière sera déterminée en fonction des besoins exprimés par les pouvoirs publics. Le parc sera également doté d'un grand centre sportif avec des circuits équestres, un terrain de golf de 18 trous, une tour «emblématique», un district de services et des zones appelées villages mauresques. Ces villages seront composés d'habitations de haut standing, de grands circuits de promenades et des lacs artificiels. Quant aux rumeurs qui parlent de la présence d'une nappe d'eau sous le sol, Turki précise que les études réalisées ont conclu à l'inexistence de cette nappe. Sachant qu'un parc consomme beaucoup d'eau et afin de remédier à ce manque, «nous avons envisagé un système de retenues collinaires, pour pouvoir subvenir à hauteur de 50% des besoins en eau du parc», a-t-il ajouté. A noter que la conception de «Dounia-parc» a été faite par un Algérien établi au Canada. «Il a mis toute son expertise à notre service et il est heureux de réaliser ce projet dans son pays natal», a-t-il affirmé. Le ministre de l'Aménagement du territoire, de l'environnement et du tourisme, Chérif Rahmani a révélé, lors des assises nationales et internationales sur le tourisme, que la réalisation du parc urbain d'Alger «Dounia-parc», a bénéficié d'une enveloppe financière s'élevant à 4,5 milliards de dollars échelonnés sur 4 ans. Situé sur la rocade sud de la capitale (Ouled Fayet), la première tranche de ce projet sera réceptionnée en septembre prochain, alors que la réalisation totale du parc s'étalera sur quatre années. C'est ce qu'a indiqué, hier, le directeur général des Parcs d'Alger, Khayam Turki. Le parc s'étale sur 670 hectares. Turki l'a qualifié de projet «phare» pour sa société, filiale d'Emirates International Investissement Company (EIIC). «C'est un investissement direct et tout l'argent dont nous aurons besoin proviendra de l'étranger», a-t-il souligné. Ce projet est destiné, selon lui, à doter la capitale d'un parc «majestueux intégrant un urbanisme écologique et innovant». Après la signature d'un accord de partenariat avec les autorités algériennes, les travaux ont débuté vers la fin de l'été 2007. «Nous avons entamé les travaux, il y a trois mois, par la partie consistant en la plantation des arbres. Dés le mois d'avril, nous poserons la première pierre de réalisation du pavillon de la communication», explique le directeur général des Parcs d'Alger. Cette «édifice original» va offrir au citoyen algérien, poursuit-il, une «serre géante» aussi grande qu'un terrain de football. 80 % de la superficie du parc est constituée d'espaces verts, de chemins boisés, d'une ceinture verte et de splendides jardins botaniques. Les visiteurs auront, ainsi, la possibilité de se promener avec, en plus, des aires de loisirs et autres services. Trois hôtels dont deux classés cinq étoiles viendront également s'implanter dans ce parc ainsi qu'une grande clinique et une école internationale. La spécialité de cette dernière sera déterminée en fonction des besoins exprimés par les pouvoirs publics. Le parc sera également doté d'un grand centre sportif avec des circuits équestres, un terrain de golf de 18 trous, une tour «emblématique», un district de services et des zones appelées villages mauresques. Ces villages seront composés d'habitations de haut standing, de grands circuits de promenades et des lacs artificiels. Quant aux rumeurs qui parlent de la présence d'une nappe d'eau sous le sol, Turki précise que les études réalisées ont conclu à l'inexistence de cette nappe. Sachant qu'un parc consomme beaucoup d'eau et afin de remédier à ce manque, «nous avons envisagé un système de retenues collinaires, pour pouvoir subvenir à hauteur de 50% des besoins en eau du parc», a-t-il ajouté. A noter que la conception de «Dounia-parc» a été faite par un Algérien établi au Canada. «Il a mis toute son expertise à notre service et il est heureux de réaliser ce projet dans son pays natal», a-t-il affirmé.