Si, aujourd'hui, le tabagisme fait partie intégrante des habitudes inéluctables des individus, il n'en demeure pas moins que ses conséquences sont de plus en plus néfastes, voire irréparables au point où, il peut coûter la vie, non seulement aux fumeurs, mais à ceux qui avalent la fumée de manière passive. Si, aujourd'hui, le tabagisme fait partie intégrante des habitudes inéluctables des individus, il n'en demeure pas moins que ses conséquences sont de plus en plus néfastes, voire irréparables au point où, il peut coûter la vie, non seulement aux fumeurs, mais à ceux qui avalent la fumée de manière passive. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a estimé que le tabac pourrait tuer, au cours de ce siècle, un milliard de personnes à travers le monde si l'on ne fait rien pur changer les mentalités des fumeurs et leur comportement. Cette dernière rappelle que le tabac a déjà tué 100 millions de personnes à travers le monde au XXe (20e) siècle et le nombre des décès liés au tabagisme atteindra plus de huit millions par an d'ici 2030. Les dernières études médicales ont montré que le nombre de décès lié au tabagisme augmentait de plus en plus et d'une année à l'autre dans le monde entier. On n'arrête pas de le dire et on ne cessera pas de le répéter «le tabac tue» mais les adorateurs des cigarettes ne veulent se prendre en charge ni prendre cela au sérieux et croient qu'ils ne sont pas concernés, ou peut être se disent-ils que cela n'arrivent qu'aux autres. Combien d'individus comme vous ne se sentaient pas touchés par toutes ses compagnes contre le tabagisme. Ne sont-ils pas conscients qu'ils sont en train de se suicider à petit feu ? Le comble et le plus dramatique encore c'est qu'ils savent très bien qu'avec leur maudite fumée, ils font mal aux autres, plus grave encore, qu'ils en font des victimes. Mais, comment peut-on expliquer l'effet du tabac sur l'organisme ? Fumer n'est pas un acte anodin. En dehors de cela, rappelons qu'il existe plus de 5000 composants dans la fumée du tabac (avec près de 500 substances cancérigènes, telles que les hydrocarbures) d'une part et, d'autre part, à chaque bouffée, trois produits toxiques dont la nicotine, le monoxyde de carbone etc. sont inspirés par l'individu. En moins de dix secondes, l'inhalation de la nicotine gagne le cerveau et déclenche une activité cérébrale, une accélération du rythme du pouls, une élévation de la tension artérielle et du rythme cardiaque (pour certains), empêche les angoisses sous-jacentes en jouant le rôle de tranquillisant, mais il n'en est rien en réalité car ce n'est qu'une impression qui fait croire qu'en fumant on se sent plus apaisé. Oui, mais il faut bien que le fumeur trouve un prétexte même inconscient pour justifier son acte. Aujourd'hui, qu'il s'agisse de la cigarette, du cigare ou de la pipe l'essentiel est pour le fumeur d'obtenir le taux de nicotine dont son organisme a besoin! De même, il faut savoir que, la fumée des cigarettes gagne instantanément les alvéoles pulmonaires où la quasi totalité de la nicotine est inhalée. Quant au foie, il modifie une partie de la nicotine en continue et, grâce au phénomène d'oxydation et à son tour, la nicotine évacuée par les urines. Dire que le tabagisme réduit l'espérance de vie d'un fumeur (environ deux heures par jour pour une consommation quotidienne d'un paquet) est une chose, mais aussi, influence son entourage sans oublier l'impact que cela peut avoir sur ses organes. On retiendra de ce fait que, 90% des cancers du poumon, 85% des artérites, 65% des cancers de la sphère ORL (bouche, lèvres, langue, larynx, pharynx, oesophage), 40% des cancers de la vessie, 35% des infarctus du myocarde, Nombreux décès annuels par insuffisance respiratoire, la bronchite chronique des fumeurs, trachéite, laryngite, bronchite, bronchiolite, toux chronique, asthme, hypersécrétion, pneumonie chez l'enfant (intoxication passive du non-fumeur par le fumeur ) et même des malformations congénitales... sont entre autres les méfaits indéniables du tabagisme. Certes, des campagnes de sensibilisation de lutte contre le tabagisme ont toujours fait l'objet des programmes de santé, dans la majorité des pays industriels. Dans les mois qui ont suivi, la hausse du prix des cigarettes, sans oublier la «Loi Evin» du 10 janvier 1991 visant à protéger les non-fumeurs du tabagisme passif s'est fait ressentir ! Mais cela n'a pas vraiment produit l'effet espéré, bien que malgré les conséquences sanitaires dramatiques, on continue à ignorer cela ou plutôt à faire semblant. Nombreuses sont les personnes qui déclarent aujourd'hui être gênées par la fumée. Dans les pays développés, notamment la France, les espaces fumeurs deviennent aujourd'hui rares dans les lieux publics, dont lieux de travail plus précisément : dans tous les endroits collectifs, la loi Evin «oblige clairement l'identification de zones fumeurs et non-fumeurs», et depuis le 29 juin 2005, un arrêt de la Cour de cassation va plus loin et «oblige les employeurs à protéger les salariés du tabagisme» en vue de leur garantir un «environnement professionnel sans fumée». Mais malheureusement, cette loi n'est pas respectée. C'est dire, combien un prise de conscience doit s'opérer dans cette optique. Cependant, on note par ailleurs que, certaines entreprises s'engagent à fournir des substituts nicotiniques à leurs salariés et mettent en place des accompagnements médicalisés de sevrage tabagique : tout ceci pour la «primauté du droit des non-fumeurs» exigée par la Loi Evin, mais aussi, de la lutte contre le tabagisme ! Qu'en est-il des campagnes anti-tabac chez nous et des droits des non-fumeurs, ou plutôt victime du tabagisme passif ? N'ont-ils pas le droit à une bouffée d'air non pollué par la maudite cigarette ? Alors, face au tabagisme, faut-il lutter contre le tabac ou changer les comportements tout simplement ? Qu'en pensez-vous ? Les lecteurs sont cordialement invités à répondre à cette question s'ils le désirent afin de contribuer avec leurs avis et points de vue à la richesse du sujet. Vous pourrez alors m'écrire à mon adresse électronique mentionnée en bas de la page. L'Organisation mondiale de la santé (OMS) a estimé que le tabac pourrait tuer, au cours de ce siècle, un milliard de personnes à travers le monde si l'on ne fait rien pur changer les mentalités des fumeurs et leur comportement. Cette dernière rappelle que le tabac a déjà tué 100 millions de personnes à travers le monde au XXe (20e) siècle et le nombre des décès liés au tabagisme atteindra plus de huit millions par an d'ici 2030. Les dernières études médicales ont montré que le nombre de décès lié au tabagisme augmentait de plus en plus et d'une année à l'autre dans le monde entier. On n'arrête pas de le dire et on ne cessera pas de le répéter «le tabac tue» mais les adorateurs des cigarettes ne veulent se prendre en charge ni prendre cela au sérieux et croient qu'ils ne sont pas concernés, ou peut être se disent-ils que cela n'arrivent qu'aux autres. Combien d'individus comme vous ne se sentaient pas touchés par toutes ses compagnes contre le tabagisme. Ne sont-ils pas conscients qu'ils sont en train de se suicider à petit feu ? Le comble et le plus dramatique encore c'est qu'ils savent très bien qu'avec leur maudite fumée, ils font mal aux autres, plus grave encore, qu'ils en font des victimes. Mais, comment peut-on expliquer l'effet du tabac sur l'organisme ? Fumer n'est pas un acte anodin. En dehors de cela, rappelons qu'il existe plus de 5000 composants dans la fumée du tabac (avec près de 500 substances cancérigènes, telles que les hydrocarbures) d'une part et, d'autre part, à chaque bouffée, trois produits toxiques dont la nicotine, le monoxyde de carbone etc. sont inspirés par l'individu. En moins de dix secondes, l'inhalation de la nicotine gagne le cerveau et déclenche une activité cérébrale, une accélération du rythme du pouls, une élévation de la tension artérielle et du rythme cardiaque (pour certains), empêche les angoisses sous-jacentes en jouant le rôle de tranquillisant, mais il n'en est rien en réalité car ce n'est qu'une impression qui fait croire qu'en fumant on se sent plus apaisé. Oui, mais il faut bien que le fumeur trouve un prétexte même inconscient pour justifier son acte. Aujourd'hui, qu'il s'agisse de la cigarette, du cigare ou de la pipe l'essentiel est pour le fumeur d'obtenir le taux de nicotine dont son organisme a besoin! De même, il faut savoir que, la fumée des cigarettes gagne instantanément les alvéoles pulmonaires où la quasi totalité de la nicotine est inhalée. Quant au foie, il modifie une partie de la nicotine en continue et, grâce au phénomène d'oxydation et à son tour, la nicotine évacuée par les urines. Dire que le tabagisme réduit l'espérance de vie d'un fumeur (environ deux heures par jour pour une consommation quotidienne d'un paquet) est une chose, mais aussi, influence son entourage sans oublier l'impact que cela peut avoir sur ses organes. On retiendra de ce fait que, 90% des cancers du poumon, 85% des artérites, 65% des cancers de la sphère ORL (bouche, lèvres, langue, larynx, pharynx, oesophage), 40% des cancers de la vessie, 35% des infarctus du myocarde, Nombreux décès annuels par insuffisance respiratoire, la bronchite chronique des fumeurs, trachéite, laryngite, bronchite, bronchiolite, toux chronique, asthme, hypersécrétion, pneumonie chez l'enfant (intoxication passive du non-fumeur par le fumeur ) et même des malformations congénitales... sont entre autres les méfaits indéniables du tabagisme. Certes, des campagnes de sensibilisation de lutte contre le tabagisme ont toujours fait l'objet des programmes de santé, dans la majorité des pays industriels. Dans les mois qui ont suivi, la hausse du prix des cigarettes, sans oublier la «Loi Evin» du 10 janvier 1991 visant à protéger les non-fumeurs du tabagisme passif s'est fait ressentir ! Mais cela n'a pas vraiment produit l'effet espéré, bien que malgré les conséquences sanitaires dramatiques, on continue à ignorer cela ou plutôt à faire semblant. Nombreuses sont les personnes qui déclarent aujourd'hui être gênées par la fumée. Dans les pays développés, notamment la France, les espaces fumeurs deviennent aujourd'hui rares dans les lieux publics, dont lieux de travail plus précisément : dans tous les endroits collectifs, la loi Evin «oblige clairement l'identification de zones fumeurs et non-fumeurs», et depuis le 29 juin 2005, un arrêt de la Cour de cassation va plus loin et «oblige les employeurs à protéger les salariés du tabagisme» en vue de leur garantir un «environnement professionnel sans fumée». Mais malheureusement, cette loi n'est pas respectée. C'est dire, combien un prise de conscience doit s'opérer dans cette optique. Cependant, on note par ailleurs que, certaines entreprises s'engagent à fournir des substituts nicotiniques à leurs salariés et mettent en place des accompagnements médicalisés de sevrage tabagique : tout ceci pour la «primauté du droit des non-fumeurs» exigée par la Loi Evin, mais aussi, de la lutte contre le tabagisme ! Qu'en est-il des campagnes anti-tabac chez nous et des droits des non-fumeurs, ou plutôt victime du tabagisme passif ? N'ont-ils pas le droit à une bouffée d'air non pollué par la maudite cigarette ? Alors, face au tabagisme, faut-il lutter contre le tabac ou changer les comportements tout simplement ? Qu'en pensez-vous ? Les lecteurs sont cordialement invités à répondre à cette question s'ils le désirent afin de contribuer avec leurs avis et points de vue à la richesse du sujet. Vous pourrez alors m'écrire à mon adresse électronique mentionnée en bas de la page.