Cette station devra ainsi sécuriser totalement les Algérois en matière d'alimentation en eau potable. Cette station devra ainsi sécuriser totalement les Algérois en matière d'alimentation en eau potable. Avec l‘inauguration hier par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, de la station de dessalement d‘eau de mer d‘El Hamma, la capitale tourne la page du «stress hydrique». Cette station devra, ainsi, sécuriser totalement les Algérois en matière d‘alimentation en eau potable. En donnant le coup d‘envoi de l‘opération qui permet le pompage de l‘eau, Bouteflika pallie ainsi les besoins de la population en la matière avec un apport de 200.000 m3 jour en eau potable, une qualité conforme aux normes requises. Bien mieux, avec l‘entrée en service de cette réalisation qui s‘étale sur une superficie totale de 50.000 m2, la capitale sera alimentée en eau H/24. La station, dont le coût de réalisation est estimé à 250 millions de dollars sans garantie de l‘Etat, va pouvoir couvrir les besoins de la capitale durant 25 années. Selon l‘exposé présenté au président de la Republique, cette station, la première en Afrique, est composée de trois unités de dessalement qui consistent à repérer les sels dissous de l‘eau par la technologie de l‘osmose inverse, un phénomène naturel qui se manifeste à travers une membrane semi-perméable permettant à l‘eau douce de migrer vers l‘eau salée concentrée. Cet apport en eau, qui viendra s‘ajouter aux ressources du barrage de Keddara, en attendant l‘approvisionnement qui devra être effectif très bientôt par le barrage de Taksebt, d‘une capacité de 150.000 m3 jour, vient renforcer la demande globale de la capitale qui oscille entre 720.000 et 750.000 m3. Après El Hamma Bouteflika a inauguré le complexe hydraulique « Kouba 9» lequel s‘inscrit dans le projet de raccordement de la station de dessalement d‘El Hamma. Il est doté de 4 réservoirs d‘eau d‘une capacité de stockage de 20.000 m3 chacun, et il sera également raccordé au "réservoir Garidi" (Kouba), d‘une capacité de stockage de 25.000 m3 et au "réservoir Harcha" (Sidi M‘Hamed) de 20.000 m3. Rappelons que ce projet est d‘un coût global de 8,7 milliards de dinars. Chakib Khelil, qui a accompagné le président de la Republique au même titre que Abdelmalek Sellal, a tenu à rassurer sur la qualité de l‘eau d‘El Hamma et de son prix qui sera soutenu par l‘Etat comme c‘est le cas pour ce produit. Ainsi si le prix de cession de cette eau par Sonatrach à l‘Algérienne des eaux (ADE), a été fixé à près de 59 DA (0,82 dollar) le m3 (1.000 litres), la tarification pour le consommateur final sera, quant à elle, inférieure à ce coût, étant donné que le Trésor public se chargera de payer le différence entre le prix réel de cession et le prix fixé aux consommateurs. La station d‘El Hamma a été conçue par la société américaine GE JONICS qui détient 70% du capital, alors que les 30% restants sont détenus par Algerian Energy Compagny, une société mixte constituée par Sonatrach et Sonelgaz. C‘est la deuxième station de dessalement d‘eau de mer à être opérationnelle après celle de Kahrama, à Oran, inaugurée en 2005. Les deux stations font partie d‘un programme national qui prévoit la réalisation, d‘ici à 2011, de 13 stations. Dans ce cadre, la plus grande station, celle de Mactaa, est considérée comme un méga-projet puisque elle est dotée d‘une capacité de 500.000 m3 jour, ce qui fera d‘elle à son entrée en fonction en 2011 la plus grande au monde. Ces 13 stations vont permettre à l‘Algérie de produire 2,3 millions de m/3 jour. Avec l‘inauguration hier par le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, de la station de dessalement d‘eau de mer d‘El Hamma, la capitale tourne la page du «stress hydrique». Cette station devra, ainsi, sécuriser totalement les Algérois en matière d‘alimentation en eau potable. En donnant le coup d‘envoi de l‘opération qui permet le pompage de l‘eau, Bouteflika pallie ainsi les besoins de la population en la matière avec un apport de 200.000 m3 jour en eau potable, une qualité conforme aux normes requises. Bien mieux, avec l‘entrée en service de cette réalisation qui s‘étale sur une superficie totale de 50.000 m2, la capitale sera alimentée en eau H/24. La station, dont le coût de réalisation est estimé à 250 millions de dollars sans garantie de l‘Etat, va pouvoir couvrir les besoins de la capitale durant 25 années. Selon l‘exposé présenté au président de la Republique, cette station, la première en Afrique, est composée de trois unités de dessalement qui consistent à repérer les sels dissous de l‘eau par la technologie de l‘osmose inverse, un phénomène naturel qui se manifeste à travers une membrane semi-perméable permettant à l‘eau douce de migrer vers l‘eau salée concentrée. Cet apport en eau, qui viendra s‘ajouter aux ressources du barrage de Keddara, en attendant l‘approvisionnement qui devra être effectif très bientôt par le barrage de Taksebt, d‘une capacité de 150.000 m3 jour, vient renforcer la demande globale de la capitale qui oscille entre 720.000 et 750.000 m3. Après El Hamma Bouteflika a inauguré le complexe hydraulique « Kouba 9» lequel s‘inscrit dans le projet de raccordement de la station de dessalement d‘El Hamma. Il est doté de 4 réservoirs d‘eau d‘une capacité de stockage de 20.000 m3 chacun, et il sera également raccordé au "réservoir Garidi" (Kouba), d‘une capacité de stockage de 25.000 m3 et au "réservoir Harcha" (Sidi M‘Hamed) de 20.000 m3. Rappelons que ce projet est d‘un coût global de 8,7 milliards de dinars. Chakib Khelil, qui a accompagné le président de la Republique au même titre que Abdelmalek Sellal, a tenu à rassurer sur la qualité de l‘eau d‘El Hamma et de son prix qui sera soutenu par l‘Etat comme c‘est le cas pour ce produit. Ainsi si le prix de cession de cette eau par Sonatrach à l‘Algérienne des eaux (ADE), a été fixé à près de 59 DA (0,82 dollar) le m3 (1.000 litres), la tarification pour le consommateur final sera, quant à elle, inférieure à ce coût, étant donné que le Trésor public se chargera de payer le différence entre le prix réel de cession et le prix fixé aux consommateurs. La station d‘El Hamma a été conçue par la société américaine GE JONICS qui détient 70% du capital, alors que les 30% restants sont détenus par Algerian Energy Compagny, une société mixte constituée par Sonatrach et Sonelgaz. C‘est la deuxième station de dessalement d‘eau de mer à être opérationnelle après celle de Kahrama, à Oran, inaugurée en 2005. Les deux stations font partie d‘un programme national qui prévoit la réalisation, d‘ici à 2011, de 13 stations. Dans ce cadre, la plus grande station, celle de Mactaa, est considérée comme un méga-projet puisque elle est dotée d‘une capacité de 500.000 m3 jour, ce qui fera d‘elle à son entrée en fonction en 2011 la plus grande au monde. Ces 13 stations vont permettre à l‘Algérie de produire 2,3 millions de m/3 jour.