Le président du Front national algérien (FNA) a reconnu que 95 % des élus de son parti « n'ont pas l'expérience suffisante dans la gestion des collectivités locales ». Depuis la wilaya de Batna, où il a réuni les élus de sa formation à l'Est et au Sud-est du pays, Moussa Touati a indiqué que cette rencontre s'inscrit dans le cadre de la mobilisation et la sensibilisation de ses élus locaux, sur «la nécessité d'œuvrer avec abnégation pour le bien des citoyens et d'adapter des méthodes de gestion efficaces», afin justement de les initier à une meilleure gestion des communes au service du développement local et des populations. Et d'ajouter que «tous les membres du FNA œuvrent pour un changement positif à travers la mobilisation de tous les Algériens, notamment les jeunes, autour de la nécessité de contribuer efficacement à l'édification d'un Etat fort», pour décortiquer l'ordre du jour de cette conférence régionale du FNA. En effet, la formation de Moussa Touati, propulsée par les résultats des deux derniers scrutins législatif et municipal au rang de troisième force politique sur la scène nationale, s'y est imposée en tant que grand acteur et ambitionne de conforter davantage son ascension spectaculaire, notamment après la réussite de son deuxième congrès tenu à la fin de l'année précédente. D'ailleurs, « en dépit de son jeune âge, le FNA a réussi à s'affirmer sur la scène politique au travers de son travail continu mené sur tous les plans dans la transparence la plus totale », a estimé Moussa Touati, devant les militants et élus de sa formation. Autrement dit, le FNA a su se frayer un chemin dans l'échiquier politique national, en étoffant notamment ses rangs par un grand nombre d'adhérents supplémentaires, dont plusieurs transfuges d'autres formations politiques. « Les citoyens venus des autres formations politiques rejoindre les rangs du FNA y ont trouvé un espace plus large pour l'action politique », a tenu à préciser dans ce sens le président du FNA, . Cette formation politique, qui a raflé un nombre appréciable d'assemblées locales, à l'issue des élections municipales du 29 novembre 2007, ambitionne de ratisser large lors des futures échéances électorales, à savoir celles de 2012, comme l'a si bien souligné le président du parti, après sa réélection à la tête du FNA. Ce dernier envisagerait, par ailleurs, de se porter candidat aux élections présidentielles de 2009, d'où d'ailleurs sa tergiversation quant à la question d'un troisième mandat de Bouteflika, bien qu'il soutienne le principe d'une révision constitutionnelle. Le président du Front national algérien (FNA) a reconnu que 95 % des élus de son parti « n'ont pas l'expérience suffisante dans la gestion des collectivités locales ». Depuis la wilaya de Batna, où il a réuni les élus de sa formation à l'Est et au Sud-est du pays, Moussa Touati a indiqué que cette rencontre s'inscrit dans le cadre de la mobilisation et la sensibilisation de ses élus locaux, sur «la nécessité d'œuvrer avec abnégation pour le bien des citoyens et d'adapter des méthodes de gestion efficaces», afin justement de les initier à une meilleure gestion des communes au service du développement local et des populations. Et d'ajouter que «tous les membres du FNA œuvrent pour un changement positif à travers la mobilisation de tous les Algériens, notamment les jeunes, autour de la nécessité de contribuer efficacement à l'édification d'un Etat fort», pour décortiquer l'ordre du jour de cette conférence régionale du FNA. En effet, la formation de Moussa Touati, propulsée par les résultats des deux derniers scrutins législatif et municipal au rang de troisième force politique sur la scène nationale, s'y est imposée en tant que grand acteur et ambitionne de conforter davantage son ascension spectaculaire, notamment après la réussite de son deuxième congrès tenu à la fin de l'année précédente. D'ailleurs, « en dépit de son jeune âge, le FNA a réussi à s'affirmer sur la scène politique au travers de son travail continu mené sur tous les plans dans la transparence la plus totale », a estimé Moussa Touati, devant les militants et élus de sa formation. Autrement dit, le FNA a su se frayer un chemin dans l'échiquier politique national, en étoffant notamment ses rangs par un grand nombre d'adhérents supplémentaires, dont plusieurs transfuges d'autres formations politiques. « Les citoyens venus des autres formations politiques rejoindre les rangs du FNA y ont trouvé un espace plus large pour l'action politique », a tenu à préciser dans ce sens le président du FNA, . Cette formation politique, qui a raflé un nombre appréciable d'assemblées locales, à l'issue des élections municipales du 29 novembre 2007, ambitionne de ratisser large lors des futures échéances électorales, à savoir celles de 2012, comme l'a si bien souligné le président du parti, après sa réélection à la tête du FNA. Ce dernier envisagerait, par ailleurs, de se porter candidat aux élections présidentielles de 2009, d'où d'ailleurs sa tergiversation quant à la question d'un troisième mandat de Bouteflika, bien qu'il soutienne le principe d'une révision constitutionnelle.